Arrêt sur Info : De Gaulle, la France et l’Amérique Par Philippe Conrad

France Histoire

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 france de gaulle

Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

De Gaulle, la France et l’Amérique

On imagine qu’en mars prochain [article rédigé en janvier, ndlr] le cinquantième anniversaire de la sortie de l’OTAN décidée en 1966 par le général De Gaulle ne retiendra guère l’attention. L’événement était pourtant de taille, dix-sept ans après la formation de l’Alliance atlantique. On se souvient des véhémentes critiques formulées par les atlantistes de tous bords et de la publicité donnée à l’évacuation des bases américaines installées dans l’Hexagone. Dotée depuis peu d’une force nucléaire autonome, la France ne pouvait logiquement demeurer dans une organisation militaire intégrée au sein de laquelle sa liberté de décision se serait trouvée mise en cause.

Rapidement conclus, les accords Ailleret-Lemnitzer allaient en revanche prévoir, en cas de conflit, les modalités d’engagement des forces françaises aux côtés des alliés. Le choix de l’indépendance effectué par De Gaulle ne signifiait donc pas une rupture avec la grande puissance alliée. Il s’inscrivait pourtant dans une politique étrangère perçue comme celle d’un adversaire de Washington et certains interprétèrent cet antagonisme comme l’écho des relations difficiles qu’avait entretenues le général avec les Américains durant la Deuxième Guerre mondiale.

« Un Français fanatique à l’esprit étroit, dévoré d’ambition et ayant de la démocratie une conception plutôt suspecte », c’est en effet en ces termes que Franklin Delano Roosevelt juge le chef du mouvement des Français libres qui, avec l’appui de Churchill, a décidé dès l’été 1940 de refuser la défaite.

Celui qui entend incarner, avec bien peu de moyens pour le faire, le relèvement de la France supporte mal le maintien des relations entre Washington et Vichy, ou la faveur plus grande dont bénéficie le général Giraud auprès des Américains, pour ne rien dire de la volonté de ceux-ci d’imposer à la France, à travers l’AMGOT, le statut d’un territoire occupé par les Alliés. Selon le ministre britannique Oliver Lyttelton :

« De Gaulle n’a jamais rien laissé passer, c’est ainsi et non par la souplesse et l’urbanité qu’il s’est fait respecter. »

Le retour dans la guerre des forces françaises et la part qu’elles prennent à la victoire ne sont pas plus importants pour De Gaulle que sa volonté d’affirmer la souveraineté et la « grandeur » de la France vis-à-vis des Alliés qui, après le désastre de 1940, ne voyaient plus en elle qu’un acteur mineur du monde à venir.

Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

Huit ans avant les États-Unis, le général reconnaît dès 1964 la Chine populaire et tente l’année suivante, avec son voyage en URSS et au nom d’une « Europe de l’Atlantique à l’Oural  », d’engager une « détente » avec le bloc de l’Est. Les voyages effectués en Amérique du Sud, le discours de Phnom Penh ou celui du « Québec libre  » viennent confirmer, tout comme le projet d’un retour à l’étalon-or, la prise de distance avec Washington.

Les choses changent toutefois quand Richard Nixon succède à Lyndon Johnson – avec qui De Gaulle ne s’est jamais entretenu en tête à tête – car le nouveau président américain est un admirateur du général et, en 1969, à la veille du départ de De Gaulle, un net réchauffement des relations s’opère, à un moment où l’intervention soviétique à Prague a sérieusement refroidi les espoirs d’un rapprochement avec l’Est.

Septuagénaire issu de la vieille Europe, formé dans le contexte des drames de la première moitié du siècle, le général De Gaulle – qui surestimait sans doute les possibilités de la France et sa capacité à assumer sa « grandeur » passée, dans un monde où il n’avait pas évalué l’ampleur de la révolution culturelle porteuse des événements de 1968 – avait en revanche parfaitement compris la nécessité de l’indépendance et de la puissance et savait que celle-ci ne valait qu’au service d’une volonté.

Philippe Conrad | NRH n°82 (janvier-février 2016)

De Gaulle, la France et l’Amérique

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Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

De Gaulle, la France et l’Amérique

On imagine qu’en mars prochain [article rédigé en janvier, ndlr] le cinquantième anniversaire de la sortie de l’OTAN décidée en 1966 par le général De Gaulle ne retiendra guère l’attention. L’événement était pourtant de taille, dix-sept ans après la formation de l’Alliance atlantique. On se souvient des véhémentes critiques formulées par les atlantistes de tous bords et de la publicité donnée à l’évacuation des bases américaines installées dans l’Hexagone. Dotée depuis peu d’une force nucléaire autonome, la France ne pouvait logiquement demeurer dans une organisation militaire intégrée au sein de laquelle sa liberté de décision se serait trouvée mise en cause.

Rapidement conclus, les accords Ailleret-Lemnitzer allaient en revanche prévoir, en cas de conflit, les modalités d’engagement des forces françaises aux côtés des alliés. Le choix de l’indépendance effectué par De Gaulle ne signifiait donc pas une rupture avec la grande puissance alliée. Il s’inscrivait pourtant dans une politique étrangère perçue comme celle d’un adversaire de Washington et certains interprétèrent cet antagonisme comme l’écho des relations difficiles qu’avait entretenues le général avec les Américains durant la Deuxième Guerre mondiale.

« Un Français fanatique à l’esprit étroit, dévoré d’ambition et ayant de la démocratie une conception plutôt suspecte », c’est en effet en ces termes que Franklin Delano Roosevelt juge le chef du mouvement des Français libres qui, avec l’appui de Churchill, a décidé dès l’été 1940 de refuser la défaite.

Celui qui entend incarner, avec bien peu de moyens pour le faire, le relèvement de la France supporte mal le maintien des relations entre Washington et Vichy, ou la faveur plus grande dont bénéficie le général Giraud auprès des Américains, pour ne rien dire de la volonté de ceux-ci d’imposer à la France, à travers l’AMGOT, le statut d’un territoire occupé par les Alliés. Selon le ministre britannique Oliver Lyttelton :

« De Gaulle n’a jamais rien laissé passer, c’est ainsi et non par la souplesse et l’urbanité qu’il s’est fait respecter. »

Le retour dans la guerre des forces françaises et la part qu’elles prennent à la victoire ne sont pas plus importants pour De Gaulle que sa volonté d’affirmer la souveraineté et la « grandeur » de la France vis-à-vis des Alliés qui, après le désastre de 1940, ne voyaient plus en elle qu’un acteur mineur du monde à venir.

Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

Huit ans avant les États-Unis, le général reconnaît dès 1964 la Chine populaire et tente l’année suivante, avec son voyage en URSS et au nom d’une « Europe de l’Atlantique à l’Oural  », d’engager une « détente » avec le bloc de l’Est. Les voyages effectués en Amérique du Sud, le discours de Phnom Penh ou celui du « Québec libre  » viennent confirmer, tout comme le projet d’un retour à l’étalon-or, la prise de distance avec Washington.

Les choses changent toutefois quand Richard Nixon succède à Lyndon Johnson – avec qui De Gaulle ne s’est jamais entretenu en tête à tête – car le nouveau président américain est un admirateur du général et, en 1969, à la veille du départ de De Gaulle, un net réchauffement des relations s’opère, à un moment où l’intervention soviétique à Prague a sérieusement refroidi les espoirs d’un rapprochement avec l’Est.

Septuagénaire issu de la vieille Europe, formé dans le contexte des drames de la première moitié du siècle, le général De Gaulle – qui surestimait sans doute les possibilités de la France et sa capacité à assumer sa « grandeur » passée, dans un monde où il n’avait pas évalué l’ampleur de la révolution culturelle porteuse des événements de 1968 – avait en revanche parfaitement compris la nécessité de l’indépendance et de la puissance et savait que celle-ci ne valait qu’au service d’une volonté.

Philippe Conrad | NRH n°82 (janvier-février 2016)

De Gaulle, la France et l’Amérique

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Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

De Gaulle, la France et l’Amérique

On imagine qu’en mars prochain [article rédigé en janvier, ndlr] le cinquantième anniversaire de la sortie de l’OTAN décidée en 1966 par le général De Gaulle ne retiendra guère l’attention. L’événement était pourtant de taille, dix-sept ans après la formation de l’Alliance atlantique. On se souvient des véhémentes critiques formulées par les atlantistes de tous bords et de la publicité donnée à l’évacuation des bases américaines installées dans l’Hexagone. Dotée depuis peu d’une force nucléaire autonome, la France ne pouvait logiquement demeurer dans une organisation militaire intégrée au sein de laquelle sa liberté de décision se serait trouvée mise en cause.

Rapidement conclus, les accords Ailleret-Lemnitzer allaient en revanche prévoir, en cas de conflit, les modalités d’engagement des forces françaises aux côtés des alliés. Le choix de l’indépendance effectué par De Gaulle ne signifiait donc pas une rupture avec la grande puissance alliée. Il s’inscrivait pourtant dans une politique étrangère perçue comme celle d’un adversaire de Washington et certains interprétèrent cet antagonisme comme l’écho des relations difficiles qu’avait entretenues le général avec les Américains durant la Deuxième Guerre mondiale.

« Un Français fanatique à l’esprit étroit, dévoré d’ambition et ayant de la démocratie une conception plutôt suspecte », c’est en effet en ces termes que Franklin Delano Roosevelt juge le chef du mouvement des Français libres qui, avec l’appui de Churchill, a décidé dès l’été 1940 de refuser la défaite.

Celui qui entend incarner, avec bien peu de moyens pour le faire, le relèvement de la France supporte mal le maintien des relations entre Washington et Vichy, ou la faveur plus grande dont bénéficie le général Giraud auprès des Américains, pour ne rien dire de la volonté de ceux-ci d’imposer à la France, à travers l’AMGOT, le statut d’un territoire occupé par les Alliés. Selon le ministre britannique Oliver Lyttelton :

« De Gaulle n’a jamais rien laissé passer, c’est ainsi et non par la souplesse et l’urbanité qu’il s’est fait respecter. »

Le retour dans la guerre des forces françaises et la part qu’elles prennent à la victoire ne sont pas plus importants pour De Gaulle que sa volonté d’affirmer la souveraineté et la « grandeur » de la France vis-à-vis des Alliés qui, après le désastre de 1940, ne voyaient plus en elle qu’un acteur mineur du monde à venir.

Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

Huit ans avant les États-Unis, le général reconnaît dès 1964 la Chine populaire et tente l’année suivante, avec son voyage en URSS et au nom d’une « Europe de l’Atlantique à l’Oural  », d’engager une « détente » avec le bloc de l’Est. Les voyages effectués en Amérique du Sud, le discours de Phnom Penh ou celui du « Québec libre  » viennent confirmer, tout comme le projet d’un retour à l’étalon-or, la prise de distance avec Washington.

Les choses changent toutefois quand Richard Nixon succède à Lyndon Johnson – avec qui De Gaulle ne s’est jamais entretenu en tête à tête – car le nouveau président américain est un admirateur du général et, en 1969, à la veille du départ de De Gaulle, un net réchauffement des relations s’opère, à un moment où l’intervention soviétique à Prague a sérieusement refroidi les espoirs d’un rapprochement avec l’Est.

Septuagénaire issu de la vieille Europe, formé dans le contexte des drames de la première moitié du siècle, le général De Gaulle – qui surestimait sans doute les possibilités de la France et sa capacité à assumer sa « grandeur » passée, dans un monde où il n’avait pas évalué l’ampleur de la révolution culturelle porteuse des événements de 1968 – avait en revanche parfaitement compris la nécessité de l’indépendance et de la puissance et savait que celle-ci ne valait qu’au service d’une volonté.

Philippe Conrad | NRH n°82 (janvier-février 2016)

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Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

De Gaulle, la France et l’Amérique

On imagine qu’en mars prochain [article rédigé en janvier, ndlr] le cinquantième anniversaire de la sortie de l’OTAN décidée en 1966 par le général De Gaulle ne retiendra guère l’attention. L’événement était pourtant de taille, dix-sept ans après la formation de l’Alliance atlantique. On se souvient des véhémentes critiques formulées par les atlantistes de tous bords et de la publicité donnée à l’évacuation des bases américaines installées dans l’Hexagone. Dotée depuis peu d’une force nucléaire autonome, la France ne pouvait logiquement demeurer dans une organisation militaire intégrée au sein de laquelle sa liberté de décision se serait trouvée mise en cause.

Rapidement conclus, les accords Ailleret-Lemnitzer allaient en revanche prévoir, en cas de conflit, les modalités d’engagement des forces françaises aux côtés des alliés. Le choix de l’indépendance effectué par De Gaulle ne signifiait donc pas une rupture avec la grande puissance alliée. Il s’inscrivait pourtant dans une politique étrangère perçue comme celle d’un adversaire de Washington et certains interprétèrent cet antagonisme comme l’écho des relations difficiles qu’avait entretenues le général avec les Américains durant la Deuxième Guerre mondiale.

« Un Français fanatique à l’esprit étroit, dévoré d’ambition et ayant de la démocratie une conception plutôt suspecte », c’est en effet en ces termes que Franklin Delano Roosevelt juge le chef du mouvement des Français libres qui, avec l’appui de Churchill, a décidé dès l’été 1940 de refuser la défaite.

Celui qui entend incarner, avec bien peu de moyens pour le faire, le relèvement de la France supporte mal le maintien des relations entre Washington et Vichy, ou la faveur plus grande dont bénéficie le général Giraud auprès des Américains, pour ne rien dire de la volonté de ceux-ci d’imposer à la France, à travers l’AMGOT, le statut d’un territoire occupé par les Alliés. Selon le ministre britannique Oliver Lyttelton :

« De Gaulle n’a jamais rien laissé passer, c’est ainsi et non par la souplesse et l’urbanité qu’il s’est fait respecter. »

Le retour dans la guerre des forces françaises et la part qu’elles prennent à la victoire ne sont pas plus importants pour De Gaulle que sa volonté d’affirmer la souveraineté et la « grandeur » de la France vis-à-vis des Alliés qui, après le désastre de 1940, ne voyaient plus en elle qu’un acteur mineur du monde à venir.

Après 1958, le fondateur de la Ve République entend réaffirmer l’indépendance du pays et défier la puissance dominante. S’il soutient d’emblée Kennedy en octobre 1962 lors de la crise de Cuba, il poursuit ses efforts en matière d’armement atomique et s’oppose à la politique américaine au Vietnam.

Huit ans avant les États-Unis, le général reconnaît dès 1964 la Chine populaire et tente l’année suivante, avec son voyage en URSS et au nom d’une « Europe de l’Atlantique à l’Oural  », d’engager une « détente » avec le bloc de l’Est. Les voyages effectués en Amérique du Sud, le discours de Phnom Penh ou celui du « Québec libre  » viennent confirmer, tout comme le projet d’un retour à l’étalon-or, la prise de distance avec Washington.

Les choses changent toutefois quand Richard Nixon succède à Lyndon Johnson – avec qui De Gaulle ne s’est jamais entretenu en tête à tête – car le nouveau président américain est un admirateur du général et, en 1969, à la veille du départ de De Gaulle, un net réchauffement des relations s’opère, à un moment où l’intervention soviétique à Prague a sérieusement refroidi les espoirs d’un rapprochement avec l’Est.

Septuagénaire issu de la vieille Europe, formé dans le contexte des drames de la première moitié du siècle, le général De Gaulle – qui surestimait sans doute les possibilités de la France et sa capacité à assumer sa « grandeur » passée, dans un monde où il n’avait pas évalué l’ampleur de la révolution culturelle porteuse des événements de 1968 – avait en revanche parfaitement compris la nécessité de l’indépendance et de la puissance et savait que celle-ci ne valait qu’au service d’une volonté.

Philippe Conrad | NRH n°82 (janvier-février 2016)

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Le blog d’Anne Brassié : J’irai courir sur vos tombes !

6a00d83451619c69e201bb09092d46970d-500wi
Posted:
L’abbé Viot (blog)a envoyé ce billet au Salon Beige

Tel semble bien être le mot d’ordre lancé par le CGT aux 4000 jeunes français et allemands qu’on a fait courir au son du tam-tam sur les corps de ceux qui sont tombés au champ d’honneur. Le comité du centenaire, franco-allemand en est bien sûr le responsable. La France a entraîné l’Allemagne dans sa décadence ! Telle est le sort des grandes lumières qui n’éclairent plus! L’organisme mérite le nom de CGT (Comité de la Grande Transgression) car il a donc finalement pu trouver un produit de remplacement à Black M pour montrer son mépris du « sacré  » patriotique, récupérant même, au profit de la désastreuse politique étrangère française la « mort » à Verdun ! La seule phrase du Chef de l’Etat retransmise par une chaîne de télévision fut la comparaison donnée à un jeune dont l’arrière grand père était mort gazé: « il a été tué par le même gaz qu’en Syrie ». Ce genre de raccourci en matière de vérité qu’affectionne notre président, même les yeux dans les yeux, n’était pas de mise en la circonstance !  » Seul le silence est grand! » avait écrit Vigny dans « La mort du loup ». Mais encore faut-il avoir le sens de la grandeur, comprendre certains symboles et aimer son pays en faisant respecter l’Etat. Faute de quoi on ne voit pas le lien entre l’incitation à une course poursuite sur des tombes, au son des tambours du Bronx, et la volonté d’autres jeunes de tuer des policiers en uniforme en faisant brûler leur voiture ! La transgression est un tout qui ne se détaille pas! La course de Verdun inaugure d’autres fuites en avant en tout genre. Elles risquent d’aller jusqu’à porter atteinte au fonctionnement de nos institutions. Souvenons nous de la célèbre apostrophe de François Mitterrand à Georges Pompidou au début de la  » chienlie » de mai 1968 :  » Monsieur le premier ministre, qu’avez-vous fait de l’Etat? »

 

Anne Brassié

Je me suis recueillie dans un cimetière militaire ce samedi 28 Mai , près de Soissons. Des soldats français, anglais et allemands y dorment pour l’éternité. Qu’on y courre en toute liberté me semble ahurissant mais normal de nos jours. Que  font nos contemporains, chaque soir et chaque dimanche matin ? ils courent. La crétinisation avance à pas forcés.

Seconde réflexion. Les tombes allemandes sont belles, d’une sobriété parfaite, leur disposition dessinent de belles lignes. Les tombes anglaises sont luxueuses, pierres tombales verticales avec le nom du soldat, la date de sa mort et le blason de son régiment. Les tombes françaises sont misérables, des croix à bas prix  d’un matériau non identifié, le nom du soldat et la date de sa mort, dans une disposition géométrique sinistre. A pleurer de tristesse…..

J’irai courir sur vos tombes !

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Tel semble bien être le mot d’ordre lancé par le CGT aux 4000 jeunes français et allemands qu’on a fait courir au son du tam-tam sur les corps de ceux qui sont tombés au champ d’honneur. Le comité du centenaire, franco-allemand en est bien sûr le responsable. La France a entraîné l’Allemagne dans sa décadence ! Telle est le sort des grandes lumières qui n’éclairent plus! L’organisme mérite le nom de CGT (Comité de la Grande Transgression) car il a donc finalement pu trouver un produit de remplacement à Black M pour montrer son mépris du « sacré  » patriotique, récupérant même, au profit de la désastreuse politique étrangère française la « mort » à Verdun ! La seule phrase du Chef de l’Etat retransmise par une chaîne de télévision fut la comparaison donnée à un jeune dont l’arrière grand père était mort gazé: « il a été tué par le même gaz qu’en Syrie ». Ce genre de raccourci en matière de vérité qu’affectionne notre président, même les yeux dans les yeux, n’était pas de mise en la circonstance !  » Seul le silence est grand! » avait écrit Vigny dans « La mort du loup ». Mais encore faut-il avoir le sens de la grandeur, comprendre certains symboles et aimer son pays en faisant respecter l’Etat. Faute de quoi on ne voit pas le lien entre l’incitation à une course poursuite sur des tombes, au son des tambours du Bronx, et la volonté d’autres jeunes de tuer des policiers en uniforme en faisant brûler leur voiture ! La transgression est un tout qui ne se détaille pas! La course de Verdun inaugure d’autres fuites en avant en tout genre. Elles risquent d’aller jusqu’à porter atteinte au fonctionnement de nos institutions. Souvenons nous de la célèbre apostrophe de François Mitterrand à Georges Pompidou au début de la  » chienlie » de mai 1968 :  » Monsieur le premier ministre, qu’avez-vous fait de l’Etat? »

 

Anne Brassié

Je me suis recueillie dans un cimetière militaire ce samedi 28 Mai , près de Soissons. Des soldats français, anglais et allemands y dorment pour l’éternité. Qu’on y courre en toute liberté me semble ahurissant mais normal de nos jours. Que  font nos contemporains, chaque soir et chaque dimanche matin ? ils courent. La crétinisation avance à pas forcés.

Seconde réflexion. Les tombes allemandes sont belles, d’une sobriété parfaite, leur disposition dessinent de belles lignes. Les tombes anglaises sont luxueuses, pierres tombales verticales avec le nom du soldat, la date de sa mort et le blason de son régiment. Les tombes françaises sont misérables, des croix à bas prix  d’un matériau non identifié, le nom du soldat et la date de sa mort, dans une disposition géométrique sinistre. A pleurer de tristesse…..

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Anne Brassié

Je me suis recueillie dans un cimetière militaire ce samedi 28 Mai , près de Soissons. Des soldats français, anglais et allemands y dorment pour l’éternité. Qu’on y courre en toute liberté me semble ahurissant mais normal de nos jours. Que  font nos contemporains, chaque soir et chaque dimanche matin ? ils courent. La crétinisation avance à pas forcés.

Seconde réflexion. Les tombes allemandes sont belles, d’une sobriété parfaite, leur disposition dessinent de belles lignes. Les tombes anglaises sont luxueuses, pierres tombales verticales avec le nom du soldat, la date de sa mort et le blason de son régiment. Les tombes françaises sont misérables, des croix à bas prix  d’un matériau non identifié, le nom du soldat et la date de sa mort, dans une disposition géométrique sinistre. A pleurer de tristesse…..

J’irai courir sur vos tombes !

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Tel semble bien être le mot d’ordre lancé par le CGT aux 4000 jeunes français et allemands qu’on a fait courir au son du tam-tam sur les corps de ceux qui sont tombés au champ d’honneur. Le comité du centenaire, franco-allemand en est bien sûr le responsable. La France a entraîné l’Allemagne dans sa décadence ! Telle est le sort des grandes lumières qui n’éclairent plus! L’organisme mérite le nom de CGT (Comité de la Grande Transgression) car il a donc finalement pu trouver un produit de remplacement à Black M pour montrer son mépris du « sacré  » patriotique, récupérant même, au profit de la désastreuse politique étrangère française la « mort » à Verdun ! La seule phrase du Chef de l’Etat retransmise par une chaîne de télévision fut la comparaison donnée à un jeune dont l’arrière grand père était mort gazé: « il a été tué par le même gaz qu’en Syrie ». Ce genre de raccourci en matière de vérité qu’affectionne notre président, même les yeux dans les yeux, n’était pas de mise en la circonstance !  » Seul le silence est grand! » avait écrit Vigny dans « La mort du loup ». Mais encore faut-il avoir le sens de la grandeur, comprendre certains symboles et aimer son pays en faisant respecter l’Etat. Faute de quoi on ne voit pas le lien entre l’incitation à une course poursuite sur des tombes, au son des tambours du Bronx, et la volonté d’autres jeunes de tuer des policiers en uniforme en faisant brûler leur voiture ! La transgression est un tout qui ne se détaille pas! La course de Verdun inaugure d’autres fuites en avant en tout genre. Elles risquent d’aller jusqu’à porter atteinte au fonctionnement de nos institutions. Souvenons nous de la célèbre apostrophe de François Mitterrand à Georges Pompidou au début de la  » chienlie » de mai 1968 :  » Monsieur le premier ministre, qu’avez-vous fait de l’Etat? »

 

Anne Brassié

Je me suis recueillie dans un cimetière militaire ce samedi 28 Mai , près de Soissons. Des soldats français, anglais et allemands y dorment pour l’éternité. Qu’on y courre en toute liberté me semble ahurissant mais normal de nos jours. Que  font nos contemporains, chaque soir et chaque dimanche matin ? ils courent. La crétinisation avance à pas forcés.

Seconde réflexion. Les tombes allemandes sont belles, d’une sobriété parfaite, leur disposition dessinent de belles lignes. Les tombes anglaises sont luxueuses, pierres tombales verticales avec le nom du soldat, la date de sa mort et le blason de son régiment. Les tombes françaises sont misérables, des croix à bas prix  d’un matériau non identifié, le nom du soldat et la date de sa mort, dans une disposition géométrique sinistre. A pleurer de tristesse…..

J’irai courir sur vos tombes !

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Tel semble bien être le mot d’ordre lancé par le CGT aux 4000 jeunes français et allemands qu’on a fait courir au son du tam-tam sur les corps de ceux qui sont tombés au champ d’honneur. Le comité du centenaire, franco-allemand en est bien sûr le responsable. La France a entraîné l’Allemagne dans sa décadence ! Telle est le sort des grandes lumières qui n’éclairent plus! L’organisme mérite le nom de CGT (Comité de la Grande Transgression) car il a donc finalement pu trouver un produit de remplacement à Black M pour montrer son mépris du « sacré  » patriotique, récupérant même, au profit de la désastreuse politique étrangère française la « mort » à Verdun ! La seule phrase du Chef de l’Etat retransmise par une chaîne de télévision fut la comparaison donnée à un jeune dont l’arrière grand père était mort gazé: « il a été tué par le même gaz qu’en Syrie ». Ce genre de raccourci en matière de vérité qu’affectionne notre président, même les yeux dans les yeux, n’était pas de mise en la circonstance !  » Seul le silence est grand! » avait écrit Vigny dans « La mort du loup ». Mais encore faut-il avoir le sens de la grandeur, comprendre certains symboles et aimer son pays en faisant respecter l’Etat. Faute de quoi on ne voit pas le lien entre l’incitation à une course poursuite sur des tombes, au son des tambours du Bronx, et la volonté d’autres jeunes de tuer des policiers en uniforme en faisant brûler leur voiture ! La transgression est un tout qui ne se détaille pas! La course de Verdun inaugure d’autres fuites en avant en tout genre. Elles risquent d’aller jusqu’à porter atteinte au fonctionnement de nos institutions. Souvenons nous de la célèbre apostrophe de François Mitterrand à Georges Pompidou au début de la  » chienlie » de mai 1968 :  » Monsieur le premier ministre, qu’avez-vous fait de l’Etat? »

 

Anne Brassié

Je me suis recueillie dans un cimetière militaire ce samedi 28 Mai , près de Soissons. Des soldats français, anglais et allemands y dorment pour l’éternité. Qu’on y courre en toute liberté me semble ahurissant mais normal de nos jours. Que  font nos contemporains, chaque soir et chaque dimanche matin ? ils courent. La crétinisation avance à pas forcés.

Seconde réflexion. Les tombes allemandes sont belles, d’une sobriété parfaite, leur disposition dessinent de belles lignes. Les tombes anglaises sont luxueuses, pierres tombales verticales avec le nom du soldat, la date de sa mort et le blason de son régiment. Les tombes françaises sont misérables, des croix à bas prix  d’un matériau non identifié, le nom du soldat et la date de sa mort, dans une disposition géométrique sinistre. A pleurer de tristesse…..

J’irai courir sur vos tombes !

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L’abbé Viot (blog)a envoyé ce billet au Salon Beige

Tel semble bien être le mot d’ordre lancé par le CGT aux 4000 jeunes français et allemands qu’on a fait courir au son du tam-tam sur les corps de ceux qui sont tombés au champ d’honneur. Le comité du centenaire, franco-allemand en est bien sûr le responsable. La France a entraîné l’Allemagne dans sa décadence ! Telle est le sort des grandes lumières qui n’éclairent plus! L’organisme mérite le nom de CGT (Comité de la Grande Transgression) car il a donc finalement pu trouver un produit de remplacement à Black M pour montrer son mépris du « sacré  » patriotique, récupérant même, au profit de la désastreuse politique étrangère française la « mort » à Verdun ! La seule phrase du Chef de l’Etat retransmise par une chaîne de télévision fut la comparaison donnée à un jeune dont l’arrière grand père était mort gazé: « il a été tué par le même gaz qu’en Syrie ». Ce genre de raccourci en matière de vérité qu’affectionne notre président, même les yeux dans les yeux, n’était pas de mise en la circonstance !  » Seul le silence est grand! » avait écrit Vigny dans « La mort du loup ». Mais encore faut-il avoir le sens de la grandeur, comprendre certains symboles et aimer son pays en faisant respecter l’Etat. Faute de quoi on ne voit pas le lien entre l’incitation à une course poursuite sur des tombes, au son des tambours du Bronx, et la volonté d’autres jeunes de tuer des policiers en uniforme en faisant brûler leur voiture ! La transgression est un tout qui ne se détaille pas! La course de Verdun inaugure d’autres fuites en avant en tout genre. Elles risquent d’aller jusqu’à porter atteinte au fonctionnement de nos institutions. Souvenons nous de la célèbre apostrophe de François Mitterrand à Georges Pompidou au début de la  » chienlie » de mai 1968 :  » Monsieur le premier ministre, qu’avez-vous fait de l’Etat? »

 

Anne Brassié

Je me suis recueillie dans un cimetière militaire ce samedi 28 Mai , près de Soissons. Des soldats français, anglais et allemands y dorment pour l’éternité. Qu’on y courre en toute liberté me semble ahurissant mais normal de nos jours. Que  font nos contemporains, chaque soir et chaque dimanche matin ? ils courent. La crétinisation avance à pas forcés.

Seconde réflexion. Les tombes allemandes sont belles, d’une sobriété parfaite, leur disposition dessinent de belles lignes. Les tombes anglaises sont luxueuses, pierres tombales verticales avec le nom du soldat, la date de sa mort et le blason de son régiment. Les tombes françaises sont misérables, des croix à bas prix  d’un matériau non identifié, le nom du soldat et la date de sa mort, dans une disposition géométrique sinistre. A pleurer de tristesse…..

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WIKISTRIKE : Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

Publié par wikistrike.com sur 31 Mai 2016, 07:38am

Catégories : #Economie

Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

Le journaliste italien Roberto Saviano qui s’est rendu célèbre pour ses écrits sur la mafia italienne a qualifié le Royaume-Uni de «pays le plus corrompu du monde» et a indiqué que le Brexit pouvait rendre la situation encore plus désastreuse.

«Si je vous ai demandé quel est l’endroit le plus corrompu sur Terre, vous pourriez bien me dire que c’est l’Afghanistan, peut-être la Grèce, le Nigeria, le sud de l’Italie, et moi je vous dis que c’est le Royaume-Uni», a déclaré Roberto Saviano devant un auditoire réuni dans le cadre du Hay festival, un rassemblement dédié à la littérature.

«Ce n’est pas la bureaucratie, ce n’est pas la police, ce n’est pas la politique ; ce qui est corrompu, c’est la place financière. Près de 90% des entreprises à Londres ont leur siège offshore», a-t-il ajouté. Le Royaume-Uni est la «capitale» de l’Europe en matière de corruption. Les fonds affectés à Jersey et aux territoires d’outre-mer britanniques comme les îles Caïmans sont les «portes d’accès» de la corruption.

 

«Les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus de puissants» en cas de Brexit

 

Roberto Saviano vit sous protection policière depuis plus de 10 ans, après avoir révélé les secrets de la Camorra, une organisation mafieuse italienne, notamment dans un ouvrage intitulé Gomorra. Selon lui, un Brexit entraînerait un développement de la corruption. «Cela signifie que les sociétés qataries, les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus puissants. HSBC [une banque basée à Londres] a versé 2 milliards d’euros d’amende au gouvernement des États-Unis, car il a avoué avoir blanchi de l’argent provenant des cartels et des entreprises iraniennes. Nous avons des preuves», a-t-il précisé.

Ce dimanche 29 mai, l’ancien chef de la CIA Michael Hayden, avait déjà déclaré que les Britanniques exigent moins de transparence de la part de leurs services de renseignement que les citoyens américains. «Vous, en tant que population, êtes beaucoup plus tolérants à l’action agressive de la part de vos services de renseignement que nous le sommes aux États-Unis», a-t-il encore déclaré.

Ces propos interviennent près de deux mois après que le père du Premier ministre David Cameron soit mis en cause dans les révélations des Panama Papers pour avoir placé de l’argent dans un fonds offshore.

Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

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Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

Le journaliste italien Roberto Saviano qui s’est rendu célèbre pour ses écrits sur la mafia italienne a qualifié le Royaume-Uni de «pays le plus corrompu du monde» et a indiqué que le Brexit pouvait rendre la situation encore plus désastreuse.

«Si je vous ai demandé quel est l’endroit le plus corrompu sur Terre, vous pourriez bien me dire que c’est l’Afghanistan, peut-être la Grèce, le Nigeria, le sud de l’Italie, et moi je vous dis que c’est le Royaume-Uni», a déclaré Roberto Saviano devant un auditoire réuni dans le cadre du Hay festival, un rassemblement dédié à la littérature.

«Ce n’est pas la bureaucratie, ce n’est pas la police, ce n’est pas la politique ; ce qui est corrompu, c’est la place financière. Près de 90% des entreprises à Londres ont leur siège offshore», a-t-il ajouté. Le Royaume-Uni est la «capitale» de l’Europe en matière de corruption. Les fonds affectés à Jersey et aux territoires d’outre-mer britanniques comme les îles Caïmans sont les «portes d’accès» de la corruption.

 

«Les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus de puissants» en cas de Brexit

 

Roberto Saviano vit sous protection policière depuis plus de 10 ans, après avoir révélé les secrets de la Camorra, une organisation mafieuse italienne, notamment dans un ouvrage intitulé Gomorra. Selon lui, un Brexit entraînerait un développement de la corruption. «Cela signifie que les sociétés qataries, les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus puissants. HSBC [une banque basée à Londres] a versé 2 milliards d’euros d’amende au gouvernement des États-Unis, car il a avoué avoir blanchi de l’argent provenant des cartels et des entreprises iraniennes. Nous avons des preuves», a-t-il précisé.

Ce dimanche 29 mai, l’ancien chef de la CIA Michael Hayden, avait déjà déclaré que les Britanniques exigent moins de transparence de la part de leurs services de renseignement que les citoyens américains. «Vous, en tant que population, êtes beaucoup plus tolérants à l’action agressive de la part de vos services de renseignement que nous le sommes aux États-Unis», a-t-il encore déclaré.

Ces propos interviennent près de deux mois après que le père du Premier ministre David Cameron soit mis en cause dans les révélations des Panama Papers pour avoir placé de l’argent dans un fonds offshore.

Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

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Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

Le journaliste italien Roberto Saviano qui s’est rendu célèbre pour ses écrits sur la mafia italienne a qualifié le Royaume-Uni de «pays le plus corrompu du monde» et a indiqué que le Brexit pouvait rendre la situation encore plus désastreuse.

«Si je vous ai demandé quel est l’endroit le plus corrompu sur Terre, vous pourriez bien me dire que c’est l’Afghanistan, peut-être la Grèce, le Nigeria, le sud de l’Italie, et moi je vous dis que c’est le Royaume-Uni», a déclaré Roberto Saviano devant un auditoire réuni dans le cadre du Hay festival, un rassemblement dédié à la littérature.

«Ce n’est pas la bureaucratie, ce n’est pas la police, ce n’est pas la politique ; ce qui est corrompu, c’est la place financière. Près de 90% des entreprises à Londres ont leur siège offshore», a-t-il ajouté. Le Royaume-Uni est la «capitale» de l’Europe en matière de corruption. Les fonds affectés à Jersey et aux territoires d’outre-mer britanniques comme les îles Caïmans sont les «portes d’accès» de la corruption.

 

«Les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus de puissants» en cas de Brexit

 

Roberto Saviano vit sous protection policière depuis plus de 10 ans, après avoir révélé les secrets de la Camorra, une organisation mafieuse italienne, notamment dans un ouvrage intitulé Gomorra. Selon lui, un Brexit entraînerait un développement de la corruption. «Cela signifie que les sociétés qataries, les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus puissants. HSBC [une banque basée à Londres] a versé 2 milliards d’euros d’amende au gouvernement des États-Unis, car il a avoué avoir blanchi de l’argent provenant des cartels et des entreprises iraniennes. Nous avons des preuves», a-t-il précisé.

Ce dimanche 29 mai, l’ancien chef de la CIA Michael Hayden, avait déjà déclaré que les Britanniques exigent moins de transparence de la part de leurs services de renseignement que les citoyens américains. «Vous, en tant que population, êtes beaucoup plus tolérants à l’action agressive de la part de vos services de renseignement que nous le sommes aux États-Unis», a-t-il encore déclaré.

Ces propos interviennent près de deux mois après que le père du Premier ministre David Cameron soit mis en cause dans les révélations des Panama Papers pour avoir placé de l’argent dans un fonds offshore.

Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

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Le Royaume-Uni est le «pays le plus corrompu du monde», selon un expert de la mafia

Le journaliste italien Roberto Saviano qui s’est rendu célèbre pour ses écrits sur la mafia italienne a qualifié le Royaume-Uni de «pays le plus corrompu du monde» et a indiqué que le Brexit pouvait rendre la situation encore plus désastreuse.

«Si je vous ai demandé quel est l’endroit le plus corrompu sur Terre, vous pourriez bien me dire que c’est l’Afghanistan, peut-être la Grèce, le Nigeria, le sud de l’Italie, et moi je vous dis que c’est le Royaume-Uni», a déclaré Roberto Saviano devant un auditoire réuni dans le cadre du Hay festival, un rassemblement dédié à la littérature.

«Ce n’est pas la bureaucratie, ce n’est pas la police, ce n’est pas la politique ; ce qui est corrompu, c’est la place financière. Près de 90% des entreprises à Londres ont leur siège offshore», a-t-il ajouté. Le Royaume-Uni est la «capitale» de l’Europe en matière de corruption. Les fonds affectés à Jersey et aux territoires d’outre-mer britanniques comme les îles Caïmans sont les «portes d’accès» de la corruption.

 

«Les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus de puissants» en cas de Brexit

 

Roberto Saviano vit sous protection policière depuis plus de 10 ans, après avoir révélé les secrets de la Camorra, une organisation mafieuse italienne, notamment dans un ouvrage intitulé Gomorra. Selon lui, un Brexit entraînerait un développement de la corruption. «Cela signifie que les sociétés qataries, les cartels mexicains, la mafia russe, pourront être encore plus puissants. HSBC [une banque basée à Londres] a versé 2 milliards d’euros d’amende au gouvernement des États-Unis, car il a avoué avoir blanchi de l’argent provenant des cartels et des entreprises iraniennes. Nous avons des preuves», a-t-il précisé.

Ce dimanche 29 mai, l’ancien chef de la CIA Michael Hayden, avait déjà déclaré que les Britanniques exigent moins de transparence de la part de leurs services de renseignement que les citoyens américains. «Vous, en tant que population, êtes beaucoup plus tolérants à l’action agressive de la part de vos services de renseignement que nous le sommes aux États-Unis», a-t-il encore déclaré.

Ces propos interviennent près de deux mois après que le père du Premier ministre David Cameron soit mis en cause dans les révélations des Panama Papers pour avoir placé de l’argent dans un fonds offshore.

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LE BILLET AMER édition spécial : La liste incroyables des impôts et taxes en France

Le Billet Amer édition spéciale

 

impots 2

 

En France on n’a pas de pétrole mais on une sacrée liste de taxes :
Liste des Taxes en France
Prévert ne l’avait même pas imaginé…

1 Impôt sur le revenu (IR)
2 Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)
3 Impôt sur les sociétés (IS)
4 Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)
5 Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)
6 Taxe d’habitation (TH)
7 Cotisation foncière des entreprises (CFE)
8 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)
9 Contribution sur les revenus locatifs (CRL)
10 Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)
11 Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)
12 Taxe additionnelle à la TFPNB
13 Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)
14 Taxe destinée au financement des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)
15 Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)
16 Taxe de balayage
17 Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)
18 Impositions perçues au profit des communautés urbaines
19 Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie
20 Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière
21 Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France
22 Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)
23 Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés
24 Taxe sur la consommation de charbon
25 Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)
26 CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)
27 CSG (Contribution sociale généralisée)
28 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux
29 Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)
30 Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)
31 Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées
32 Droits sur les ventes d’immeubles
33 Droit sur les cessions de droits sociaux
34 Droits de succession et de donation
35 Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées
36 Droit du permis de chasse
37 Droit de validation du permis de chasse
38 Taxe sur la musique (SACEM – SPRE)
39 Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir
40 Impôt sur les plus-values immobilières
41 Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM
42 Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM
43 Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France
44 Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés
45 Taxe sur les transactions financières
46 Taxe annuelle sur les produits cosmétiques
47 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »
48 Surtaxe sur les eaux minérales
49 Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement
50 Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique
51 Taxe communale sur les remontées mécaniques
52 Taxe communale sur la consommation finale d’électricité
53 Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)
54 Taxe sur les cartes grises
55 Redevances communale et départementale des mines
56 Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes
57 Taxes de trottoir et de pavage
58 Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes
59 Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière
60 Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement
61 Taxes sur les friches commerciales
62 Taxe sur le ski de fond
63 Taxe sur les éoliennes maritimes
64 Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers
65 Taxe pour non-raccordement à l’égout
66 Taxes dans le domaine funéraire
67 Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses
68 Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte
69 Taxe départementale des espaces naturels sensibles
70 Taxe sur les nuisances sonores aériennes
71 Taxe spéciale sur la publicité télévisée
72 Octroi de mer
73 TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes
74 TGAP lessives
75 TGAP matériaux d’extraction
76 TGAP imprimés
77 TGAP installations classées
78 TGAP déchets
79 TGAP émissions polluantes
80 Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers
81 Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures
82 Taxe sur la publicité foncière
83 Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques
84 Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées
85 Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels
86 Droit de consommation sur les produits intermédiaires
87 Droits de consommation sur les alcools
88 Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées
89 Taxe sur les prémix
90 Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle
91 Contribution sociale de solidarité des sociétés
92 Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques
93 Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé
94 Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité
95 Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales
96 Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux
97 Droits de plaidoirie
98 Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (autorisation de mise sur le marché)
99 Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité
100 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue
101 Participation des employeurs occupant moins de 10 salariés au développement de la formation professionnelle continue
102 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au financement du congé individuel de formation des salariés (0,2 % des rémunérations)
103 Taxe de séjour
104 Financement des congés individuels de formation des salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)
105 Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale
106 Taxe d’apprentissage – versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel
107 Taxe départementale sur les remontées mécaniques
108 Taxe d’apprentissage – versements au titre de la péréquation
109 Contribution au développement de l’apprentissage
110 Taxe d’apprentissage
111 Contribution pour le financement des contrats et périodes de professionnalisation et du droit individuel à la formation à 0,15 % et 0,5 %
112 Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers
113 Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle
114 Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture
115 Taxe spécifique pour la Chambre nationale de la batellerie artisanale
116 Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat
117 Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie
118 Taxe spéciale d’équipement
119 Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)
120 Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)
121 Taxe annuelle sur les logements vacants
122 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
123 Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau
124 Taxe d’aéroport
125 Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance
126 Taxes de protection des obtentions végétales
127 Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)
128 Taxe sur les céréales
129 Taxe au profit de France Agri Mer (anciennement affectée à l’Ofimer)
130 Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes
131 Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers
132 Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension
133 Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois
134 Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure
135 Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table
136 Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques
137 Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction
138 Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles
139 Taxe pour le comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers
140 Droit annuel de francisation et de navigation en Corse ; droit de passeport en Corse
141 Redevance due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente et saisonnière
142 Taxe applicable lors du Renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers
143 Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)
144 Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail
145 Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour
146 Taxes sur les primes d’assurance
147 Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture
148 TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)
149 TVA brute sur les tabacs
150 Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés
151 Droits de consommation sur les tabacs (cigares)
152 Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France
153 Taxe sur les salaires
154 Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires
155 Taxes sur les primes d’assurance automobile
156 Contribution de solidarité sur les billets d’avion
157 Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes
158 Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines autorisations ou enregistrements
159 Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture
160 Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil
161 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France
162 Contribution sociale sur les bénéfices
163 Contribution pour frais de contrôle
164 Droits de timbre sur les passeports sécurisés
165 Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine
166 Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques
167 Taxe sur les spectacles
168 Taxe sur les spectacles de variétés
169 Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie
170 Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression
171 Redevance d’archéologie préventive
172 Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la taxe de publicité foncière perçus au profit des départements
173 Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique
174 Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés
175 Droit de francisation et de navigation
176 Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles
177 Redevances biocides
178 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
179 Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel
180 Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes
181 Octroi de mer
182 Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion
de manifestations ou de compétitions sportives
183 Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes
184 Droit de sécurité
185 Cotisation pêche et milieux aquatiques
186 Redevances cynégétiques
187 Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles
188 Taxe sur les installations nucléaires de base
189 Contribution perçue au profit de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)
190 Taxe sur les résidences secondaires
191 Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France
192 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Recherche
193 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Accompagnement
194 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Diffusion technologique
195 Produits des jeux exploités par la Française des Jeux
196 Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles terrestres
197 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs
198 Contribution sociale sur les bénéfices
199 TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées
200 Taxe sur les appareils automatiques
201 Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée
202 Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché
203 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français
204 Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments
205 Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)
206 Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)
207 Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale
208 Taxe sur les demandes de visa ou de renouvèlement de visa de publicité et sur les dépôts de publicité pharmaceutique
209 Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L. 5138-4 du code de la santé publique
210 Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’œuvre permanente
211 Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce
212 Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi
213 Taxe de Renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour
214 Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs
215 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente
216 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère temporaire
217 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère saisonnière
218 Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques
219 Taxe sur les services de télévision
220 Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)
221 Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence
222 Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire
223 Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie
224 Contribution solidarité autonomie
225 Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise
226 Contribution sur les indemnités de mise à la retraite
227 Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options) de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites
228 Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine
229 Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)
230 Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)
231 Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placements
232 Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise
233 Taxe d’équipement
234 Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)
235 Taxe sur les véhicules de société
236 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers de la Moselle
237 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers d’Alsace
238 Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules
239 Droits de consommation sur les tabacs (cigarettes)
240 Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)
241 Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques
242 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français
243 Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes
244 Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003
245 Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme
246 Taxe de voirie
247 Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)
248 Péréquation entre organismes de logement social
249 Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés
250 Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses
251 Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux
252 Taxe sur les jeux en ligne
253 Contribution tarifaire d’acheminement
254 Droit dû par les entreprises ferroviaires pour l’autorité de régulation des activités ferroviaires
255 Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP
256 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires en Île-de-France
257 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires hors Île-de-France
258 Contribution additionnelle aux prélèvements sociaux mentionnés aux articles L. 245-14 et L. 245-15 du code de la sécurité sociale
259 Contribution de 0,1 % assise sur les rémunérations retenues pour l’assiette de la taxe d’apprentissage
260 Redevance sanitaire d’abattage
261 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
262 Redevances (pollution et prélèvements) au profit des agences de l’eau
263 Prélèvements sur les jeux d’argent inscrits aux art. L. 137-19 à L. 37-22 du code de la sécurité sociale
264 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
265 Redevance sanitaire de mise sur le marché de produits de pêche et de l’aquaculture implantées en Île-de-France
266 Redevance sanitaire de transformation de produits de pêche et de l’aquaculture
Et la 267 : la taxe à l’essieu (TSVR)a pour objet de compenser les dépenses d’entretien de la voirie, occasionnées par la circulation de certaines catégories de véhicules de fort tonnage. (Merci à la vigilance de LILOU)
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La liste incroyables des impôts et taxes en France

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Par L’Aigre Doux

impots 2

 

En France on n’a pas de pétrole mais on une sacrée liste de taxes :
Liste des Taxes en France
Prévert ne l’avait même pas imaginé…

1 Impôt sur le revenu (IR)
2 Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)
3 Impôt sur les sociétés (IS)
4 Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)
5 Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)
6 Taxe d’habitation (TH)
7 Cotisation foncière des entreprises (CFE)
8 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)
9 Contribution sur les revenus locatifs (CRL)
10 Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)
11 Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)
12 Taxe additionnelle à la TFPNB
13 Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)
14 Taxe destinée au financement des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)
15 Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)
16 Taxe de balayage
17 Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)
18 Impositions perçues au profit des communautés urbaines
19 Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie
20 Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière
21 Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France
22 Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)
23 Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés
24 Taxe sur la consommation de charbon
25 Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)
26 CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)
27 CSG (Contribution sociale généralisée)
28 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux
29 Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)
30 Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)
31 Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées
32 Droits sur les ventes d’immeubles
33 Droit sur les cessions de droits sociaux
34 Droits de succession et de donation
35 Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées
36 Droit du permis de chasse
37 Droit de validation du permis de chasse
38 Taxe sur la musique (SACEM – SPRE)
39 Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir
40 Impôt sur les plus-values immobilières
41 Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM
42 Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM
43 Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France
44 Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés
45 Taxe sur les transactions financières
46 Taxe annuelle sur les produits cosmétiques
47 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »
48 Surtaxe sur les eaux minérales
49 Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement
50 Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique
51 Taxe communale sur les remontées mécaniques
52 Taxe communale sur la consommation finale d’électricité
53 Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)
54 Taxe sur les cartes grises
55 Redevances communale et départementale des mines
56 Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes
57 Taxes de trottoir et de pavage
58 Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes
59 Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière
60 Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement
61 Taxes sur les friches commerciales
62 Taxe sur le ski de fond
63 Taxe sur les éoliennes maritimes
64 Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers
65 Taxe pour non-raccordement à l’égout
66 Taxes dans le domaine funéraire
67 Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses
68 Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte
69 Taxe départementale des espaces naturels sensibles
70 Taxe sur les nuisances sonores aériennes
71 Taxe spéciale sur la publicité télévisée
72 Octroi de mer
73 TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes
74 TGAP lessives
75 TGAP matériaux d’extraction
76 TGAP imprimés
77 TGAP installations classées
78 TGAP déchets
79 TGAP émissions polluantes
80 Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers
81 Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures
82 Taxe sur la publicité foncière
83 Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques
84 Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées
85 Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels
86 Droit de consommation sur les produits intermédiaires
87 Droits de consommation sur les alcools
88 Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées
89 Taxe sur les prémix
90 Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle
91 Contribution sociale de solidarité des sociétés
92 Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques
93 Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé
94 Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité
95 Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales
96 Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux
97 Droits de plaidoirie
98 Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (autorisation de mise sur le marché)
99 Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité
100 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue
101 Participation des employeurs occupant moins de 10 salariés au développement de la formation professionnelle continue
102 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au financement du congé individuel de formation des salariés (0,2 % des rémunérations)
103 Taxe de séjour
104 Financement des congés individuels de formation des salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)
105 Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale
106 Taxe d’apprentissage – versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel
107 Taxe départementale sur les remontées mécaniques
108 Taxe d’apprentissage – versements au titre de la péréquation
109 Contribution au développement de l’apprentissage
110 Taxe d’apprentissage
111 Contribution pour le financement des contrats et périodes de professionnalisation et du droit individuel à la formation à 0,15 % et 0,5 %
112 Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers
113 Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle
114 Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture
115 Taxe spécifique pour la Chambre nationale de la batellerie artisanale
116 Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat
117 Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie
118 Taxe spéciale d’équipement
119 Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)
120 Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)
121 Taxe annuelle sur les logements vacants
122 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
123 Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau
124 Taxe d’aéroport
125 Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance
126 Taxes de protection des obtentions végétales
127 Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)
128 Taxe sur les céréales
129 Taxe au profit de France Agri Mer (anciennement affectée à l’Ofimer)
130 Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes
131 Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers
132 Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension
133 Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois
134 Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure
135 Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table
136 Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques
137 Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction
138 Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles
139 Taxe pour le comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers
140 Droit annuel de francisation et de navigation en Corse ; droit de passeport en Corse
141 Redevance due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente et saisonnière
142 Taxe applicable lors du Renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers
143 Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)
144 Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail
145 Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour
146 Taxes sur les primes d’assurance
147 Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture
148 TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)
149 TVA brute sur les tabacs
150 Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés
151 Droits de consommation sur les tabacs (cigares)
152 Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France
153 Taxe sur les salaires
154 Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires
155 Taxes sur les primes d’assurance automobile
156 Contribution de solidarité sur les billets d’avion
157 Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes
158 Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines autorisations ou enregistrements
159 Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture
160 Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil
161 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France
162 Contribution sociale sur les bénéfices
163 Contribution pour frais de contrôle
164 Droits de timbre sur les passeports sécurisés
165 Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine
166 Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques
167 Taxe sur les spectacles
168 Taxe sur les spectacles de variétés
169 Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie
170 Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression
171 Redevance d’archéologie préventive
172 Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la taxe de publicité foncière perçus au profit des départements
173 Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique
174 Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés
175 Droit de francisation et de navigation
176 Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles
177 Redevances biocides
178 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
179 Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel
180 Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes
181 Octroi de mer
182 Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion
de manifestations ou de compétitions sportives
183 Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes
184 Droit de sécurité
185 Cotisation pêche et milieux aquatiques
186 Redevances cynégétiques
187 Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles
188 Taxe sur les installations nucléaires de base
189 Contribution perçue au profit de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)
190 Taxe sur les résidences secondaires
191 Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France
192 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Recherche
193 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Accompagnement
194 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Diffusion technologique
195 Produits des jeux exploités par la Française des Jeux
196 Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles terrestres
197 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs
198 Contribution sociale sur les bénéfices
199 TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées
200 Taxe sur les appareils automatiques
201 Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée
202 Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché
203 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français
204 Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments
205 Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)
206 Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)
207 Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale
208 Taxe sur les demandes de visa ou de renouvèlement de visa de publicité et sur les dépôts de publicité pharmaceutique
209 Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L. 5138-4 du code de la santé publique
210 Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’œuvre permanente
211 Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce
212 Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi
213 Taxe de Renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour
214 Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs
215 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente
216 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère temporaire
217 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère saisonnière
218 Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques
219 Taxe sur les services de télévision
220 Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)
221 Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence
222 Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire
223 Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie
224 Contribution solidarité autonomie
225 Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise
226 Contribution sur les indemnités de mise à la retraite
227 Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options) de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites
228 Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine
229 Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)
230 Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)
231 Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placements
232 Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise
233 Taxe d’équipement
234 Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)
235 Taxe sur les véhicules de société
236 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers de la Moselle
237 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers d’Alsace
238 Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules
239 Droits de consommation sur les tabacs (cigarettes)
240 Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)
241 Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques
242 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français
243 Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes
244 Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003
245 Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme
246 Taxe de voirie
247 Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)
248 Péréquation entre organismes de logement social
249 Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés
250 Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses
251 Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux
252 Taxe sur les jeux en ligne
253 Contribution tarifaire d’acheminement
254 Droit dû par les entreprises ferroviaires pour l’autorité de régulation des activités ferroviaires
255 Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP
256 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires en Île-de-France
257 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires hors Île-de-France
258 Contribution additionnelle aux prélèvements sociaux mentionnés aux articles L. 245-14 et L. 245-15 du code de la sécurité sociale
259 Contribution de 0,1 % assise sur les rémunérations retenues pour l’assiette de la taxe d’apprentissage
260 Redevance sanitaire d’abattage
261 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
262 Redevances (pollution et prélèvements) au profit des agences de l’eau
263 Prélèvements sur les jeux d’argent inscrits aux art. L. 137-19 à L. 37-22 du code de la sécurité sociale
264 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
265 Redevance sanitaire de mise sur le marché de produits de pêche et de l’aquaculture implantées en Île-de-France
266 Redevance sanitaire de transformation de produits de pêche et de l’aquaculture
Et la 267 : la taxe à l’essieu (TSVR)a pour objet de compenser les dépenses d’entretien de la voirie, occasionnées par la circulation de certaines catégories de véhicules de fort tonnage. (Merci à la vigilance de LILOU)
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Prévert ne l’avait même pas imaginé…

1 Impôt sur le revenu (IR)
2 Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)
3 Impôt sur les sociétés (IS)
4 Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)
5 Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)
6 Taxe d’habitation (TH)
7 Cotisation foncière des entreprises (CFE)
8 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)
9 Contribution sur les revenus locatifs (CRL)
10 Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)
11 Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)
12 Taxe additionnelle à la TFPNB
13 Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)
14 Taxe destinée au financement des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)
15 Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)
16 Taxe de balayage
17 Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)
18 Impositions perçues au profit des communautés urbaines
19 Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie
20 Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière
21 Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France
22 Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)
23 Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés
24 Taxe sur la consommation de charbon
25 Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)
26 CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)
27 CSG (Contribution sociale généralisée)
28 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux
29 Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)
30 Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)
31 Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées
32 Droits sur les ventes d’immeubles
33 Droit sur les cessions de droits sociaux
34 Droits de succession et de donation
35 Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées
36 Droit du permis de chasse
37 Droit de validation du permis de chasse
38 Taxe sur la musique (SACEM – SPRE)
39 Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir
40 Impôt sur les plus-values immobilières
41 Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM
42 Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM
43 Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France
44 Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés
45 Taxe sur les transactions financières
46 Taxe annuelle sur les produits cosmétiques
47 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »
48 Surtaxe sur les eaux minérales
49 Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement
50 Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique
51 Taxe communale sur les remontées mécaniques
52 Taxe communale sur la consommation finale d’électricité
53 Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)
54 Taxe sur les cartes grises
55 Redevances communale et départementale des mines
56 Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes
57 Taxes de trottoir et de pavage
58 Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes
59 Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière
60 Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement
61 Taxes sur les friches commerciales
62 Taxe sur le ski de fond
63 Taxe sur les éoliennes maritimes
64 Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers
65 Taxe pour non-raccordement à l’égout
66 Taxes dans le domaine funéraire
67 Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses
68 Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte
69 Taxe départementale des espaces naturels sensibles
70 Taxe sur les nuisances sonores aériennes
71 Taxe spéciale sur la publicité télévisée
72 Octroi de mer
73 TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes
74 TGAP lessives
75 TGAP matériaux d’extraction
76 TGAP imprimés
77 TGAP installations classées
78 TGAP déchets
79 TGAP émissions polluantes
80 Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers
81 Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures
82 Taxe sur la publicité foncière
83 Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques
84 Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées
85 Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels
86 Droit de consommation sur les produits intermédiaires
87 Droits de consommation sur les alcools
88 Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées
89 Taxe sur les prémix
90 Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle
91 Contribution sociale de solidarité des sociétés
92 Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques
93 Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé
94 Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité
95 Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales
96 Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux
97 Droits de plaidoirie
98 Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (autorisation de mise sur le marché)
99 Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité
100 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue
101 Participation des employeurs occupant moins de 10 salariés au développement de la formation professionnelle continue
102 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au financement du congé individuel de formation des salariés (0,2 % des rémunérations)
103 Taxe de séjour
104 Financement des congés individuels de formation des salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)
105 Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale
106 Taxe d’apprentissage – versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel
107 Taxe départementale sur les remontées mécaniques
108 Taxe d’apprentissage – versements au titre de la péréquation
109 Contribution au développement de l’apprentissage
110 Taxe d’apprentissage
111 Contribution pour le financement des contrats et périodes de professionnalisation et du droit individuel à la formation à 0,15 % et 0,5 %
112 Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers
113 Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle
114 Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture
115 Taxe spécifique pour la Chambre nationale de la batellerie artisanale
116 Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat
117 Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie
118 Taxe spéciale d’équipement
119 Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)
120 Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)
121 Taxe annuelle sur les logements vacants
122 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
123 Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau
124 Taxe d’aéroport
125 Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance
126 Taxes de protection des obtentions végétales
127 Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)
128 Taxe sur les céréales
129 Taxe au profit de France Agri Mer (anciennement affectée à l’Ofimer)
130 Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes
131 Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers
132 Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension
133 Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois
134 Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure
135 Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table
136 Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques
137 Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction
138 Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles
139 Taxe pour le comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers
140 Droit annuel de francisation et de navigation en Corse ; droit de passeport en Corse
141 Redevance due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente et saisonnière
142 Taxe applicable lors du Renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers
143 Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)
144 Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail
145 Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour
146 Taxes sur les primes d’assurance
147 Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture
148 TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)
149 TVA brute sur les tabacs
150 Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés
151 Droits de consommation sur les tabacs (cigares)
152 Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France
153 Taxe sur les salaires
154 Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires
155 Taxes sur les primes d’assurance automobile
156 Contribution de solidarité sur les billets d’avion
157 Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes
158 Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines autorisations ou enregistrements
159 Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture
160 Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil
161 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France
162 Contribution sociale sur les bénéfices
163 Contribution pour frais de contrôle
164 Droits de timbre sur les passeports sécurisés
165 Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine
166 Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques
167 Taxe sur les spectacles
168 Taxe sur les spectacles de variétés
169 Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie
170 Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression
171 Redevance d’archéologie préventive
172 Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la taxe de publicité foncière perçus au profit des départements
173 Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique
174 Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés
175 Droit de francisation et de navigation
176 Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles
177 Redevances biocides
178 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
179 Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel
180 Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes
181 Octroi de mer
182 Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion
de manifestations ou de compétitions sportives
183 Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes
184 Droit de sécurité
185 Cotisation pêche et milieux aquatiques
186 Redevances cynégétiques
187 Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles
188 Taxe sur les installations nucléaires de base
189 Contribution perçue au profit de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)
190 Taxe sur les résidences secondaires
191 Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France
192 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Recherche
193 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Accompagnement
194 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Diffusion technologique
195 Produits des jeux exploités par la Française des Jeux
196 Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles terrestres
197 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs
198 Contribution sociale sur les bénéfices
199 TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées
200 Taxe sur les appareils automatiques
201 Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée
202 Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché
203 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français
204 Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments
205 Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)
206 Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)
207 Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale
208 Taxe sur les demandes de visa ou de renouvèlement de visa de publicité et sur les dépôts de publicité pharmaceutique
209 Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L. 5138-4 du code de la santé publique
210 Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’œuvre permanente
211 Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce
212 Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi
213 Taxe de Renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour
214 Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs
215 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente
216 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère temporaire
217 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère saisonnière
218 Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques
219 Taxe sur les services de télévision
220 Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)
221 Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence
222 Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire
223 Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie
224 Contribution solidarité autonomie
225 Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise
226 Contribution sur les indemnités de mise à la retraite
227 Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options) de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites
228 Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine
229 Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)
230 Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)
231 Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placements
232 Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise
233 Taxe d’équipement
234 Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)
235 Taxe sur les véhicules de société
236 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers de la Moselle
237 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers d’Alsace
238 Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules
239 Droits de consommation sur les tabacs (cigarettes)
240 Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)
241 Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques
242 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français
243 Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes
244 Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003
245 Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme
246 Taxe de voirie
247 Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)
248 Péréquation entre organismes de logement social
249 Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés
250 Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses
251 Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux
252 Taxe sur les jeux en ligne
253 Contribution tarifaire d’acheminement
254 Droit dû par les entreprises ferroviaires pour l’autorité de régulation des activités ferroviaires
255 Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP
256 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires en Île-de-France
257 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires hors Île-de-France
258 Contribution additionnelle aux prélèvements sociaux mentionnés aux articles L. 245-14 et L. 245-15 du code de la sécurité sociale
259 Contribution de 0,1 % assise sur les rémunérations retenues pour l’assiette de la taxe d’apprentissage
260 Redevance sanitaire d’abattage
261 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
262 Redevances (pollution et prélèvements) au profit des agences de l’eau
263 Prélèvements sur les jeux d’argent inscrits aux art. L. 137-19 à L. 37-22 du code de la sécurité sociale
264 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
265 Redevance sanitaire de mise sur le marché de produits de pêche et de l’aquaculture implantées en Île-de-France
266 Redevance sanitaire de transformation de produits de pêche et de l’aquaculture
Et la 267 : la taxe à l’essieu (TSVR)a pour objet de compenser les dépenses d’entretien de la voirie, occasionnées par la circulation de certaines catégories de véhicules de fort tonnage. (Merci à la vigilance de LILOU)
Incroyable non !

;;L’Aigre Doux

Le Billet Amer édition spéciale

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La liste incroyables des impôts et taxes en France

TRIBUNE

lettre copie

   Le Billet Amer édition spéciale  

Par L’Aigre Doux

impots 2

 

En France on n’a pas de pétrole mais on une sacrée liste de taxes :
Liste des Taxes en France
Prévert ne l’avait même pas imaginé…

1 Impôt sur le revenu (IR)
2 Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)
3 Impôt sur les sociétés (IS)
4 Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)
5 Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)
6 Taxe d’habitation (TH)
7 Cotisation foncière des entreprises (CFE)
8 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)
9 Contribution sur les revenus locatifs (CRL)
10 Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)
11 Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)
12 Taxe additionnelle à la TFPNB
13 Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)
14 Taxe destinée au financement des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)
15 Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)
16 Taxe de balayage
17 Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)
18 Impositions perçues au profit des communautés urbaines
19 Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie
20 Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière
21 Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France
22 Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)
23 Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés
24 Taxe sur la consommation de charbon
25 Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)
26 CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)
27 CSG (Contribution sociale généralisée)
28 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux
29 Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)
30 Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)
31 Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées
32 Droits sur les ventes d’immeubles
33 Droit sur les cessions de droits sociaux
34 Droits de succession et de donation
35 Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées
36 Droit du permis de chasse
37 Droit de validation du permis de chasse
38 Taxe sur la musique (SACEM – SPRE)
39 Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir
40 Impôt sur les plus-values immobilières
41 Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM
42 Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM
43 Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France
44 Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés
45 Taxe sur les transactions financières
46 Taxe annuelle sur les produits cosmétiques
47 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »
48 Surtaxe sur les eaux minérales
49 Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement
50 Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique
51 Taxe communale sur les remontées mécaniques
52 Taxe communale sur la consommation finale d’électricité
53 Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)
54 Taxe sur les cartes grises
55 Redevances communale et départementale des mines
56 Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes
57 Taxes de trottoir et de pavage
58 Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes
59 Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière
60 Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement
61 Taxes sur les friches commerciales
62 Taxe sur le ski de fond
63 Taxe sur les éoliennes maritimes
64 Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers
65 Taxe pour non-raccordement à l’égout
66 Taxes dans le domaine funéraire
67 Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses
68 Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte
69 Taxe départementale des espaces naturels sensibles
70 Taxe sur les nuisances sonores aériennes
71 Taxe spéciale sur la publicité télévisée
72 Octroi de mer
73 TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes
74 TGAP lessives
75 TGAP matériaux d’extraction
76 TGAP imprimés
77 TGAP installations classées
78 TGAP déchets
79 TGAP émissions polluantes
80 Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers
81 Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures
82 Taxe sur la publicité foncière
83 Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques
84 Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées
85 Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels
86 Droit de consommation sur les produits intermédiaires
87 Droits de consommation sur les alcools
88 Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées
89 Taxe sur les prémix
90 Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle
91 Contribution sociale de solidarité des sociétés
92 Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques
93 Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé
94 Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité
95 Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales
96 Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux
97 Droits de plaidoirie
98 Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (autorisation de mise sur le marché)
99 Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité
100 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue
101 Participation des employeurs occupant moins de 10 salariés au développement de la formation professionnelle continue
102 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au financement du congé individuel de formation des salariés (0,2 % des rémunérations)
103 Taxe de séjour
104 Financement des congés individuels de formation des salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)
105 Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale
106 Taxe d’apprentissage – versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel
107 Taxe départementale sur les remontées mécaniques
108 Taxe d’apprentissage – versements au titre de la péréquation
109 Contribution au développement de l’apprentissage
110 Taxe d’apprentissage
111 Contribution pour le financement des contrats et périodes de professionnalisation et du droit individuel à la formation à 0,15 % et 0,5 %
112 Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers
113 Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle
114 Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture
115 Taxe spécifique pour la Chambre nationale de la batellerie artisanale
116 Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat
117 Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie
118 Taxe spéciale d’équipement
119 Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)
120 Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)
121 Taxe annuelle sur les logements vacants
122 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
123 Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau
124 Taxe d’aéroport
125 Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance
126 Taxes de protection des obtentions végétales
127 Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)
128 Taxe sur les céréales
129 Taxe au profit de France Agri Mer (anciennement affectée à l’Ofimer)
130 Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes
131 Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers
132 Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension
133 Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois
134 Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure
135 Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table
136 Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques
137 Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction
138 Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles
139 Taxe pour le comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers
140 Droit annuel de francisation et de navigation en Corse ; droit de passeport en Corse
141 Redevance due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente et saisonnière
142 Taxe applicable lors du Renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers
143 Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)
144 Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail
145 Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour
146 Taxes sur les primes d’assurance
147 Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture
148 TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)
149 TVA brute sur les tabacs
150 Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés
151 Droits de consommation sur les tabacs (cigares)
152 Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France
153 Taxe sur les salaires
154 Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires
155 Taxes sur les primes d’assurance automobile
156 Contribution de solidarité sur les billets d’avion
157 Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes
158 Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines autorisations ou enregistrements
159 Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture
160 Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil
161 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France
162 Contribution sociale sur les bénéfices
163 Contribution pour frais de contrôle
164 Droits de timbre sur les passeports sécurisés
165 Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine
166 Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques
167 Taxe sur les spectacles
168 Taxe sur les spectacles de variétés
169 Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie
170 Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression
171 Redevance d’archéologie préventive
172 Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la taxe de publicité foncière perçus au profit des départements
173 Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique
174 Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés
175 Droit de francisation et de navigation
176 Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles
177 Redevances biocides
178 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
179 Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel
180 Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes
181 Octroi de mer
182 Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion
de manifestations ou de compétitions sportives
183 Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes
184 Droit de sécurité
185 Cotisation pêche et milieux aquatiques
186 Redevances cynégétiques
187 Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations additionnelles relatives à la garantie contre le risque de catastrophes naturelles
188 Taxe sur les installations nucléaires de base
189 Contribution perçue au profit de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES)
190 Taxe sur les résidences secondaires
191 Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France
192 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Recherche
193 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Accompagnement
194 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base – Diffusion technologique
195 Produits des jeux exploités par la Française des Jeux
196 Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles terrestres
197 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs
198 Contribution sociale sur les bénéfices
199 TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées
200 Taxe sur les appareils automatiques
201 Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée
202 Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché
203 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français
204 Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments
205 Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)
206 Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)
207 Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale
208 Taxe sur les demandes de visa ou de renouvèlement de visa de publicité et sur les dépôts de publicité pharmaceutique
209 Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L. 5138-4 du code de la santé publique
210 Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’œuvre permanente
211 Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce
212 Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi
213 Taxe de Renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour
214 Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs
215 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente
216 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère temporaire
217 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère saisonnière
218 Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques
219 Taxe sur les services de télévision
220 Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)
221 Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence
222 Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire
223 Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie
224 Contribution solidarité autonomie
225 Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise
226 Contribution sur les indemnités de mise à la retraite
227 Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options) de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites
228 Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine
229 Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)
230 Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)
231 Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placements
232 Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise
233 Taxe d’équipement
234 Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)
235 Taxe sur les véhicules de société
236 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers de la Moselle
237 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat – chambre de métiers d’Alsace
238 Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules
239 Droits de consommation sur les tabacs (cigarettes)
240 Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)
241 Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques
242 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français
243 Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes
244 Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003
245 Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme
246 Taxe de voirie
247 Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)
248 Péréquation entre organismes de logement social
249 Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés
250 Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses
251 Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux
252 Taxe sur les jeux en ligne
253 Contribution tarifaire d’acheminement
254 Droit dû par les entreprises ferroviaires pour l’autorité de régulation des activités ferroviaires
255 Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP
256 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires en Île-de-France
257 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires hors Île-de-France
258 Contribution additionnelle aux prélèvements sociaux mentionnés aux articles L. 245-14 et L. 245-15 du code de la sécurité sociale
259 Contribution de 0,1 % assise sur les rémunérations retenues pour l’assiette de la taxe d’apprentissage
260 Redevance sanitaire d’abattage
261 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes
262 Redevances (pollution et prélèvements) au profit des agences de l’eau
263 Prélèvements sur les jeux d’argent inscrits aux art. L. 137-19 à L. 37-22 du code de la sécurité sociale
264 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province
265 Redevance sanitaire de mise sur le marché de produits de pêche et de l’aquaculture implantées en Île-de-France
266 Redevance sanitaire de transformation de produits de pêche et de l’aquaculture
Et la 267 : la taxe à l’essieu (TSVR)a pour objet de compenser les dépenses d’entretien de la voirie, occasionnées par la circulation de certaines catégories de véhicules de fort tonnage. (Merci à la vigilance de LILOU)
Incroyable non !

;;L’Aigre Doux

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l’USINE NOUVELLE : Les cinq faits marquants à retenir sur la perte d’attractivité de la France par Solène Davesne


Publié le 24/05/2016 À 07H00

baromètre Selon le baromètre EY, la France est nettement devancé en 2015 par l’Allemagne et la Grande-Bretagne dans la course pour attirer les investisseurs étrangers sur son sol

Malgré sa position géographique centrale et les communiqués optimistes de Business France sur l’attractivité de notre territoire, la France n’attire pas autant d’investissements physiques étrangers que ses grands voisins. Revue des faits marquants et chiffrés de l’année avec la société de conseil EY.

Le décrochage s’est accéléré 

Rétrogradée à la troisième place européenne pour les investisseurs étrangers depuis 2010, la France a encore augmenté son retard par rapport à l’Allemagne et la Grande-Bretagne, leader incontestée en matière d’attractivité.

Avec 598 projets menés à bien, la France a attiré presque autant de projet que l’an dernier, selon le baromètre EY. Dans le même temps, le nombre d’investissements directs étrangers en Europe s’est en revanche envolé de 14 %. L’Allemagne a ainsi réussi à convaincre 946 investisseurs de s’implanter sur son sol (+9 % par rapport à 2014). Loin des craintes du Brexit, les entreprises étrangères ont continué à plébisciter la Grande-Bretagne, qui caracole en tête avec 1065 projets, en hausse de 20 % sur un an.

« La nature des investissements l’avantage. Les projets se font de plus en plus dans les services, qui est la spécialité claire de la Grande-Bretagne. Le pays a aussi su développer un marketing efficace », souligne Marc Lhermitte, associé chez EY Les projets réalisés en France ont représenté 13 639 nouveaux emplois, soit la cinquième performance européenne seulement derrière la Pologne et la Russie.

La France a perdu la bataille des sièges sociaux 
Difficile de rivaliser avec Londres pour attirer des sièges sociaux. En 2015, la Grande-Bretagne a raflé 150 décisions d’implantations de centres de décision, soit la moitié des projets européens. Avec 11 projets seulement, la France ne pointe que sixième, devancée par l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Irlande et la Suisse.

Comme le rappelle une récente note du Conseil d’analyse économique, la présence de centres de décision est pourtant stratégique car ils ont un fort effet de levier pour localiser ensuite d’autres sites du groupe dans le pays. Pour les experts du CAE, la France devrait miser sur la qualité de ses infrastructures pour les cadres internationaux, comme les lycées internationaux. Le niveau de l’impôt sur les sociétés aurait un effet marginal.

Marc Lhermitte est moins catégorique. « En comité d’investissement, il y a toujours un moment où on fait défiler les slides des principaux taux d’impôts de chaque pays. La France ne doit pas forcément faire baisser ses d’IS, mais elle doit faire un marketing de sa fiscalité », estime l’expert.

Les investisseurs chinois ne sont pas au rendez-vous
La France est aussi en mauvaise posture pour attirer les nouveaux investisseurs étrangers en provenance des pays émergents, et notamment des chinois. Ce sont pourtant des investisseurs très convoités car ils commencent à peine à s’implanter. En Europe, les investisseurs chinois représentent 5 % des implantations de sites mais pèsent seulement 2 % des projets en France. En 2015, les investisseurs chinois ont réalisé 74 projets d’implantations en Allemagne, 68 en Grande-Bretagne, 19 aux Pays-Bas et seulement 14 en France. L’OPA de Kuka, le fabricant de robots industriels allemands par le groupe chinois Midea confirme le tropisme de ces investisseurs.

La note du CAE soulignait d’ailleurs que le recul des implantations de centres de décision en France s’expliquait aussi par la faible présence d’investisseurs émergents.  Pour EY, tout n’est cependant pas perdu. « Comme cela s’était passé avec le Japon, la France devra attendre la deuxième vague des investisseurs chinois « , estime Marc Lhermitte. Dans les années 80, les groupes japonais avaient d’abord misé sur  l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Avant de venir en France dans les années 2000 comme Toyota. Mais il faut déjà s’y préparer.

L’industrie, principale carte à jouer pour l’attractivité
Pour attirer les investisseurs étrangers, la France devrait davantage jouer la carte de l’industrie du futur. Car c’est là que se niche encore sa principale force. La France reste la première destination d’accueil en Europe pour les sites de production, même si les projets sont à 80 % des extensions de sites existants de petite taille.

L’attractivité de la France progresse pour les centres de R&D, avec plus  66 % de projets menés en 2015 par rapport à l’année précédent. Mais si l’Hexagone rattrape une partie de son retard, il reste une nouvelle fois bon troisième derrière l’Allemagne et la Grande Bretagne. S’il continue à jouer favorablement, le crédit d’impôt recherche n’est plus si discriminant car il est désormais rentré dans les mœurs des investisseurs et d’autres pays européens se sont dotés de dispositifs similaires.

L’image s’améliore, mais il reste à faire
Avec 80 % de décideurs étrangers satisfaits de l’attractivité de la France, la perception remonte à son niveau d’avant crise. C’est l’effet Emmanuel Macron. « Il y a un discours moins clivant et une meilleure stratégie vis-à-vis des relais d’opinion », souligne Marc Lhermitte, qui se félicite de la tenue régulière des conseils stratégiques de l’attractivité à l’Elysée et de la réussite de la campagne autour de la French tech.

Tout n’est donc pas perdu. Mais pour l’instant, la fin du french bashing ne se traduit pas en projets concrets. Les intentions de s’installer en France dans les douze prochains mois ont reculé de 35 % en 2015 à 24 % en 2016. « Les handicaps de la France sont restent les même : un coût du travail et une fiscalité élevée et un droit du travail perçu comme rigide. Les investisseurs ont l’impression que peu de choses ont changé au final », estime Marc Lhermitte.

Les cinq faits marquants à retenir sur la perte d’attractivité de la France

Solène Davesne

Publié le 24/05/2016 À 07H00

baromètre Selon le baromètre EY, la France est nettement devancé en 2015 par l’Allemagne et la Grande-Bretagne dans la course pour attirer les investisseurs étrangers sur son sol

Malgré sa position géographique centrale et les communiqués optimistes de Business France sur l’attractivité de notre territoire, la France n’attire pas autant d’investissements physiques étrangers que ses grands voisins. Revue des faits marquants et chiffrés de l’année avec la société de conseil EY.

Le décrochage s’est accéléré 

Rétrogradée à la troisième place européenne pour les investisseurs étrangers depuis 2010, la France a encore augmenté son retard par rapport à l’Allemagne et la Grande-Bretagne, leader incontestée en matière d’attractivité.

Avec 598 projets menés à bien, la France a attiré presque autant de projet que l’an dernier, selon le baromètre EY. Dans le même temps, le nombre d’investissements directs étrangers en Europe s’est en revanche envolé de 14 %. L’Allemagne a ainsi réussi à convaincre 946 investisseurs de s’implanter sur son sol (+9 % par rapport à 2014). Loin des craintes du Brexit, les entreprises étrangères ont continué à plébisciter la Grande-Bretagne, qui caracole en tête avec 1065 projets, en hausse de 20 % sur un an.

« La nature des investissements l’avantage. Les projets se font de plus en plus dans les services, qui est la spécialité claire de la Grande-Bretagne. Le pays a aussi su développer un marketing efficace », souligne Marc Lhermitte, associé chez EY Les projets réalisés en France ont représenté 13 639 nouveaux emplois, soit la cinquième performance européenne seulement derrière la Pologne et la Russie.

La France a perdu la bataille des sièges sociaux 
Difficile de rivaliser avec Londres pour attirer des sièges sociaux. En 2015, la Grande-Bretagne a raflé 150 décisions d’implantations de centres de décision, soit la moitié des projets européens. Avec 11 projets seulement, la France ne pointe que sixième, devancée par l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Irlande et la Suisse.

Comme le rappelle une récente note du Conseil d’analyse économique, la présence de centres de décision est pourtant stratégique car ils ont un fort effet de levier pour localiser ensuite d’autres sites du groupe dans le pays. Pour les experts du CAE, la France devrait miser sur la qualité de ses infrastructures pour les cadres internationaux, comme les lycées internationaux. Le niveau de l’impôt sur les sociétés aurait un effet marginal.

Marc Lhermitte est moins catégorique. « En comité d’investissement, il y a toujours un moment où on fait défiler les slides des principaux taux d’impôts de chaque pays. La France ne doit pas forcément faire baisser ses d’IS, mais elle doit faire un marketing de sa fiscalité », estime l’expert.

Les investisseurs chinois ne sont pas au rendez-vous
La France est aussi en mauvaise posture pour attirer les nouveaux investisseurs étrangers en provenance des pays émergents, et notamment des chinois. Ce sont pourtant des investisseurs très convoités car ils commencent à peine à s’implanter. En Europe, les investisseurs chinois représentent 5 % des implantations de sites mais pèsent seulement 2 % des projets en France. En 2015, les investisseurs chinois ont réalisé 74 projets d’implantations en Allemagne, 68 en Grande-Bretagne, 19 aux Pays-Bas et seulement 14 en France. L’OPA de Kuka, le fabricant de robots industriels allemands par le groupe chinois Midea confirme le tropisme de ces investisseurs.

La note du CAE soulignait d’ailleurs que le recul des implantations de centres de décision en France s’expliquait aussi par la faible présence d’investisseurs émergents.  Pour EY, tout n’est cependant pas perdu. « Comme cela s’était passé avec le Japon, la France devra attendre la deuxième vague des investisseurs chinois « , estime Marc Lhermitte. Dans les années 80, les groupes japonais avaient d’abord misé sur  l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Avant de venir en France dans les années 2000 comme Toyota. Mais il faut déjà s’y préparer.

L’industrie, principale carte à jouer pour l’attractivité
Pour attirer les investisseurs étrangers, la France devrait davantage jouer la carte de l’industrie du futur. Car c’est là que se niche encore sa principale force. La France reste la première destination d’accueil en Europe pour les sites de production, même si les projets sont à 80 % des extensions de sites existants de petite taille.

L’attractivité de la France progresse pour les centres de R&D, avec plus  66 % de projets menés en 2015 par rapport à l’année précédent. Mais si l’Hexagone rattrape une partie de son retard, il reste une nouvelle fois bon troisième derrière l’Allemagne et la Grande Bretagne. S’il continue à jouer favorablement, le crédit d’impôt recherche n’est plus si discriminant car il est désormais rentré dans les mœurs des investisseurs et d’autres pays européens se sont dotés de dispositifs similaires.

L’image s’améliore, mais il reste à faire
Avec 80 % de décideurs étrangers satisfaits de l’attractivité de la France, la perception remonte à son niveau d’avant crise. C’est l’effet Emmanuel Macron. « Il y a un discours moins clivant et une meilleure stratégie vis-à-vis des relais d’opinion », souligne Marc Lhermitte, qui se félicite de la tenue régulière des conseils stratégiques de l’attractivité à l’Elysée et de la réussite de la campagne autour de la French tech.

Tout n’est donc pas perdu. Mais pour l’instant, la fin du french bashing ne se traduit pas en projets concrets. Les intentions de s’installer en France dans les douze prochains mois ont reculé de 35 % en 2015 à 24 % en 2016. « Les handicaps de la France sont restent les même : un coût du travail et une fiscalité élevée et un droit du travail perçu comme rigide. Les investisseurs ont l’impression que peu de choses ont changé au final », estime Marc Lhermitte.

Les cinq faits marquants à retenir sur la perte d’attractivité de la France

Solène Davesne

Publié le 24/05/2016 À 07H00

baromètre Selon le baromètre EY, la France est nettement devancé en 2015 par l’Allemagne et la Grande-Bretagne dans la course pour attirer les investisseurs étrangers sur son sol

Malgré sa position géographique centrale et les communiqués optimistes de Business France sur l’attractivité de notre territoire, la France n’attire pas autant d’investissements physiques étrangers que ses grands voisins. Revue des faits marquants et chiffrés de l’année avec la société de conseil EY.

Le décrochage s’est accéléré 

Rétrogradée à la troisième place européenne pour les investisseurs étrangers depuis 2010, la France a encore augmenté son retard par rapport à l’Allemagne et la Grande-Bretagne, leader incontestée en matière d’attractivité.

Avec 598 projets menés à bien, la France a attiré presque autant de projet que l’an dernier, selon le baromètre EY. Dans le même temps, le nombre d’investissements directs étrangers en Europe s’est en revanche envolé de 14 %. L’Allemagne a ainsi réussi à convaincre 946 investisseurs de s’implanter sur son sol (+9 % par rapport à 2014). Loin des craintes du Brexit, les entreprises étrangères ont continué à plébisciter la Grande-Bretagne, qui caracole en tête avec 1065 projets, en hausse de 20 % sur un an.

« La nature des investissements l’avantage. Les projets se font de plus en plus dans les services, qui est la spécialité claire de la Grande-Bretagne. Le pays a aussi su développer un marketing efficace », souligne Marc Lhermitte, associé chez EY Les projets réalisés en France ont représenté 13 639 nouveaux emplois, soit la cinquième performance européenne seulement derrière la Pologne et la Russie.

La France a perdu la bataille des sièges sociaux 
Difficile de rivaliser avec Londres pour attirer des sièges sociaux. En 2015, la Grande-Bretagne a raflé 150 décisions d’implantations de centres de décision, soit la moitié des projets européens. Avec 11 projets seulement, la France ne pointe que sixième, devancée par l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Irlande et la Suisse.

Comme le rappelle une récente note du Conseil d’analyse économique, la présence de centres de décision est pourtant stratégique car ils ont un fort effet de levier pour localiser ensuite d’autres sites du groupe dans le pays. Pour les experts du CAE, la France devrait miser sur la qualité de ses infrastructures pour les cadres internationaux, comme les lycées internationaux. Le niveau de l’impôt sur les sociétés aurait un effet marginal.

Marc Lhermitte est moins catégorique. « En comité d’investissement, il y a toujours un moment où on fait défiler les slides des principaux taux d’impôts de chaque pays. La France ne doit pas forcément faire baisser ses d’IS, mais elle doit faire un marketing de sa fiscalité », estime l’expert.

Les investisseurs chinois ne sont pas au rendez-vous
La France est aussi en mauvaise posture pour attirer les nouveaux investisseurs étrangers en provenance des pays émergents, et notamment des chinois. Ce sont pourtant des investisseurs très convoités car ils commencent à peine à s’implanter. En Europe, les investisseurs chinois représentent 5 % des implantations de sites mais pèsent seulement 2 % des projets en France. En 2015, les investisseurs chinois ont réalisé 74 projets d’implantations en Allemagne, 68 en Grande-Bretagne, 19 aux Pays-Bas et seulement 14 en France. L’OPA de Kuka, le fabricant de robots industriels allemands par le groupe chinois Midea confirme le tropisme de ces investisseurs.

La note du CAE soulignait d’ailleurs que le recul des implantations de centres de décision en France s’expliquait aussi par la faible présence d’investisseurs émergents.  Pour EY, tout n’est cependant pas perdu. « Comme cela s’était passé avec le Japon, la France devra attendre la deuxième vague des investisseurs chinois « , estime Marc Lhermitte. Dans les années 80, les groupes japonais avaient d’abord misé sur  l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Avant de venir en France dans les années 2000 comme Toyota. Mais il faut déjà s’y préparer.

L’industrie, principale carte à jouer pour l’attractivité
Pour attirer les investisseurs étrangers, la France devrait davantage jouer la carte de l’industrie du futur. Car c’est là que se niche encore sa principale force. La France reste la première destination d’accueil en Europe pour les sites de production, même si les projets sont à 80 % des extensions de sites existants de petite taille.

L’attractivité de la France progresse pour les centres de R&D, avec plus  66 % de projets menés en 2015 par rapport à l’année précédent. Mais si l’Hexagone rattrape une partie de son retard, il reste une nouvelle fois bon troisième derrière l’Allemagne et la Grande Bretagne. S’il continue à jouer favorablement, le crédit d’impôt recherche n’est plus si discriminant car il est désormais rentré dans les mœurs des investisseurs et d’autres pays européens se sont dotés de dispositifs similaires.

L’image s’améliore, mais il reste à faire
Avec 80 % de décideurs étrangers satisfaits de l’attractivité de la France, la perception remonte à son niveau d’avant crise. C’est l’effet Emmanuel Macron. « Il y a un discours moins clivant et une meilleure stratégie vis-à-vis des relais d’opinion », souligne Marc Lhermitte, qui se félicite de la tenue régulière des conseils stratégiques de l’attractivité à l’Elysée et de la réussite de la campagne autour de la French tech.

Tout n’est donc pas perdu. Mais pour l’instant, la fin du french bashing ne se traduit pas en projets concrets. Les intentions de s’installer en France dans les douze prochains mois ont reculé de 35 % en 2015 à 24 % en 2016. « Les handicaps de la France sont restent les même : un coût du travail et une fiscalité élevée et un droit du travail perçu comme rigide. Les investisseurs ont l’impression que peu de choses ont changé au final », estime Marc Lhermitte.

Les cinq faits marquants à retenir sur la perte d’attractivité de la France

Solène Davesne

Publié le 24/05/2016 À 07H00

baromètre Selon le baromètre EY, la France est nettement devancé en 2015 par l’Allemagne et la Grande-Bretagne dans la course pour attirer les investisseurs étrangers sur son sol

Malgré sa position géographique centrale et les communiqués optimistes de Business France sur l’attractivité de notre territoire, la France n’attire pas autant d’investissements physiques étrangers que ses grands voisins. Revue des faits marquants et chiffrés de l’année avec la société de conseil EY.

Le décrochage s’est accéléré 

Rétrogradée à la troisième place européenne pour les investisseurs étrangers depuis 2010, la France a encore augmenté son retard par rapport à l’Allemagne et la Grande-Bretagne, leader incontestée en matière d’attractivité.

Avec 598 projets menés à bien, la France a attiré presque autant de projet que l’an dernier, selon le baromètre EY. Dans le même temps, le nombre d’investissements directs étrangers en Europe s’est en revanche envolé de 14 %. L’Allemagne a ainsi réussi à convaincre 946 investisseurs de s’implanter sur son sol (+9 % par rapport à 2014). Loin des craintes du Brexit, les entreprises étrangères ont continué à plébisciter la Grande-Bretagne, qui caracole en tête avec 1065 projets, en hausse de 20 % sur un an.

« La nature des investissements l’avantage. Les projets se font de plus en plus dans les services, qui est la spécialité claire de la Grande-Bretagne. Le pays a aussi su développer un marketing efficace », souligne Marc Lhermitte, associé chez EY Les projets réalisés en France ont représenté 13 639 nouveaux emplois, soit la cinquième performance européenne seulement derrière la Pologne et la Russie.

La France a perdu la bataille des sièges sociaux 
Difficile de rivaliser avec Londres pour attirer des sièges sociaux. En 2015, la Grande-Bretagne a raflé 150 décisions d’implantations de centres de décision, soit la moitié des projets européens. Avec 11 projets seulement, la France ne pointe que sixième, devancée par l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Irlande et la Suisse.

Comme le rappelle une récente note du Conseil d’analyse économique, la présence de centres de décision est pourtant stratégique car ils ont un fort effet de levier pour localiser ensuite d’autres sites du groupe dans le pays. Pour les experts du CAE, la France devrait miser sur la qualité de ses infrastructures pour les cadres internationaux, comme les lycées internationaux. Le niveau de l’impôt sur les sociétés aurait un effet marginal.

Marc Lhermitte est moins catégorique. « En comité d’investissement, il y a toujours un moment où on fait défiler les slides des principaux taux d’impôts de chaque pays. La France ne doit pas forcément faire baisser ses d’IS, mais elle doit faire un marketing de sa fiscalité », estime l’expert.

Les investisseurs chinois ne sont pas au rendez-vous
La France est aussi en mauvaise posture pour attirer les nouveaux investisseurs étrangers en provenance des pays émergents, et notamment des chinois. Ce sont pourtant des investisseurs très convoités car ils commencent à peine à s’implanter. En Europe, les investisseurs chinois représentent 5 % des implantations de sites mais pèsent seulement 2 % des projets en France. En 2015, les investisseurs chinois ont réalisé 74 projets d’implantations en Allemagne, 68 en Grande-Bretagne, 19 aux Pays-Bas et seulement 14 en France. L’OPA de Kuka, le fabricant de robots industriels allemands par le groupe chinois Midea confirme le tropisme de ces investisseurs.

La note du CAE soulignait d’ailleurs que le recul des implantations de centres de décision en France s’expliquait aussi par la faible présence d’investisseurs émergents.  Pour EY, tout n’est cependant pas perdu. « Comme cela s’était passé avec le Japon, la France devra attendre la deuxième vague des investisseurs chinois « , estime Marc Lhermitte. Dans les années 80, les groupes japonais avaient d’abord misé sur  l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Avant de venir en France dans les années 2000 comme Toyota. Mais il faut déjà s’y préparer.

L’industrie, principale carte à jouer pour l’attractivité
Pour attirer les investisseurs étrangers, la France devrait davantage jouer la carte de l’industrie du futur. Car c’est là que se niche encore sa principale force. La France reste la première destination d’accueil en Europe pour les sites de production, même si les projets sont à 80 % des extensions de sites existants de petite taille.

L’attractivité de la France progresse pour les centres de R&D, avec plus  66 % de projets menés en 2015 par rapport à l’année précédent. Mais si l’Hexagone rattrape une partie de son retard, il reste une nouvelle fois bon troisième derrière l’Allemagne et la Grande Bretagne. S’il continue à jouer favorablement, le crédit d’impôt recherche n’est plus si discriminant car il est désormais rentré dans les mœurs des investisseurs et d’autres pays européens se sont dotés de dispositifs similaires.

L’image s’améliore, mais il reste à faire
Avec 80 % de décideurs étrangers satisfaits de l’attractivité de la France, la perception remonte à son niveau d’avant crise. C’est l’effet Emmanuel Macron. « Il y a un discours moins clivant et une meilleure stratégie vis-à-vis des relais d’opinion », souligne Marc Lhermitte, qui se félicite de la tenue régulière des conseils stratégiques de l’attractivité à l’Elysée et de la réussite de la campagne autour de la French tech.

Tout n’est donc pas perdu. Mais pour l’instant, la fin du french bashing ne se traduit pas en projets concrets. Les intentions de s’installer en France dans les douze prochains mois ont reculé de 35 % en 2015 à 24 % en 2016. « Les handicaps de la France sont restent les même : un coût du travail et une fiscalité élevée et un droit du travail perçu comme rigide. Les investisseurs ont l’impression que peu de choses ont changé au final », estime Marc Lhermitte.

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WIKISTRIKES : Vers la fin des négociations de Genève

Publié par wikistrike.com sur 24 Mai 2016, 09:49am

Catégories : #Politique internationale

Réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (Vienne, 17 mai 2016).

Réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (Vienne, 17 mai 2016).

Washington et Moscou sont parvenus à maintenir leur accord sur la Syrie après que John Kerry ait assuré à son homologue russe que les armes livrées par le Pentagone en avril à Al-Qaïda et à Daesh l’avaient été en vertu d’un ancien programme aujourd’hui abandonné. On se dirige vers l’arrêt des négociations de Genève et la reprise de discussions intra-syriennes sans les pro-Saoudiens et incluant les Kurdes.

 

L’implication états-unienne en Syrie est toujours aussi confuse. Alors que, le 22 février 2016, John Kerry avait négocié une cessation des hostilités et que la Russie avait retiré ses bombardiers, la Turquie —membre de l’Otan— a poursuivi son soutien à Daesh.

Le 8 mars, la Russie déposait au Conseil de sécurité un rapport accusant Ankara de contrôler le trafic d’antiquités au profit de Daesh [1]. Le 18 mars, elle en déposait un nouveau l’accusant de livrer des armes et des munitions à Daesh [2]. Dans les deux cas, la Turquie « réfutait totalement » ces allégations et accusait la Russie d’organiser une manœuvre de diversion pour « détourner l’attention de la communauté internationale des pertes civiles, du chaos et des destructions considérables causés par le régime syrien et les opérations militaires russes en Syrie ». L’état-major russe persistait en révélant qu’Ankara venait de laisser entrer en Syrie 9 000 nouveaux jihadistes. Cependant, on pouvait alors penser que la Turquie agissait de son propre chef sans en référer aux États-Unis.

Or, le 7 avril, le département US de la Défense livrait 2 000 tonnes d’armes aux « groupes armés modérés », dont environ 500 ont été immédiatement redistribués à Al-Nosra (Al-Qaïda) et 500 autres à Daesh [3].

Quoi qu’il en soit, le soutien de la Turquie à Daesh semble avoir brusquement diminué au cours des derniers jours.

Il semble, qu’à l’abri des regards, Moscou ait violemment protesté de sorte que le 9 mai, John Kerry et Sergeï Lavrov publiaient une déclaration commune [4]. Ils y exhortent « tous les États à mettre en œuvre la résolution 2253 (2015) du Conseil de sécurité, en empêchant tout soutien matériel ou financier à l’ÉIIL [Daesh], au Front al-Nosra ou à tout autre groupe qualifié de terroriste par le Conseil de sécurité de l’ONU, et de couper court à toute tentative de ces groupes de franchir la frontière de la Syrie ».

Il était surtout convenu que Washington fixait à ses alliés une date butoir, début juillet, pour parvenir à un accord négocié à Genève. Au-delà, il retirait toutes ses forces armées, tandis que la Russie amènerait le porte-avions Amiral Kutznesov au large de la Syrie pour reprendre, à moindre échelle, sa campagne de bombardement des organisations terroristes (désormais ré-armées) [5].

Cependant, le flou n’était toujours pas définitivement éclairci. Un vif incident opposa Russes et États-uniens à l’Onu à propos de l’Armée de l’islam (Jaysh al-islam) et du Mouvement islamique des hommes libres du Sham (Ahrar al-Sham). Moscou entendait les inscrire sur la liste des « organisations terroristes », alors que Washington souhaite les considérer encore comme « groupes armés modérés ».

L’Armée de l’islam est une formation payée par l’Arabie saoudite et encadrée par des SAS britanniques. D’abord dirigée par Zahran Allouche, elle sema la terreur dans la banlieue de Damas et menaça la capitale durant trois ans. son chef, qui vouait un culte à Ossama Bin Laden, se caractérisa par sa cruauté, faisant décapiter de nombreux habitants et en utilisant d’autres, enfermés dans des cages, comme boucliers humains. En définitive, les bombes pénétrantes de l’Armée de l’Air russe eurent raison du bunker souterrain qui avait été construit pour abriter son état-major. Après une période de flottement, l’un des 17 adjoints d’Allouche, Issam el-Bouaydani, prit temporairement sa succession. Il fut rapidement évincé au profit d’un religieux wahhabite, cheikh Abou Abdarrahman Kaaké. Ce dernier favorisa la nomination d’un cousin de Zahran Allouche, Mohamed Allouche, pour diriger la délégation de l’opposition saoudienne aux négociations de paix intra-syriennes de Genève. Ce dernier s’est illustré en précipitant des Syriens accusés d’être gays du haut des toits —la République arabe syrienne est le seul État arabe à respecter la vie privée et à ne pas pénaliser les homosexuels—.

Le Mouvement islamique des hommes libres du Sham est également encadré par les Britanniques. Comme l’Armée de l’islam, sa communication est assurée par InCoStrat [6]. Son « ministre des Affaires étrangères », Labib al-Nahhas, circule librement en Occident. C’est en réalité lui-même un Britannique, membre du MI6. Il a publié une tribune libre dans le Washington Post [7], et s’est secrètement rendu à New York en décembre dernier présenter son rapport à Jeffrey Feltman, dans les bureaux de l’Onu.

Le 17 mai, le Groupe international de soutien à la Syrie se réunissait à Vienne. Dans sa déclaration finale [8], il met en cause la poursuite par l’Armée arabe syrienne de sa stratégie d’encerclement des villages contrôlés par les jihadistes de « l’opposition modérée ». Mais surtout, il valide à nouveau l’ensemble des décisions russo-US des derniers mois, à savoir :
- former un mécanisme de transition commun entre le gouvernement syrien et tout l’éventail de l’opposition à l’étape de la transition ;
- élaborer une nouvelle Constitution ;
- puis organiser de nouvelles élections présidentielles et parlementaires sur cette base.

Or, bien que l’Arabie saoudite soit membre du Groupe international de soutien à la Syrie, l’opposition modérée refuse toujours ces trois points. Elle persiste à exiger le départ du président el-Assad et de la plupart des hauts-fonctionnaires chrétiens, chiites et alaouites avant la formation du mécanisme de transition. En outre, elle n’entend pas affronter les dirigeants actuels au cours d’élections démocratiques.

Il n’est pas indifférent qu’au cours de la réunion de Vienne, un diplomate ait déclaré que son pays était prêt à lutter contre Al-Qaïda, mais qu’il s’interrogeait pour savoir qui occuperait alors le terrain. Sergeï Lavrov releva ce qu’il considéra comme un « lapsus » : ce diplomate admettait de facto que son pays préférait une victoire d’Al-Qaïda à une de la République arabe syrienne. Ce faisant, il s’éloignait de la décision du Conseil de sécurité de faire de la lutte contre le terrorisme son objectif numéro 1.

Le même jour, 17 mai, le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu, Terje Rød-Larsen, présentait son dernier rapport sur l’application de la résolution 1559 et annonçait sa démission. Cette résolution avait été rédigée en 2004 à l’initiative des États-Unis, de la France et de l’Arabie saoudite pour exiger le désarmement du Hezbollah libanais, la non-reconduction du président Émile Lahoud et le retrait de la force de paix syrienne du Liban. Elle n’a jamais été appliquée bien que la Syrie ait elle-même retiré ses soldats à la demande de la rue libanaise lors de la « révolution du Cèdre ». M Ban a immédiatement chargé son adjoint pour les Affaires politiques, Jeffrey Feltman, de prendre en charge jusqu’à la fin de l’année les fonctions de M. Terje Rød-Larsen en plus des siennes. Or, de très nombreux observateurs considèrent que Jeffrey Feltman, ancien ambassadeur US à Beyrouth, est le véritable rédacteur de la résolution 1559 et qu’il dirige aujourd’hui en sous-main depuis New York la coalition militaire contre la Syrie.

Le 19 mai, Jeffrey Feltman participait à une cérémonie à Paris aux côtés des membres de l’opposition syrienne de l’étranger, Burhan Ghalioun, Michel Kilo, Bassma Kodmani et Samar Yazbeck.

En France toujours, le général Benoît Puga a annoncé sa démission de ses fonctions de chef d’état-major particulier du président de la République pour rejoindre la Chancellerie de la Légion d’honneur. Chrétien intégriste, nostalgique de la monarchie et de la colonisation, il avait été le seul militaire à occuper ce poste auprès de deux présidents successifs, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Il avait personnellement dirigé les opérations secrètes de la France en Syrie —parfois contre l’avis de l’état-major des armées— notamment grâce à des officiers de la Légion étrangère détachés auprès de la présidence.

On se dirige inexorablement vers une interruption des négociations de Genève. Au demeurant, si un accord y survenait entre les parties syriennes présentes, il serait invalide au regard des décisions internationales antérieures vu l’exclusion —à la demande de la Turquie— du principal parti kurde. C’est pourquoi, l’échec de Genève devrait être suivi d’une reprise des négociations intra-syriennes avec ceux qui le souhaitent —c’est-à-dire sans les pro-Saoudiens, mais avec les Kurdes—. Puis à la formation d’un mécanisme de transition avec ces nouveaux participants. Au plan militaire, l’Armée arabe syrienne devrait reprendre les principales villes du pays, mais les combats devraient persister à la frontière irako-syrienne.

Vers la fin des négociations de Genève

Publié par wikistrike.com sur 24 Mai 2016, 09:49am

Catégories : #Politique internationale

Réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (Vienne, 17 mai 2016).

Réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (Vienne, 17 mai 2016).

Washington et Moscou sont parvenus à maintenir leur accord sur la Syrie après que John Kerry ait assuré à son homologue russe que les armes livrées par le Pentagone en avril à Al-Qaïda et à Daesh l’avaient été en vertu d’un ancien programme aujourd’hui abandonné. On se dirige vers l’arrêt des négociations de Genève et la reprise de discussions intra-syriennes sans les pro-Saoudiens et incluant les Kurdes.

 

L’implication états-unienne en Syrie est toujours aussi confuse. Alors que, le 22 février 2016, John Kerry avait négocié une cessation des hostilités et que la Russie avait retiré ses bombardiers, la Turquie —membre de l’Otan— a poursuivi son soutien à Daesh.

Le 8 mars, la Russie déposait au Conseil de sécurité un rapport accusant Ankara de contrôler le trafic d’antiquités au profit de Daesh [1]. Le 18 mars, elle en déposait un nouveau l’accusant de livrer des armes et des munitions à Daesh [2]. Dans les deux cas, la Turquie « réfutait totalement » ces allégations et accusait la Russie d’organiser une manœuvre de diversion pour « détourner l’attention de la communauté internationale des pertes civiles, du chaos et des destructions considérables causés par le régime syrien et les opérations militaires russes en Syrie ». L’état-major russe persistait en révélant qu’Ankara venait de laisser entrer en Syrie 9 000 nouveaux jihadistes. Cependant, on pouvait alors penser que la Turquie agissait de son propre chef sans en référer aux États-Unis.

Or, le 7 avril, le département US de la Défense livrait 2 000 tonnes d’armes aux « groupes armés modérés », dont environ 500 ont été immédiatement redistribués à Al-Nosra (Al-Qaïda) et 500 autres à Daesh [3].

Quoi qu’il en soit, le soutien de la Turquie à Daesh semble avoir brusquement diminué au cours des derniers jours.

Il semble, qu’à l’abri des regards, Moscou ait violemment protesté de sorte que le 9 mai, John Kerry et Sergeï Lavrov publiaient une déclaration commune [4]. Ils y exhortent « tous les États à mettre en œuvre la résolution 2253 (2015) du Conseil de sécurité, en empêchant tout soutien matériel ou financier à l’ÉIIL [Daesh], au Front al-Nosra ou à tout autre groupe qualifié de terroriste par le Conseil de sécurité de l’ONU, et de couper court à toute tentative de ces groupes de franchir la frontière de la Syrie ».

Il était surtout convenu que Washington fixait à ses alliés une date butoir, début juillet, pour parvenir à un accord négocié à Genève. Au-delà, il retirait toutes ses forces armées, tandis que la Russie amènerait le porte-avions Amiral Kutznesov au large de la Syrie pour reprendre, à moindre échelle, sa campagne de bombardement des organisations terroristes (désormais ré-armées) [5].

Cependant, le flou n’était toujours pas définitivement éclairci. Un vif incident opposa Russes et États-uniens à l’Onu à propos de l’Armée de l’islam (Jaysh al-islam) et du Mouvement islamique des hommes libres du Sham (Ahrar al-Sham). Moscou entendait les inscrire sur la liste des « organisations terroristes », alors que Washington souhaite les considérer encore comme « groupes armés modérés ».

L’Armée de l’islam est une formation payée par l’Arabie saoudite et encadrée par des SAS britanniques. D’abord dirigée par Zahran Allouche, elle sema la terreur dans la banlieue de Damas et menaça la capitale durant trois ans. son chef, qui vouait un culte à Ossama Bin Laden, se caractérisa par sa cruauté, faisant décapiter de nombreux habitants et en utilisant d’autres, enfermés dans des cages, comme boucliers humains. En définitive, les bombes pénétrantes de l’Armée de l’Air russe eurent raison du bunker souterrain qui avait été construit pour abriter son état-major. Après une période de flottement, l’un des 17 adjoints d’Allouche, Issam el-Bouaydani, prit temporairement sa succession. Il fut rapidement évincé au profit d’un religieux wahhabite, cheikh Abou Abdarrahman Kaaké. Ce dernier favorisa la nomination d’un cousin de Zahran Allouche, Mohamed Allouche, pour diriger la délégation de l’opposition saoudienne aux négociations de paix intra-syriennes de Genève. Ce dernier s’est illustré en précipitant des Syriens accusés d’être gays du haut des toits —la République arabe syrienne est le seul État arabe à respecter la vie privée et à ne pas pénaliser les homosexuels—.

Le Mouvement islamique des hommes libres du Sham est également encadré par les Britanniques. Comme l’Armée de l’islam, sa communication est assurée par InCoStrat [6]. Son « ministre des Affaires étrangères », Labib al-Nahhas, circule librement en Occident. C’est en réalité lui-même un Britannique, membre du MI6. Il a publié une tribune libre dans le Washington Post [7], et s’est secrètement rendu à New York en décembre dernier présenter son rapport à Jeffrey Feltman, dans les bureaux de l’Onu.

Le 17 mai, le Groupe international de soutien à la Syrie se réunissait à Vienne. Dans sa déclaration finale [8], il met en cause la poursuite par l’Armée arabe syrienne de sa stratégie d’encerclement des villages contrôlés par les jihadistes de « l’opposition modérée ». Mais surtout, il valide à nouveau l’ensemble des décisions russo-US des derniers mois, à savoir :
- former un mécanisme de transition commun entre le gouvernement syrien et tout l’éventail de l’opposition à l’étape de la transition ;
- élaborer une nouvelle Constitution ;
- puis organiser de nouvelles élections présidentielles et parlementaires sur cette base.

Or, bien que l’Arabie saoudite soit membre du Groupe international de soutien à la Syrie, l’opposition modérée refuse toujours ces trois points. Elle persiste à exiger le départ du président el-Assad et de la plupart des hauts-fonctionnaires chrétiens, chiites et alaouites avant la formation du mécanisme de transition. En outre, elle n’entend pas affronter les dirigeants actuels au cours d’élections démocratiques.

Il n’est pas indifférent qu’au cours de la réunion de Vienne, un diplomate ait déclaré que son pays était prêt à lutter contre Al-Qaïda, mais qu’il s’interrogeait pour savoir qui occuperait alors le terrain. Sergeï Lavrov releva ce qu’il considéra comme un « lapsus » : ce diplomate admettait de facto que son pays préférait une victoire d’Al-Qaïda à une de la République arabe syrienne. Ce faisant, il s’éloignait de la décision du Conseil de sécurité de faire de la lutte contre le terrorisme son objectif numéro 1.

Le même jour, 17 mai, le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu, Terje Rød-Larsen, présentait son dernier rapport sur l’application de la résolution 1559 et annonçait sa démission. Cette résolution avait été rédigée en 2004 à l’initiative des États-Unis, de la France et de l’Arabie saoudite pour exiger le désarmement du Hezbollah libanais, la non-reconduction du président Émile Lahoud et le retrait de la force de paix syrienne du Liban. Elle n’a jamais été appliquée bien que la Syrie ait elle-même retiré ses soldats à la demande de la rue libanaise lors de la « révolution du Cèdre ». M Ban a immédiatement chargé son adjoint pour les Affaires politiques, Jeffrey Feltman, de prendre en charge jusqu’à la fin de l’année les fonctions de M. Terje Rød-Larsen en plus des siennes. Or, de très nombreux observateurs considèrent que Jeffrey Feltman, ancien ambassadeur US à Beyrouth, est le véritable rédacteur de la résolution 1559 et qu’il dirige aujourd’hui en sous-main depuis New York la coalition militaire contre la Syrie.

Le 19 mai, Jeffrey Feltman participait à une cérémonie à Paris aux côtés des membres de l’opposition syrienne de l’étranger, Burhan Ghalioun, Michel Kilo, Bassma Kodmani et Samar Yazbeck.

En France toujours, le général Benoît Puga a annoncé sa démission de ses fonctions de chef d’état-major particulier du président de la République pour rejoindre la Chancellerie de la Légion d’honneur. Chrétien intégriste, nostalgique de la monarchie et de la colonisation, il avait été le seul militaire à occuper ce poste auprès de deux présidents successifs, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Il avait personnellement dirigé les opérations secrètes de la France en Syrie —parfois contre l’avis de l’état-major des armées— notamment grâce à des officiers de la Légion étrangère détachés auprès de la présidence.

On se dirige inexorablement vers une interruption des négociations de Genève. Au demeurant, si un accord y survenait entre les parties syriennes présentes, il serait invalide au regard des décisions internationales antérieures vu l’exclusion —à la demande de la Turquie— du principal parti kurde. C’est pourquoi, l’échec de Genève devrait être suivi d’une reprise des négociations intra-syriennes avec ceux qui le souhaitent —c’est-à-dire sans les pro-Saoudiens, mais avec les Kurdes—. Puis à la formation d’un mécanisme de transition avec ces nouveaux participants. Au plan militaire, l’Armée arabe syrienne devrait reprendre les principales villes du pays, mais les combats devraient persister à la frontière irako-syrienne.

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Euro-Synergies :Des abîmes d’horreurs présents dans la réalité

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«Never Say Anything – NSA»: nouveau roman de Michael Lüders, spécialiste du Proche-Orient

Ex: http://www.horizons-et-debats.ch

mk/wvb. Depuis qu’Edward Snowden a placé sur Internet une grande quantité de documents relatifs aux services secrets américains et s’est réfugié en Russie, les esprits les plus simples comprennent qu’il existe un stockage de données en attente, que toute transaction financière est enregistrée, tout comme les données des déplacements en avion et d’autres données personnelles. Celles-ci peuvent être utilisées, même sans bases législatives, n’importe où et par n’importe qui lorsque quelqu’un l’estime nécessaire.

Les flux de réfugiés venant du Proche-Orient et d’Afrique, mis en scène par les médias, nous rappellent quotidiennement que la guerre, en tant que moyen politique, est devenue monnaie courante. Nous pouvons fermer les yeux, détourner notre regard ou bien, si cela n’est plus possible, nous demander comment agir nous-mêmes face à cette misère.

NSA-9783406688928_cover-192.jpgDans son roman «Never say anything – NSA», Michael Lüders nous montre magistralement que nous aussi, nous vivons dans ce monde et que chacun d’entre nous porte une responsabilité envers l’histoire et les générations futures.

Sophie, la principale figure de son roman, est témoin en tant que journaliste, et à deux doigts près victime d’un massacre perpétré dans un village marocain. Ayant eu la vie sauve, elle se met à rechercher les causes de cette attaque brutale et découvre d’explosives relations de pouvoir géopolitiques. Lorsqu’elle tente de publier ses recherches dans son journal, elle se retrouve sous une douche écossaise: les médias mondiaux lui accordent la plus grande attention, mais lorsque l’affaire prend une tournure dangereuse les dirigeants de la rédaction, orientés vers les Etats-Unis, tentent de faire disparaître l’affaire en obligeant Sophie à lâcher ce sujet.

Lüders démontre par cet exemple à quel point les médias sont manipulés, combien on s’efforce de faire plier les journalistes sur une certaine ligne politique et combien ils sont mis à l’écart s’ils tentent de s’en tenir à la vérité. Mais Sophie ne se laisse pas intimider, elle cherche et trouve une voie pour continuer ses recherches et pour les publier, malgré le boycott des médias alignés. L’affaire prend de l’ampleur et devient de plus en plus dangereuse pour Sophie. Elle est poursuivie, il se passe des «accidents» bizarres, elle devient la cible d’activités et d’attaques des services secrets.

Wer-den-Wind-saeht-Cover-9783406677496_larger.jpgMichael Lüders, en tant que spécialiste du Proche-Orient présente ces informations spécifiques sous forme de roman. Ces faits n’auraient probablement jamais pu être publiés sous forme d’un travail journalistique. Il profite de ses connaissances en matière de style littéraire, ce qui permet au lecteur de s’identifier avec Sophie. Il ressent comme elle et souffre avec elle, surtout parce que Sophie reste fidèle à sa volonté et à son devoir journalistique de découvrir la vérité. Cela donne de l’espoir, quels que soient les abîmes bien réels relatés dans le roman: tant qu’il y aura des gens comme Sophie et d’autres qui lui viennent en aide dans les pires situations, le monde ne sera pas perdu. Cela nonobstant tous les raffinements des techniques de surveillance et d’espionnage utilisés à poursuivre Sophie pour la faire tomber et s’en débarrasser.

Le lecteur retient son souffle en lisant le récit clair et réaliste de Lüders démontrant ce qui est techniquement possible aujourd’hui. Après la lecture de ce roman, personne ne pourras plus affirmer qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter de cette surveillance étatique et des services secrets, aussi longtemps qu’on à rien à se reprocher. Ce que Lüders découvre touche à la substance même et à la liberté personnelle de tous citoyens et les citoyennes. Cela d’autant plus que le roman se déroule pour l’essentiel à Berlin, c’est-à-dire dans un environnement qui nous est proche, et non pas quelque part au fin fond du monde.

Dès lors que le lecteur prend conscience qu’il est la cible d’une surveillance totale au travers de son téléphone portable ou de son ordinateur, il comprend qu’il ne peut éviter ce qui vient d’être décrit, qu’il est en plein dedans, et qu’il doit réagir. Il comprend qu’il ne pourra plus fermer les yeux, malgré toute la propagande déversée sur lui.

Ce livre exige du lecteur de trouver lui-même des solutions, des solutions pour sortir de la logique de la guerre. Il suggère même une sortie possible: ne serait-ce pas imaginable de collaborer pacifiquement avec ceux que nous combattons, dans le domaine économique, par des sanctions et des armes? Ne serait-ce pas concevable de s’intéresser dans ce sens à l’Est? Le message du livre est clair, si l’on continue comme jusqu’à présent, nous finirons dans une impasse totale.

En bref, ce livre vaut la peine d’être lu, il oblige le lecteur à prendre position, à refuser de détourner son regard et il est véritablement passionnant.    •

Michael Lüders. Never say anything – NSA. C.H.Beck, Munich 2016. ISBN 973-3-406-68892-8

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Arrêt sur Info : Les guerres de genre de Hillary Clinton , Par Israël Shamir le 25 mai 2016

Etats-Unis Lobbies Société

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Est-ce que les hommes qui votent pour H. Clinton vont finir en enfer ? Je n’en suis pas sûr. Nous savons que les femmes qui votent pour un candidat mâle y ont une place réservée, comme l’a prophétisé la vieille juive féministe Madeleine Albright, car elle est bien placée pour y entrer. Non seulement cette dame a l’air d’une créature sortie tout droit de l’enfer, mais en outre elle y siège de plein droit, pour avoir justifié le meurtre d’un demi-million d’enfants irakiens, parmi d’autres hauts faits. Mais alors qu’est-ce qui attend les hommes qui franchissent la barrière du sexe? Personnellement je ne les condamnerais pas. Cela  ferait du tort à Mm. Trump et Sanders, parce que les hommes n’ont pas de schéma « gender » en tête. Les hommes votent pour la cause qu’ils préfèrent, et ils détestent qu’on insinue que leur vote soit déterminé par ce qu’ils sont, et non par ce qu’ils pensent.

Les « minorités visibles » agissent selon ce qu’elles sont ; ce qui les  rend prévisibles et faciles à manipuler. H. Clinton a obtenu 90% du vote noir au Mississippi, un  résultat embarrassant pour Kim Jong Un de Corée du Nord. Les juifs ont donné 70% de leurs bulletins de vote à Obama, et le donnent à n’importe quel candidat à la présidence qui se réclame des Démocrates. Ce sont les politiques identitaires qui rendent possibles de tels scores ; et c’est précisément ce pour quoi elles ont été inventées et mises en circulation, avant toute autre raison. Vous n’avez quand même pas cru que les grands opérateurs se soucient le moins du monde des femmes, des noirs, des gays, des mères célibataires latinos, ou des jeunes désorientés qui risqueraient de se tromper de WC ?

La cause des minorités visibles a été inventée et mise en circulation pour des raisons techniques, parce que premièrement elles permettent d’occuper l’esprit des gens avec des absurdités triviales, deuxièmement elles permettent aux instigateurs de se draper dans le manteau de la justice, et troisièmement elles rendent les élections encore plus lisses et prévisibles que le choix du successeur du roi des Saoud ou de la reine d’Angleterre.

Ces manœuvres visent leur ennemi principal, l’homme pensant. La masculinité est devenue un gros mot, selon un sondage qui révèle que seuls 2% des garçons anglais se considèrent comme « complètement mâles ». L’incarnation de la juste colère contre l’Occident, Poutine le Téméraire, est décrit comme un « macho », raison suffisante pour pousser au changement de régime en Russie. Dans un remake de Ghostbusters, les courageux guerriers contre les esprits du mal sont tout-féminin (une femme noire corpulente: voilà la formule encore plus politiquement correcte) tandis que l’homme blanc aspire à un poste de secrétaire pour la troupe. Dans un un univers culturel plus large, écrit Isabel Hardman, les hommes figurent dans les publicités comme des gens sans espoir, des bouffons gras tenant une bière dans une main et une paire de pinces pour barbecue dans l’autre, alors que les femmes vous font les yeux doux, et ont la main mise sur toutes choses, la maison, la voiture, la famille. Dans ce monde de masculinité en déroute, la victoire de Mrs. Clinton et la guerre qui s’en suivra sont inévitables.

Inévitablement, à moins que l’homme pensant américain retrouve ses esprits et sa place d’honneur dans cette société. Le commandement par les femmes n’est pas nouveau, et cela n’a jamais été une bonne chose. A l’aube de la civilisation, le culte féminin de Cybèle avait conduit à des castrations massives de jeunes hommes. Les cheffes menaient à la guerre et aux troubles encore plus vite que les chefs mâles. En Israël, notre dirigeante la plus célèbre, Golda Meir, est celle qui a nous a menés à la guerre sanglante d’octobre 1973. Et c’est Margaret Thatcher qui avait lancé la marine britannique contre les Argentins, et avait livré une guerre cruelle contre les mineurs britanniques.

Depuis Elisabeth I° d’Angleterre jusqu’à Catherine de Russie, les reines ont généralement poussé à la guerre. Frau Merkel a attiré les réfugiés pour l’invasion de son pays. Hillary Clinton a déjà quelques guerres derrière elle : elle a soutenu la guerre pour le Kossovo qui est devenu une base pour Daech en plein cœur de l’Europe. Sa guerre en Libye a installé une autre base de Daech sur le continent africain, et envoyé des vagues de réfugiés en Europe; et elle a remis ça en Syrie. Peut-être qu’elle serait plus indiquée pour se faire nommer au Caliphat voulu par Daech, plutôt que pour la présidence US.

Le dernier écrit de Jeffrey Stacey sur le site du Council for Foreign Affairs ne laisse pas de place au  doute : Clinton veut la guerre, et ses acolytes, comme Stacey, approuvent cette orientation. Obama est trop timide, pour eux, et Trump est le nouvel Hitler parce que (vous ne devinerez jamais) il ne veut pas faire la guerre aux Russes. Certains hommes, comme Stacey, sont nés pour servir Cybèle.

Le lien entre l’activisme juif et le féminisme violent est devenu plus évident que jamais, à l’occasion de la campagne électorale. Subterfuge juif classique, ils envoient une femme provoquer l’homme, et ensuite ils l’accusent de manquer à ses devoirs chevaleresques. Les activistes juives provoquent Trump et ceux qui le soutiennent (voir le cas de Julia Ioffe) juste pour arriver à la conclusion souhaitée : « que se passera-t-il si Donald Trump  est élu ? » Julia Ioffe a répondu : « nous avons vu comment il pousse ses supporteurs à attaquer les médias, ce qu’il mijote c’est de changer les lois contre la diffamation pour pouvoir poursuivre plus facilement les journalistes. » Le harcèlement supposé de la part des supporteurs de Trump n’est pas directement lié au candidat, admet le journal. Mais il a  fomenté une culture de la violence dans ses meetings, en encourageant ses fans à riposter contre ceux qui lui manifestent de l’hostilité »

Les Russes acceptent la menace clintonienne avec un fatalisme tranquille. Vladimir Poutine et son peuple sont décidés à rester  les maîtres du bras de fer des nations. Cela ne mène pas  forcément à la collision, parce qu’il y a de la place pour tout le monde, à moins que les autres veuillent la collision, comme le souhaite Clinton apparemment. La solution est entre les mains des Américains, des hommes américains : est-ce qu’ils retrouveront leur estime d’eux-mêmes et enverront la Clinton écrire ses mémoires et faire des conférences pour les banquiers, ou bien l’enverront-ils à la Maison Blanche pour se condamner eux-mêmes au rôle de courtisans dans la société?

Les femmes sont formidables et ce sont des créatures adorables ; les hommes recherchent leur amour, et s’inclinent devant elles avec admiration. Mais elle ne valent rien comme dirigeants. Les reines barbares étaient connues pour leur cruauté, y compris contre leurs « sœurs » à l’occasion. Hillary Clinton est capable  de les surpasser toutes, parce que la guerre qu’elle est capable de déclencher surpassera les guerres d’autrefois. La guerre nucléaire avec la Russie et la Chine ou contre celle-ci sera la dernière page de l’histoire de l’humanité telle que nous la connaissons ; et d’ailleurs, c’en sera fini aussi des guerres de « genre ».

Par Israël Adam Shamir | 23 mai 2016

Les guerres de genre de Hillary Clinton

Etats-Unis Lobbies Société

1

 hillary_clinton_wc_femmes

Est-ce que les hommes qui votent pour H. Clinton vont finir en enfer ? Je n’en suis pas sûr. Nous savons que les femmes qui votent pour un candidat mâle y ont une place réservée, comme l’a prophétisé la vieille juive féministe Madeleine Albright, car elle est bien placée pour y entrer. Non seulement cette dame a l’air d’une créature sortie tout droit de l’enfer, mais en outre elle y siège de plein droit, pour avoir justifié le meurtre d’un demi-million d’enfants irakiens, parmi d’autres hauts faits. Mais alors qu’est-ce qui attend les hommes qui franchissent la barrière du sexe? Personnellement je ne les condamnerais pas. Cela  ferait du tort à Mm. Trump et Sanders, parce que les hommes n’ont pas de schéma « gender » en tête. Les hommes votent pour la cause qu’ils préfèrent, et ils détestent qu’on insinue que leur vote soit déterminé par ce qu’ils sont, et non par ce qu’ils pensent.

Les « minorités visibles » agissent selon ce qu’elles sont ; ce qui les  rend prévisibles et faciles à manipuler. H. Clinton a obtenu 90% du vote noir au Mississippi, un  résultat embarrassant pour Kim Jong Un de Corée du Nord. Les juifs ont donné 70% de leurs bulletins de vote à Obama, et le donnent à n’importe quel candidat à la présidence qui se réclame des Démocrates. Ce sont les politiques identitaires qui rendent possibles de tels scores ; et c’est précisément ce pour quoi elles ont été inventées et mises en circulation, avant toute autre raison. Vous n’avez quand même pas cru que les grands opérateurs se soucient le moins du monde des femmes, des noirs, des gays, des mères célibataires latinos, ou des jeunes désorientés qui risqueraient de se tromper de WC ?

La cause des minorités visibles a été inventée et mise en circulation pour des raisons techniques, parce que premièrement elles permettent d’occuper l’esprit des gens avec des absurdités triviales, deuxièmement elles permettent aux instigateurs de se draper dans le manteau de la justice, et troisièmement elles rendent les élections encore plus lisses et prévisibles que le choix du successeur du roi des Saoud ou de la reine d’Angleterre.

Ces manœuvres visent leur ennemi principal, l’homme pensant. La masculinité est devenue un gros mot, selon un sondage qui révèle que seuls 2% des garçons anglais se considèrent comme « complètement mâles ». L’incarnation de la juste colère contre l’Occident, Poutine le Téméraire, est décrit comme un « macho », raison suffisante pour pousser au changement de régime en Russie. Dans un remake de Ghostbusters, les courageux guerriers contre les esprits du mal sont tout-féminin (une femme noire corpulente: voilà la formule encore plus politiquement correcte) tandis que l’homme blanc aspire à un poste de secrétaire pour la troupe. Dans un un univers culturel plus large, écrit Isabel Hardman, les hommes figurent dans les publicités comme des gens sans espoir, des bouffons gras tenant une bière dans une main et une paire de pinces pour barbecue dans l’autre, alors que les femmes vous font les yeux doux, et ont la main mise sur toutes choses, la maison, la voiture, la famille. Dans ce monde de masculinité en déroute, la victoire de Mrs. Clinton et la guerre qui s’en suivra sont inévitables.

Inévitablement, à moins que l’homme pensant américain retrouve ses esprits et sa place d’honneur dans cette société. Le commandement par les femmes n’est pas nouveau, et cela n’a jamais été une bonne chose. A l’aube de la civilisation, le culte féminin de Cybèle avait conduit à des castrations massives de jeunes hommes. Les cheffes menaient à la guerre et aux troubles encore plus vite que les chefs mâles. En Israël, notre dirigeante la plus célèbre, Golda Meir, est celle qui a nous a menés à la guerre sanglante d’octobre 1973. Et c’est Margaret Thatcher qui avait lancé la marine britannique contre les Argentins, et avait livré une guerre cruelle contre les mineurs britanniques.

Depuis Elisabeth I° d’Angleterre jusqu’à Catherine de Russie, les reines ont généralement poussé à la guerre. Frau Merkel a attiré les réfugiés pour l’invasion de son pays. Hillary Clinton a déjà quelques guerres derrière elle : elle a soutenu la guerre pour le Kossovo qui est devenu une base pour Daech en plein cœur de l’Europe. Sa guerre en Libye a installé une autre base de Daech sur le continent africain, et envoyé des vagues de réfugiés en Europe; et elle a remis ça en Syrie. Peut-être qu’elle serait plus indiquée pour se faire nommer au Caliphat voulu par Daech, plutôt que pour la présidence US.

Le dernier écrit de Jeffrey Stacey sur le site du Council for Foreign Affairs ne laisse pas de place au  doute : Clinton veut la guerre, et ses acolytes, comme Stacey, approuvent cette orientation. Obama est trop timide, pour eux, et Trump est le nouvel Hitler parce que (vous ne devinerez jamais) il ne veut pas faire la guerre aux Russes. Certains hommes, comme Stacey, sont nés pour servir Cybèle.

Le lien entre l’activisme juif et le féminisme violent est devenu plus évident que jamais, à l’occasion de la campagne électorale. Subterfuge juif classique, ils envoient une femme provoquer l’homme, et ensuite ils l’accusent de manquer à ses devoirs chevaleresques. Les activistes juives provoquent Trump et ceux qui le soutiennent (voir le cas de Julia Ioffe) juste pour arriver à la conclusion souhaitée : « que se passera-t-il si Donald Trump  est élu ? » Julia Ioffe a répondu : « nous avons vu comment il pousse ses supporteurs à attaquer les médias, ce qu’il mijote c’est de changer les lois contre la diffamation pour pouvoir poursuivre plus facilement les journalistes. » Le harcèlement supposé de la part des supporteurs de Trump n’est pas directement lié au candidat, admet le journal. Mais il a  fomenté une culture de la violence dans ses meetings, en encourageant ses fans à riposter contre ceux qui lui manifestent de l’hostilité »

Les Russes acceptent la menace clintonienne avec un fatalisme tranquille. Vladimir Poutine et son peuple sont décidés à rester  les maîtres du bras de fer des nations. Cela ne mène pas  forcément à la collision, parce qu’il y a de la place pour tout le monde, à moins que les autres veuillent la collision, comme le souhaite Clinton apparemment. La solution est entre les mains des Américains, des hommes américains : est-ce qu’ils retrouveront leur estime d’eux-mêmes et enverront la Clinton écrire ses mémoires et faire des conférences pour les banquiers, ou bien l’enverront-ils à la Maison Blanche pour se condamner eux-mêmes au rôle de courtisans dans la société?

Les femmes sont formidables et ce sont des créatures adorables ; les hommes recherchent leur amour, et s’inclinent devant elles avec admiration. Mais elle ne valent rien comme dirigeants. Les reines barbares étaient connues pour leur cruauté, y compris contre leurs « sœurs » à l’occasion. Hillary Clinton est capable  de les surpasser toutes, parce que la guerre qu’elle est capable de déclencher surpassera les guerres d’autrefois. La guerre nucléaire avec la Russie et la Chine ou contre celle-ci sera la dernière page de l’histoire de l’humanité telle que nous la connaissons ; et d’ailleurs, c’en sera fini aussi des guerres de « genre ».

Par Israël Adam Shamir | 23 mai 2016

Les guerres de genre de Hillary Clinton

Etats-Unis Lobbies Société

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 hillary_clinton_wc_femmes

Est-ce que les hommes qui votent pour H. Clinton vont finir en enfer ? Je n’en suis pas sûr. Nous savons que les femmes qui votent pour un candidat mâle y ont une place réservée, comme l’a prophétisé la vieille juive féministe Madeleine Albright, car elle est bien placée pour y entrer. Non seulement cette dame a l’air d’une créature sortie tout droit de l’enfer, mais en outre elle y siège de plein droit, pour avoir justifié le meurtre d’un demi-million d’enfants irakiens, parmi d’autres hauts faits. Mais alors qu’est-ce qui attend les hommes qui franchissent la barrière du sexe? Personnellement je ne les condamnerais pas. Cela  ferait du tort à Mm. Trump et Sanders, parce que les hommes n’ont pas de schéma « gender » en tête. Les hommes votent pour la cause qu’ils préfèrent, et ils détestent qu’on insinue que leur vote soit déterminé par ce qu’ils sont, et non par ce qu’ils pensent.

Les « minorités visibles » agissent selon ce qu’elles sont ; ce qui les  rend prévisibles et faciles à manipuler. H. Clinton a obtenu 90% du vote noir au Mississippi, un  résultat embarrassant pour Kim Jong Un de Corée du Nord. Les juifs ont donné 70% de leurs bulletins de vote à Obama, et le donnent à n’importe quel candidat à la présidence qui se réclame des Démocrates. Ce sont les politiques identitaires qui rendent possibles de tels scores ; et c’est précisément ce pour quoi elles ont été inventées et mises en circulation, avant toute autre raison. Vous n’avez quand même pas cru que les grands opérateurs se soucient le moins du monde des femmes, des noirs, des gays, des mères célibataires latinos, ou des jeunes désorientés qui risqueraient de se tromper de WC ?

La cause des minorités visibles a été inventée et mise en circulation pour des raisons techniques, parce que premièrement elles permettent d’occuper l’esprit des gens avec des absurdités triviales, deuxièmement elles permettent aux instigateurs de se draper dans le manteau de la justice, et troisièmement elles rendent les élections encore plus lisses et prévisibles que le choix du successeur du roi des Saoud ou de la reine d’Angleterre.

Ces manœuvres visent leur ennemi principal, l’homme pensant. La masculinité est devenue un gros mot, selon un sondage qui révèle que seuls 2% des garçons anglais se considèrent comme « complètement mâles ». L’incarnation de la juste colère contre l’Occident, Poutine le Téméraire, est décrit comme un « macho », raison suffisante pour pousser au changement de régime en Russie. Dans un remake de Ghostbusters, les courageux guerriers contre les esprits du mal sont tout-féminin (une femme noire corpulente: voilà la formule encore plus politiquement correcte) tandis que l’homme blanc aspire à un poste de secrétaire pour la troupe. Dans un un univers culturel plus large, écrit Isabel Hardman, les hommes figurent dans les publicités comme des gens sans espoir, des bouffons gras tenant une bière dans une main et une paire de pinces pour barbecue dans l’autre, alors que les femmes vous font les yeux doux, et ont la main mise sur toutes choses, la maison, la voiture, la famille. Dans ce monde de masculinité en déroute, la victoire de Mrs. Clinton et la guerre qui s’en suivra sont inévitables.

Inévitablement, à moins que l’homme pensant américain retrouve ses esprits et sa place d’honneur dans cette société. Le commandement par les femmes n’est pas nouveau, et cela n’a jamais été une bonne chose. A l’aube de la civilisation, le culte féminin de Cybèle avait conduit à des castrations massives de jeunes hommes. Les cheffes menaient à la guerre et aux troubles encore plus vite que les chefs mâles. En Israël, notre dirigeante la plus célèbre, Golda Meir, est celle qui a nous a menés à la guerre sanglante d’octobre 1973. Et c’est Margaret Thatcher qui avait lancé la marine britannique contre les Argentins, et avait livré une guerre cruelle contre les mineurs britanniques.

Depuis Elisabeth I° d’Angleterre jusqu’à Catherine de Russie, les reines ont généralement poussé à la guerre. Frau Merkel a attiré les réfugiés pour l’invasion de son pays. Hillary Clinton a déjà quelques guerres derrière elle : elle a soutenu la guerre pour le Kossovo qui est devenu une base pour Daech en plein cœur de l’Europe. Sa guerre en Libye a installé une autre base de Daech sur le continent africain, et envoyé des vagues de réfugiés en Europe; et elle a remis ça en Syrie. Peut-être qu’elle serait plus indiquée pour se faire nommer au Caliphat voulu par Daech, plutôt que pour la présidence US.

Le dernier écrit de Jeffrey Stacey sur le site du Council for Foreign Affairs ne laisse pas de place au  doute : Clinton veut la guerre, et ses acolytes, comme Stacey, approuvent cette orientation. Obama est trop timide, pour eux, et Trump est le nouvel Hitler parce que (vous ne devinerez jamais) il ne veut pas faire la guerre aux Russes. Certains hommes, comme Stacey, sont nés pour servir Cybèle.

Le lien entre l’activisme juif et le féminisme violent est devenu plus évident que jamais, à l’occasion de la campagne électorale. Subterfuge juif classique, ils envoient une femme provoquer l’homme, et ensuite ils l’accusent de manquer à ses devoirs chevaleresques. Les activistes juives provoquent Trump et ceux qui le soutiennent (voir le cas de Julia Ioffe) juste pour arriver à la conclusion souhaitée : « que se passera-t-il si Donald Trump  est élu ? » Julia Ioffe a répondu : « nous avons vu comment il pousse ses supporteurs à attaquer les médias, ce qu’il mijote c’est de changer les lois contre la diffamation pour pouvoir poursuivre plus facilement les journalistes. » Le harcèlement supposé de la part des supporteurs de Trump n’est pas directement lié au candidat, admet le journal. Mais il a  fomenté une culture de la violence dans ses meetings, en encourageant ses fans à riposter contre ceux qui lui manifestent de l’hostilité »

Les Russes acceptent la menace clintonienne avec un fatalisme tranquille. Vladimir Poutine et son peuple sont décidés à rester  les maîtres du bras de fer des nations. Cela ne mène pas  forcément à la collision, parce qu’il y a de la place pour tout le monde, à moins que les autres veuillent la collision, comme le souhaite Clinton apparemment. La solution est entre les mains des Américains, des hommes américains : est-ce qu’ils retrouveront leur estime d’eux-mêmes et enverront la Clinton écrire ses mémoires et faire des conférences pour les banquiers, ou bien l’enverront-ils à la Maison Blanche pour se condamner eux-mêmes au rôle de courtisans dans la société?

Les femmes sont formidables et ce sont des créatures adorables ; les hommes recherchent leur amour, et s’inclinent devant elles avec admiration. Mais elle ne valent rien comme dirigeants. Les reines barbares étaient connues pour leur cruauté, y compris contre leurs « sœurs » à l’occasion. Hillary Clinton est capable  de les surpasser toutes, parce que la guerre qu’elle est capable de déclencher surpassera les guerres d’autrefois. La guerre nucléaire avec la Russie et la Chine ou contre celle-ci sera la dernière page de l’histoire de l’humanité telle que nous la connaissons ; et d’ailleurs, c’en sera fini aussi des guerres de « genre ».

Par Israël Adam Shamir | 23 mai 2016

Les guerres de genre de Hillary Clinton

Etats-Unis Lobbies Société

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Est-ce que les hommes qui votent pour H. Clinton vont finir en enfer ? Je n’en suis pas sûr. Nous savons que les femmes qui votent pour un candidat mâle y ont une place réservée, comme l’a prophétisé la vieille juive féministe Madeleine Albright, car elle est bien placée pour y entrer. Non seulement cette dame a l’air d’une créature sortie tout droit de l’enfer, mais en outre elle y siège de plein droit, pour avoir justifié le meurtre d’un demi-million d’enfants irakiens, parmi d’autres hauts faits. Mais alors qu’est-ce qui attend les hommes qui franchissent la barrière du sexe? Personnellement je ne les condamnerais pas. Cela  ferait du tort à Mm. Trump et Sanders, parce que les hommes n’ont pas de schéma « gender » en tête. Les hommes votent pour la cause qu’ils préfèrent, et ils détestent qu’on insinue que leur vote soit déterminé par ce qu’ils sont, et non par ce qu’ils pensent.

Les « minorités visibles » agissent selon ce qu’elles sont ; ce qui les  rend prévisibles et faciles à manipuler. H. Clinton a obtenu 90% du vote noir au Mississippi, un  résultat embarrassant pour Kim Jong Un de Corée du Nord. Les juifs ont donné 70% de leurs bulletins de vote à Obama, et le donnent à n’importe quel candidat à la présidence qui se réclame des Démocrates. Ce sont les politiques identitaires qui rendent possibles de tels scores ; et c’est précisément ce pour quoi elles ont été inventées et mises en circulation, avant toute autre raison. Vous n’avez quand même pas cru que les grands opérateurs se soucient le moins du monde des femmes, des noirs, des gays, des mères célibataires latinos, ou des jeunes désorientés qui risqueraient de se tromper de WC ?

La cause des minorités visibles a été inventée et mise en circulation pour des raisons techniques, parce que premièrement elles permettent d’occuper l’esprit des gens avec des absurdités triviales, deuxièmement elles permettent aux instigateurs de se draper dans le manteau de la justice, et troisièmement elles rendent les élections encore plus lisses et prévisibles que le choix du successeur du roi des Saoud ou de la reine d’Angleterre.

Ces manœuvres visent leur ennemi principal, l’homme pensant. La masculinité est devenue un gros mot, selon un sondage qui révèle que seuls 2% des garçons anglais se considèrent comme « complètement mâles ». L’incarnation de la juste colère contre l’Occident, Poutine le Téméraire, est décrit comme un « macho », raison suffisante pour pousser au changement de régime en Russie. Dans un remake de Ghostbusters, les courageux guerriers contre les esprits du mal sont tout-féminin (une femme noire corpulente: voilà la formule encore plus politiquement correcte) tandis que l’homme blanc aspire à un poste de secrétaire pour la troupe. Dans un un univers culturel plus large, écrit Isabel Hardman, les hommes figurent dans les publicités comme des gens sans espoir, des bouffons gras tenant une bière dans une main et une paire de pinces pour barbecue dans l’autre, alors que les femmes vous font les yeux doux, et ont la main mise sur toutes choses, la maison, la voiture, la famille. Dans ce monde de masculinité en déroute, la victoire de Mrs. Clinton et la guerre qui s’en suivra sont inévitables.

Inévitablement, à moins que l’homme pensant américain retrouve ses esprits et sa place d’honneur dans cette société. Le commandement par les femmes n’est pas nouveau, et cela n’a jamais été une bonne chose. A l’aube de la civilisation, le culte féminin de Cybèle avait conduit à des castrations massives de jeunes hommes. Les cheffes menaient à la guerre et aux troubles encore plus vite que les chefs mâles. En Israël, notre dirigeante la plus célèbre, Golda Meir, est celle qui a nous a menés à la guerre sanglante d’octobre 1973. Et c’est Margaret Thatcher qui avait lancé la marine britannique contre les Argentins, et avait livré une guerre cruelle contre les mineurs britanniques.

Depuis Elisabeth I° d’Angleterre jusqu’à Catherine de Russie, les reines ont généralement poussé à la guerre. Frau Merkel a attiré les réfugiés pour l’invasion de son pays. Hillary Clinton a déjà quelques guerres derrière elle : elle a soutenu la guerre pour le Kossovo qui est devenu une base pour Daech en plein cœur de l’Europe. Sa guerre en Libye a installé une autre base de Daech sur le continent africain, et envoyé des vagues de réfugiés en Europe; et elle a remis ça en Syrie. Peut-être qu’elle serait plus indiquée pour se faire nommer au Caliphat voulu par Daech, plutôt que pour la présidence US.

Le dernier écrit de Jeffrey Stacey sur le site du Council for Foreign Affairs ne laisse pas de place au  doute : Clinton veut la guerre, et ses acolytes, comme Stacey, approuvent cette orientation. Obama est trop timide, pour eux, et Trump est le nouvel Hitler parce que (vous ne devinerez jamais) il ne veut pas faire la guerre aux Russes. Certains hommes, comme Stacey, sont nés pour servir Cybèle.

Le lien entre l’activisme juif et le féminisme violent est devenu plus évident que jamais, à l’occasion de la campagne électorale. Subterfuge juif classique, ils envoient une femme provoquer l’homme, et ensuite ils l’accusent de manquer à ses devoirs chevaleresques. Les activistes juives provoquent Trump et ceux qui le soutiennent (voir le cas de Julia Ioffe) juste pour arriver à la conclusion souhaitée : « que se passera-t-il si Donald Trump  est élu ? » Julia Ioffe a répondu : « nous avons vu comment il pousse ses supporteurs à attaquer les médias, ce qu’il mijote c’est de changer les lois contre la diffamation pour pouvoir poursuivre plus facilement les journalistes. » Le harcèlement supposé de la part des supporteurs de Trump n’est pas directement lié au candidat, admet le journal. Mais il a  fomenté une culture de la violence dans ses meetings, en encourageant ses fans à riposter contre ceux qui lui manifestent de l’hostilité »

Les Russes acceptent la menace clintonienne avec un fatalisme tranquille. Vladimir Poutine et son peuple sont décidés à rester  les maîtres du bras de fer des nations. Cela ne mène pas  forcément à la collision, parce qu’il y a de la place pour tout le monde, à moins que les autres veuillent la collision, comme le souhaite Clinton apparemment. La solution est entre les mains des Américains, des hommes américains : est-ce qu’ils retrouveront leur estime d’eux-mêmes et enverront la Clinton écrire ses mémoires et faire des conférences pour les banquiers, ou bien l’enverront-ils à la Maison Blanche pour se condamner eux-mêmes au rôle de courtisans dans la société?

Les femmes sont formidables et ce sont des créatures adorables ; les hommes recherchent leur amour, et s’inclinent devant elles avec admiration. Mais elle ne valent rien comme dirigeants. Les reines barbares étaient connues pour leur cruauté, y compris contre leurs « sœurs » à l’occasion. Hillary Clinton est capable  de les surpasser toutes, parce que la guerre qu’elle est capable de déclencher surpassera les guerres d’autrefois. La guerre nucléaire avec la Russie et la Chine ou contre celle-ci sera la dernière page de l’histoire de l’humanité telle que nous la connaissons ; et d’ailleurs, c’en sera fini aussi des guerres de « genre ».

Par Israël Adam Shamir | 23 mai 2016

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