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C’est arrivé un 29 juillet…
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« A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines. » Léon XIII, Rerum Novarum
Alors rappelons-nous :
Selon une légende provençale, elle finit ses jours à Tarascon, d’où elle évangélise le pays. Symboliquement, ses statues la représentent étranglant la tarasque, un dragon vorace figurant le démon.
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le 29 juillet 1099: le pape Urbain II meurt à Rome.
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le 29 juillet 1108 : décès du Roi Philippe Ier, Roi de France.
Voir les chroniques du 23 mai et du 4 août.
Les Anglais mettent le siègent devant Rouen, qui ne tombe qu’au bout de six mois et après 35 000 morts, soit la moitié de la population. La prise de la capitale du duché de Normandie ouvre la route du Royaume de France aux Anglais. Leur roi fait de la ville et du château sa résidence, il y fera juger Sainte Jeanne d’Arc. Ce n’est qu’en 1449 que Charles VII reprend la ville et la rend à la France.
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le 29 juillet 1502 : Louis XII de France entre à Milan.
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le 29 juillet 1562 : le Maréchal de Saint-André prend Poitiers aux Protestants.

Jacques d’Albon, seigneur de Saint-André par Jean-François-Théodore Gechter, Galerie des batailles au château de Versailles
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le 29 juillet 1644 : mort d’Urbain VIII.
Maffeo Barberini, devenu pape sous le nom d’Urbain VIII décède le 29 juillet 1644. Pape bâtisseur, il fait réaliser de grands travaux dans Rome. Il fait condamner Galilée, malgré la profonde amitié qui les lie, tant les preuves de malhonnêteté du savant sont grandes. Voir la chronique du 22 juin qui explique d’une part, comment Galilée demande l’imprimatur ecclésiastique et fait imprimer un autre livre sous cet imprimatur ; et d’autre part comment l’Eglise le condamne pour ses conclusions théologiques tirées d’hypothèses scientifiques non-démontrées.
L’ouvrage d’art, aujourd’hui classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, voit sa première pierre posée ce jour. Les travaux, dirigés par Paul-Pierre Riquet, s’achèvent en 1681. Le canal du Midi relie la Garonne à la Méditerranée et mesure 241 kilomètres.
Suite à l’échauffourée survenue à Rome en 1662 entre les gardes corses du pape et les domestiques de l’ambassadeur de France, le légat du pape Alexandre VII, le cardinal Flavio Chigi, vient au château de Fontainebleau présenter les excuses du pape.
La construction du port débute, donnant lieu à une grande fête, dont des joutes nautiques, qui sont encore pratiquées aujourd’hui.
Dans le cadre de la guerre de Neuf Ans, la France est en conflit avec l’Angleterre et les Provinces-Unies. Le 29 juillet 1693, les troupes françaises affrontent les alliés commandés par Guillaume d’Orange à la bataille de Neerwinden. Les Français, sous les ordres du maréchal de Luxembourg mettent leurs ennemis en déroute, faisant 19 000 victimes.
Les armées coalisées anglaises, autrichiennes, hollandaises et du duché de Savoie,dans le cadre de la guerre de Succession d’Espagne, assiègent la ville de Toulon, du 29 juillet au 21 août 1707. La ville est tenue par René de Froulay de Tessé, qui commande une garnison de 15 000 hommes. Avec 35 000 soldats, le prince Eugène et Victor-Amédée de Savoie parviennent à prendre les hauteurs de Sainte-Catherine alors que la flotte anglaise bloque le port ; mais les Français reconquièrent rapidement les hauteurs. Les coalisés lèvent le siège le 22 août suivant.
Cette caisse créée par Jacques Laffitte et Benjamin Delessert voit, le 29 juillet 1816, une ordonnance royale de Louis XVIII, qui en autorise l’existence. La « société anonyme formée à Paris sous le nom de Caisse d’Epargne et de prévoyance » n’a qu’une courte vie. C’est le 22 mai 1818 que la Caisse d’épargne et de prévoyance à Paris naît vraiment.
Après trois jours d’émeutes, appelés selon la mythologie républicaine maçonnique« les trois glorieuses », les défenseurs du Roi se replient à Saint-Cloud, autour de Charles X. Menée essentiellement par des républicains, la révolution de Juillet met fin à la Restauration. Le Roi abdique le 3 août et se trouve banni, après la trahison de Lamartine. En digne héritier de Philippe Egalité, le Duc d’Orléans obtient des bourgeois parisiens, à l’origine de la révolution de 1789, le pouvoir ; la monarchie de Juillet commence.
Construit entre 1808 et 1835 sur ordre de Napoléon 1er, l’arc de Triomphe est inauguré ce jour. C’est aujourd’hui, un monument classé « monument historique ».
Fondée en 1838, la Société des régates du Havre organise la première régate française de bateaux à voile. C’est le premier club nautique du pays.
La IIIème République vote la loi sur la liberté de la presse, dont l’article Ier affirme : « l’imprimerie et la librairie sont libres ».Mais les syndicats vont pouvoir contrôler le système, indirectement… Il faut noter que cette Loi supprime les mesures préventives et réduit les formalités administratives nécessaires à la création des journaux.

En 1907, âgé de 50 ans, Robert Baden-Powell organise un camp de quinze jours avec une vingtaine de garçons de différentes classes sociales sur l’île de Brownsea, qui débute le 29 juillet. Il y teste ses idées d’éducation par le jeu, d’indépendance et de confiance, La pédagogie scoute naît peu à peu.
« Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les Musulmans de notre Empire colonial du Nord de l’Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste… Une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir le cœur ni l’esprit français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui gardera l’étiquette pour pouvoir, par elle, influencer les masses ; d’autre part la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par ses marabouts, par les contacts qu’elle a avec les Français, qui souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d’elle.
Le sentiment national ou barbaresque s’exaltera donc dans l’élite instruite ; quand elle trouvera l’occasion, par exemple lors de difficultés de la France en dedans ou en dehors, elle se servira de l’Islam comme d’un levier pour soulever la masse ignorante et cherchera à créer un empire musulman africain indépendant… Si nous n’avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu’ils deviennent Français est qu’ils deviennent chrétiens. Sinon avant cinquante ans, nous serons chassés de l’Afrique du Nord. »
Lettre adressée à René Bazin, de l’Académie française, président de la Corporation des publicistes chrétiens, parue dans le Bulletin du Bureau catholique de presse, n° 5, octobre 1917.
Il concerne les prestations familiales, la fiscalité des familles nombreuses, et sanctionne lourdement l’avortement.
Jean Ousset et Jean Masson, conscient de l’ignorance de la quasi-totalité des catholiques décident de créer ce qui va rapidement devenir, en 1949, la Cité catholique. Ils souhaitent mettre en application ce que dit Pie XII :
« L’heure présente exige des croyants qu’avec toutes leurs énergies, ils fassent rendre à la doctrine sociale de l’Eglise, son maximum d’efficience et son maximum de réalisations. C’est se faire illusion de croire comme certains qu’on pourrait désarmer l’anticléricalisme et la passion anticatholique en restreignant les principes catholiques au domaine de la vie privée. »
Ce jour, en la chapelle de la Médaille Miraculeuse de la rue du Bac, ils mettent sous la protection de la Vierge Marie, leur fondation.
Cité par François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l’intelligence et des mœurs (Editions de Chiré page 227)

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Patrice Quarteron s’est levé contre la haine de la France de l’intérieur
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Très belle leçon de Fatiha Boudjahlat :
« Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d’être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de «bounty» et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s’agit de désigner les enfants d’immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de «harki», de «collabeur», de «nègre de maison», termes dont j’ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l’on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l’identité qui n’ont rien à leurs symétriques identitaires.
La violence se déchaîne parce qu’il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave. Il est question d’authenticité. On est un vrai arabe, un vrai musulman, un vrai enfant d’immigré etc quand on vante le bled et que l’on cultive l’indifférence voire le mépris à l’endroit de la France (…)
Le patriotisme est brocardé, dénoncé, moqué, criminalisé quand il concerne la France, mais il est respecté, vanté, normalisé quand il concerne le pays d’origine. Houria Bouteldja, égérie du Parti des Indigènes de la République, écrit ainsi dans son ouvrage Les Blancs, les Juifs et Nous: «J’ai laissé mon pays libre, comme une étoile scintillante. Je suis allé au pays des impies, le pays de l’obscurité» , et plus loin, avec un talent poétique certain: «Ô mes frères, mes soeurs, Ô mes frères mes soeurs, des Français je suis dégoutée. J’accepte de ne porter qu’un tricot mais je ne veux pas qu’on m’appelle «bicot». O mon Dieu, ma foi est meilleure que la leur. Celui qui critique le pays [l’Algérie], que la rivière l’emporte.» Que n’entendrait-on pas si ces mêmes propos avaient été tenus à l’endroit de ceux qui critiquent la France! Et il faut être honnête, je n’ai jamais vu un élève asiatique afficher le drapeau du pays de ses parents, alors que tant de mes élèves affichent sur les écrans des ordinateurs du collège, sur leurs carnets de correspondance les drapeaux des pays du bled, Afrique du Nord et Afrique noire.
La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté. Cette volonté obsessionnelle de déraciner ces enfants est pourtant «la plus dangereuse maladie des sociétés humaines.» . Ce n’est pas anecdotique, c’est politique et c’est donc emblématique. Ceux là-mêmes qui voient du nationalisme quand il s’agit du drapeau français ne sont en rien gênés par l’esprit cocardier de ces jeunes, pourvu qu’il se fasse au bénéfice d’un pays autre que la France. Ce n’est donc pas le patriotisme en lui-même qui est rejeté, c’est la France (…)
Patrice Quarteron a raison: c’est le drapeau Français qui est honni, quand ceux du bled ou de la Palestine fleurissent dans les manifestations festives, sportives ou politiques. Ce n’est pas le drapeau qui gène, c’est la France.
Quand c’est un autre pays, c’est un patriotisme sain et juste. Quand c’est la France, c’est l’expression d’un nationalisme destructeur d’altérité. Un élu de Saint-Denis, Madjid Messaoudène, a fait la promotion sur son compte twitter de boîtes de mouchoir aux couleurs de l’Algérie. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit d’avoir le même esprit cocardier vis-à-vis de la France. Il se dit binational comme une immunité diplomatique, mais ne dit jamais de bien de la France, n’affiche jamais ses couleurs, au contraire de l’Algérie. La binationalité consiste dans son cas et dans le cas de beaucoup de ceux qui ont insulté Patrice Quarteron à lier une nationalité de raison, la nationalité française, celle que l’on subit, à une nationalité de cœur, celle du pays des parents, qui suscite tendresse et nostalgie.
Les contempteurs de Patrice Quarteron se dépêchent de préciser qu’ils sont Français, comme une bravade. Qu’ils sont donc ici chez eux. Chiche. Qu’ils en tirent toutes les conséquences: être ici chez eux implique un sentiment d’appartenance, pas une rente viagère. Mais ils ajoutent qu’ils n’ont pas choisi d’être français, qu’ils n’ont pas choisi de naître et de vivre en France. Ont-ils plus choisi d’avoir des parents algériens ou marocains? Cela ne les empêche pas d’afficher les couleurs de ces pays. Ils présentent le fait de vivre en France comme une fatalité, une souffrance. Mais il y a pourtant un opting out, un droit de sortie de la France: les frontières sont ouvertes. Pourquoi ne pas l’exercer, puisque la vision de Français d’origine étrangère et aimant la France les insupportent à ce point? Houria Bouteldja répond dans le même livre, à la page 109: «Ce sera notre éternel dilemme: rester et subir l’humiliation, partir et crever la dalle». Mais alors, leur patriotisme, leur amour de leur pays tient à peu de choses: au pouvoir d’achat et au standing. Il est vénal. Eux construisent le dilemme, l’alternative. Eux construisent un conflit de loyautés qui empoisonne la vie des jeunes (…)
L’État a trop mis en avant sa neutralité. Au point de ne plus offrir de contenu éthique, de chemin vers la vie bonne. Au point de ne plus offrir de vie collective riche, de ne plus constituer une transcendance. Celle là même qui permet de se dépasser et d’être meilleur. Il faut enseigner et assumer la vertu civique, dont Vauvenargues écrit qu’elle se confond avec «la préférence de l’intérêt général au particulier.» C’est l’exemple que nous offre la joie de Patrice Quarteron. La joie de faire gagner son pays. Mais il est vrai que l’État Français a été trop laïque vis-à-vis de lui-même, autorisant et protégeant tous les cultes sauf celui de l’État, et que, réduit à un guichet de prestations et à un ensemble de procédures, il ne peut susciter affection et allégeance. Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d’aimer la France. Le patriotisme républicain s’apprend, s’il s’enseigne. Associons-le à la bravoure, à la victoire. Il faut redonner le goût d’aimer la France, ailleurs que lors des veillées funéraires. Apprenons à servir plutôt qu’à se servir, au sens de Bernanos, c’est-à-dire en «gardant vis-à-vis de ce qu’on sert une indépendance d’esprit absolue. C’est la règle des fidélités sans conformisme, c’est-à-dire des fidélités vivantes.» Dans le même ordre d’idée, Mark Twain définissait le patriotisme comme le fait de «défendre son pays en toute circonstance, et son gouvernement, seulement quand il a raison.» Au final, soyons humbles. Contentons nous de demander pour la France ce que Houria Bouteldja ressent et exige pour l’Algérie ».

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Il aime la France
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Attaque meurtrière à Hambourg : « Il a crié Allah Akbar avec un couteau dans la main »
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L’islamisme tue :
« L’homme responsable d’une attaque meurtrière au couteau vendredi dans un supermarché de Hambourg en Allemagne a été pourchassé par des passants, qui l’ont rattrapé, maîtrisé et livré à la police, ont raconté plusieurs témoins. « Les gens ont couru après l’agresseur et lui ont lancé des chaises », a indiqué l’employée d’une boulangerie voisine du supermarché où le drame s’est déroulé dans l’après-midi, Shaylin Röttmer, 18 ans, à l’agence de presse allemande DPA.
L’homme, dont les motivations et l’identité ne sont pas connues, a fini par être maîtrisé par ses poursuivants (…)
L’homme a tué une personne dans un supermarché de la chaîne Edeka, et en a blessé quatre autres, dont une grièvement, en prenant la suite.
Pourquoi? la police parle de coups de couteau donnés comme « au hasard » autour de lui.
« Il a crié Allah Akbar avec un couteau dans la main », a assuré un témoin à des chaînes de télévision sur place. Une femme qui faisait la queue à une caisse du supermarché au moment de l’attaque confirme. « Il a levé les bras et crié Allah Akbar », a dit cette dernière à la chaîne N-TV » .

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Des milliardaires en eaux troubles françaises
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Quand des Qataris veulent racheter encore un bien sur le sol français, ils se heurtent à certaines réalités :
De ce perchoir de luxe autrefois fréquenté par Leonardo DiCaprio ou Roger Moore, la vue est également imprenable sur les mœurs locales : depuis trois ans, le mythique palace, ayant servi de décor pour le film « l’Arnacœur », avec Romain Duris et Vanessa Paradis, se retrouve en effet au centre d’une féroce bataille judiciaire.
Elle met aux prises l’ancien propriétaire et investisseur italien Bruno Arosio, le nouveau maître des lieux et ancien émir du Qatar Hamad ben Khalifa Al Thani, et un administrateur judiciaire bien connu, Pierre-Louis Ezavin. Un incroyable sac de nœuds au-dessus duquel planent l’ombre de la franc-maçonnerie, celle des réseaux d’influence qataris et de fonds pas toujours aussi clairs que la Méditerranée« .

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Son et lumière à Sainte-Anne-d’Auray
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Alexis Arette à Emmanuel Macron : « La gauche Française n’a jamais aimé nos soldats »
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Lettre ouverte d’Alexis Arette, paysan, combattant volontaire, Chevalier de la Légion d’honneur, au président de l’actuelle République, chef des armées : Monsieur Emmanuel Macron :
« Monsieur le Président,
Je viens d’assister sur le petit écran, aux cérémonies commémoratives de notre fête nationale, et je vous ai quelque reconnaissance de la façon parfaite dont elles se sont déroulées, jusqu’au moment ou vous avez pris la parole pour clôturer les cérémonies.
En effet, vous avez cité comme date représentative de ce qu’a voulu le peuple Français, le 14 Juillet 1789. Or ce 14 Juillet 1789 fut un sanglant malentendu attisé par les fausses accusations portées par des révolutionnaires comme Camille Desmoulins, avec l’appui des bas-fonds, et, selon Marat, une bande d’émeutiers Allemands. Les défenseurs de la Bastille qui s’étaient rendus sur la promesse de la vie sauve furent égorgés ; 7 prisonniers furent libérés : Quatre faussaires qui attendaient leur jugement, deux qu’il fallut ré-interner, et un incestueux qui avait violé sa sœur. Je ne pense absolument pas Monsieur le Président que vous ayez voulu célébrer cette libération.
Après ces tristes évènements, la sagesse sembla prévaloir, et le 14 Juillet 1790, la fête de la Fédération, parut ouvrir une ère nouvelle, celle d’une monarchie Constitutionnelle. C’est cette date qui fut retenue en 1880, comme notre fête Nationale. Le Symbole fut cependant trahi, et la République ne fut jamais fédérale.
Il est vrai que le fête de la Fédération ne put contrer le travail des sectes, et ce fut, avec les guerres de religion, l’épisode le plus honteux de notre histoire que l’instauration de la terreur sous l’égide de la déesse Raison : Ce fut donc le génocide de la Vendée, avec les premiers fours crématoires, la persécution anti-Catholique, la guillotine pour les suspects, et le pillage de l’Europe par les soldats de l’an II, avant que la révolution bottée de Napoléon n’inaugure de plus vastes charniers.
Je pense Monsieur le Président que vous devriez reconnaître votre erreur de datation, et ne point laisser penser que les atrocités de 1789, furent dans l’esprit de ce qui fut tenté lors de la fête de la Fédération. Peut-être même est-ce de cette dernière que vous devriez vous inspirer.
Permettez-moi d’ajouter une remarque à la liberté dont j’ai usé pour vous reprendre. J’ai appartenu, et aux postes les plus exposés, à cette armée Coloniale, suspecte d’avoir soutenu cette colonisation dont vous avez dit tout le mal que vous pensiez à Monsieur Boutéflika, qui en pense autant, au point qu’il a trouvé juste de faire crever les filles pied-noires dans ses bordels, après avoir dépecés et les avoir émasculés un certain nombre de nos soldats prisonniers. J’ai totalement désapprouvé vos propos. Il est vrai que vous êtes le chef des armées, donc maître de la stratégie républicaine, mais en tant qu’amateur assez éclairé de la chose, je pense avoir un mot à dire : L’un de mes petits-Fils à qui j’ai pu, en tant qu’ancien, remettre la fourragère à St Maixent, 60 ans après y avoir reçu la mienne, n’a pas renouvelé son engagement, après avoir vécu le désarroi d’une armée, dont la crapule socialiste avait entrepris le démantèlement. Ce n’est pas nouveau. La gauche Française n’a jamais aimé nos soldats. C’est Clémenceau qui, lors des révoltes des « Poilus » en 1917, proposait d’en fusiller un sur 10 ! Pour l’exemple !
De même, lors de la guerre d’Indochine, mes camarades parachutistes du 5e Bataillon, durent se faire effectuer à leurs frais les cartouchières correspondantes aux chargeurs de leurs armes, celles livrées étant des vieilleries conçues pour d’autre dimensions. Il fallut attendre le général de Lattre pour mettre de l’ordre. Mais le général avait les pleins pouvoirs. C’est vous aujourd’hui qui les détenez. Et vous en usez vis-à vis de notre armée de la façon qui convient le plus à nos ennemis !
C’est-à-dire Monsieur le Président que je partage entièrement la position du Général de Villiers, en fonction de cette solidarité qui unit les hommes décidés à mettre leur peau au service de la patrie.
C’est immédiatement que vous devriez rogner sur les dépenses festives de la République, rabattre les émoluments de vos députés, de vos hauts fonctionnaires, supprimer les honteuses faveurs et les prébendes sectaires du gouvernement précédent, et ramener le tout au niveau nécessaire pour donner au budget de notre armée les moyens de sa mission.
Sinon ?
Et bien Monsieur le Président cela me rappelle une opération dans les monts du Tonkin, ou un chef de bataillon imbécile nous avait engagés, dans une gorge qui me rappelait le val de Roncevaux. Légitimement inquiet de ce qui pouvait survenir du haut des pitons, je demandai son avis à l’adjoint au chef de section, mon camarade Rafaldi qui avait déjà une longue expérience : « Franchement, qu’en pensez-vous Rafaldi ? ». Il tourna vers moi un visage tragique, et fut précis : « Je pense que nous allons nous faire couper les couilles ! »
Nous sûmes le lendemain, que les bataillons Viets qui tenaient les hauteurs avaient reçu l’ordre de se réserver pour l’attaque générale du Jour suivant. Ce qui ne fut pas triste.
Je crains, Monsieur le président, que nos soldats n’ayant pas les moyens de leur mission, soient exposés au pire quand les ennemis le décideront. Et je crains qu’après nos soldats, comme nous en a averti le massacre de Nice, ce ne soit la population civile qui paie les frais de notre gabegie. Je crains encore que dans le désastre économique qui se prépare pour l’Algérie, nous ne puissions résister au déferlement de millions de jeunes Algériens sur notre sol. Car la guerre, et la guerre de défense immédiate, monsieur le Président, ne se fait pas avec de l’humanisme en bouche, mais avec en main de bonnes armes !
Au cas où votre majorité faiblirait devant les sacrifices nécessaires, il vous sera facile de la remplacer ! Tant d’aspirants attendent au portillon : Mais vous ne remplacerez pas une armée découragée. Les gens qui acceptent de risquer leur vie ne courent pas les rues.
Vous ayant dit ce que j’ai cru devoir vous dire en qualité de vétéran désireux d’épargner le pire à ses jeunes camarades et a la nation, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à mes meilleurs souhaits pour l’exercice de vos hautes fonctions. »

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28-29-30 juillet : concerts des Petits chanteurs de Fra Angelico
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La croissance de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre
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Mgr Gilles Wach est le fondateur et le prieur général de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre (ICRSP) société de Vie Apostolique en forme canoniale de Droit Pontifical dont la principale mission est la formation de futurs prêtres en son séminaire de Gricigliano (Italie). Il répond à L’Homme Nouveau. Extrait :
L’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre (ICRSP) que vous dirigez a eu la grâce de plusieurs ordinations cette année encore. Les vocations ne se tarissent donc pas ?
Notre Institut a effectivement depuis plusieurs années la grâce de nombreuses ordinations sacerdotales, 29 depuis 2015 dont 6 cette année. Nos maintenant 106 chanoines exercent leur ministère sur trois continents, dans treize pays. C’est S.E.R. le Cardinal Burke qui cette année encore nous a fait l’honneur de venir ordonner nos prêtres, tandis que S.Exc.R. Mgr Pozzo, secrétaire de la Commission Pontificale Ecclesia Dei est venu ordonner 13 diacres et sous-diacres pour notre Institut.
Ces vocations viennent du monde entier, en particulier d’Europe et de France. Notre maison de formation, le séminaire international Saint-Philippe-Néri de Gricigliano, situé à côté de Florence en Italie, s’apprête à recevoir en septembre 2017 plus de 20 nouveaux séminaristes en première année de formation. A ceux-là s’ajoutent une quinzaine de jeunes hommes qui vont passer une année de discernement dans nos maisons aux États-Unis, en Angleterre, en Allemagne, en Italie, en France.
Au total, c’est une centaine de vocations que nous accueillons actuellement pour les former au sacerdoce, dont 9 diacres.
Notre Institut compte également des oblats, c’est à dire de jeunes hommes qui se sentent destinés à se consacrer au sacerdoce de Jésus Christ Souverain Prêtre par une vie de prière liturgique avec nos chanoines, et par le service rendu au ministère sacerdotal dans notre Institut, sans avoir vocation à devenir prêtres. Ils sont actuellement une dizaine dans notre Institut, et autant en formation dans nos différentes maisons. Ils représentent 10% de nos membres, ce qui est une part importante et souvent méconnue de notre Institut ; leur aide est pourtant précieuse dans nos apostolats ; grâce à Dieu, leur nombre aussi est en croissance.
Je n’oublie pas nos sœurs Adoratrices, qui elles aussi attirent de nombreuses vocations, probablement cinq ou six nouvelles postulantes entreront dans les mois qui viennent. Cette branche féminine de notre Institut, présente dans trois pays, compte maintenant près de quarante religieuses. Elles apportent une grande aide à nos prêtres, d’abord dans la prière à leurs intentions, mais aussi en participant à divers labeurs apostoliques. […] »

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Moralisation de la vie politique : une loi pour instaurer le politiquement correct au sein des élus
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Emmanuelle Ménard, député de l’Hérault, a pris la parole à plusieurs reprises ces derniers jours lors du débat sur le projet de loi relatif à la moralisation de la vie politique. Les députés de La République en marche ont soumis deux amendements qui visent à rendre inéligibles les personnes qui auront été condamnées pour des faits de discrimination, d’injures publiques, de provocation à la haine raciale, etc. Une telle mesure peut évidemment sous-tendre une condamnation politique pour ceux qui ne sont pas dans le moule du politiquement correct…

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Cher : le service académique refuse l’ouverture d’une école
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Le 30 juin, une association créait une école à Presly. Voici le récépissé de la déclaration en mairie daté du 30 juin :

Et le certificat d’affichage, daté du 17 juillet :

Suite à la déclaration d’ouverture de cette école par l’institut Saint-Gabriel à Presly, l’association fondatrice a reçu ce courrier du 19 juillet :

Courrier étonnant :
- On peut tout d’abord constater que la déclaration s’est transformée en demande dans le courrier de réponse, en violation du code de la scolarité, rappelé récemment par le conseil constitutionnel qui a invalidé le décret de Mme Belkacem, laquelle voulait soumettre à autorisation et non plus à simple déclaration les ouvertures d’écoles privées indépendantes.
- Il faut préciser que la visite des locaux ne constitue nullement un préalable à l’ouverture d’une école privée. Il y a donc là un abus de pouvoir manifeste, car rien de tel ne figure dans la loi. Quant aux motifs éventuels précisés par la loi, à savoir des problèmes d’hygiène ou de mœurs, il ne peut en être question puisque les locaux bénéficient d’un certificat de conformité toujours valable. Le rapport d’inspection sanitaire du 6 juin 2017 a évalué la maîtrise des risques sanitaires en cuisine comme « acceptable » et qui, faute d’observations dans les 15 jours, est devenu « satisfaisant » depuis le 21 juin 2017.
- La fourniture de 2 dossiers distincts n’est nulle part précisée par la loi. La directrice a donc fourni un seul dossier pour les 2 déclarations, puisque la loi précise que ces déclarations peuvent être simultanées. En outre, nombre de pièces justificatives à fournir sont communes aux deux dossiers, ce qui évite la redondance et surtout une taille de dossiers excessive.
- Il n’est nulle part précisé dans la loi qu’il faut transmettre une copie de la déclaration du maire ou du certificat d’affichage de la commune. Il appartient par conséquent aux services compétents de se renseigner, dans le mois qui suit, pour savoir si ces procédures ont été accomplies.
- Le directeur départemental des services de l’éducation nationale indique enfin que le délai ne pourra courir qu’à compter de la date de réception du dossier complet, ce qui est une véritable provocation, non seulement compte tenu des éléments, mais aussi et surtout parce que ces services ont annoncé dans le même temps leur fermeture annuelle à compter du 20 juillet et jusqu’au 21 août !
Enfin concernant les scellés, les avocats de l’association vont demander une mainlevée officielle.
L’association a immédiatement saisi le services du rectorat à Orléans, les services départementaux n’agissant après tout qu’en délégation de ceux-ci.
A quoi avons-nous affaire ? A une tentative d’entrave à l’ouverture d’une école hors contrat dans le département, pour laquelle tous les moyens, même les plus illégaux, sont employés par des services de l’état normalement chargés de respecter et faire respecter la loi.

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15 officiers ayant quitté le service actif, dont 5 généraux, signent une lettre ouverte à Macron
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Dans une lettre ouverte au président, 15 hauts gradés de l’armée ayant quitté le service – dont cinq généraux – clament leur soutien à l’ancien chef d’Etat-major :
« Monsieur le Président
C’est au Chef des armées que les signataires de la présente lettre souhaitent s’adresser. C’est au Chef des armées qu’ils veulent dire combien ils ont été stupéfaits par son attitude à l’égard du Chef d’état-major des Armées de la France.
Nous sommes des Officiers de tous grades et des différentes armées ayant quitté le service actif. Nous n’avons aucun mandat ; nous ne prétendons pas parler au nom de l’Armée, cette « grande muette ». Nous estimons en revanche, de notre devoir de vous faire part de notre indignation et de vous dire ce que beaucoup de nos jeunes camarades, nos frères d’armes en activité, ressentent sans pouvoir l’exprimer.
L’Armée est peut-être muette, mais elle n’est ni sourde ni aveugle, ni amnésique. Elle n’a pas été sourde quand elle a entendu et cru en vos promesses de campagne. Elle n’a pas été aveugle lorsque votre tout premier geste a été de vous rendre au chevet de ses blessés. Elle a apprécié le symbole qu’a représenté votre choix d’un véhicule de commandement le jour de votre prise de fonction, elle a été sensible à l’image de l’autorité restaurée que vous avez voulu afficher. Tant vos paroles que les symboles que vous aviez choisis semblaient donc démontrer votre compréhension des forces armées et la priorité que vous leur accorderiez dans le contexte actuel.
Mais alors tout cela n’était-il que promesses, paroles et maniement des symboles ? On est en droit désormais de se poser la question en entendant les propos que vous avez tenus publiquement à l’Hôtel de Brienne à l’encontre du Chef d’état-major des armées, à la veille des cérémonies du 14 juillet. Cela restera longtemps dans les mémoires.
«Je considère pour ma part, qu’il n’est pas digne d’étaler certains débats sur la place publique… »
Mais alors est-il vraiment digne de réprimander, non seulement en public, mais devant ses subordonnés, un grand chef militaire, au sujet de propos destinés aux membres d’une commission parlementaire, au cours d’une audition censée être confidentielle ? Le CEMA ne faisait-il pas son devoir en rendant compte loyalement à la représentation nationale de l’état des armées ? Cette humiliation publique est une faute, Monsieur le Président.
«J’ai pris des engagements…»
Mais alors, après avoir prolongé le CEMA d’une année, ce qu’il a accepté en toute loyauté, précisément pour mettre en œuvre vos engagements de campagne, pourquoi lui faire grief de refuser d’endosser vos reniements ? Comment pouvez-vous penser qu’il accepterait de se soumettre et de perdre ainsi la confiance de ses subordonnées ? Ce reniement est une faute, Monsieur le Président.
«Je suis votre chef…»
Tous les militaires le savent et ils sont vexés que vous le leur rappeliez. Mais alors, serait-ce que vous en douteriez vous-même ? Dans ce cas, ce doute vous honorerait car il montrerait que vous avez senti la différence entre être le chef légal, et être le chef véritable : celui qui, connaissant le métier des armes, respecte ses hommes et en retour se fait aimer d’eux ; celui qui, parce qu’il a d’abord commencé par obéir, a appris à commander. Si votre jeunesse est une excellente chose, elle ne vous a pas apporté l’expérience du Service sous les armes. Personne ne vous le reproche, mais ceci implique un minimum d’humilité : commander n’est pas « manager ». Ce défaut d’humilité est une erreur, Monsieur le Président.
«Les engagements que je prends devant nos concitoyens et devant les armées, je sais les tenir…»
Nous ne demandons qu’à le croire, mais pour l’instant vous ne les tenez pas, et nos ennemis eux, ne vont pas attendre une année supplémentaire pour frapper les nôtres. Quant à l’argument consistant à dire au pays que la coupe budgétaire annoncée n’aura aucune incidence sur la vie de nos soldats, il est fallacieux et vous le savez. Il a été utilisé par vos prédécesseurs depuis des décennies et il est la cause des nombreux retards, diminutions, voire annulation de programmes, responsables du délabrement actuel de nos matériels ; situation que nos hommes vivent durement au quotidien, en conditions de guerre. En réalité vous mettez nos armées dans une situation encore plus tendue, vous le savez et vous manipulez la vérité. Cette manipulation est une faute Monsieur le Président.
«Je n’ai, à cet égard, besoin de nulle pression et de nul commentaire»
Considéreriez-vous donc comme une «pression» ou un «commentaire» le compte-rendu que le Chef d’état-major a présenté en toute vérité et loyauté à la commission parlementaire ? Le CEMA ne doit-il adresser à la représentation nationale que des propos bien lissés et bien formatés en lieu et place de la réalité ? Quel caporalisme, quel manque de considération pour lui comme pour elle ! Quel mépris vis-à-vis des problèmes réels auxquels nos armées ont à faire face ! Ce mépris est une faute Monsieur le Président.
«J’aime le sens du devoir, j’aime le sens de la réserve…»
Précisément votre devoir était de faire preuve de réserve vis-à-vis de votre grand subordonné ; les termes vifs qu’il a utilisés ne vous étaient pas destinés, vous le saviez. Rien ne vous obligeait à rendre publique une fuite de confidentialité et à l’exploiter en violente diatribe à son égard. Où est la réserve quand quelques jours plus tard, comme si cela ne suffisait pas, vous déclarez dans la presse que « L’intérêt des armées doit primer sur les intérêts industriels », laissant ainsi entendre que le souci du CEMA concernant l’obsolescence des matériels lui seraient « susurrés » par le lobby militaro-industriel ? C’est bas, ce n’est pas digne, Monsieur le Président. Où est la réserve quand, dans le même journal, vous ajoutez en parlant du général De Villiers qu’il a toute votre confiance, «mais à condition de savoir quelle est la chaîne hiérarchique et comment elle fonctionne, dans la république comme dans l’armée» ? Où est la réserve dans de tels propos adressés à un homme qui sert les Armes de la France depuis quarante ans, quand vous ne les découvrez que depuis deux mois?
En conclusion, vous aurez compris, Monsieur le Président, que vos paroles publiques visant le Général De Villiers n’ont pas seulement atteint ce grand serviteur de la France et de nos armées mais aussi un grand nombre de militaires qui, comme nous, se sentent humiliés. La blessure est profonde. C’est pourquoi, loin des innombrables commentaires politiques, techniques ou simplement polémiques, nous pensons qu’il est de notre devoir de vous parler avec le cœur. Vous aviez bien commencé avec les symboles, et nous avons cru en votre parole ; mais aujourd’hui elle s’est transformée en mots inutilement destructeurs et vos récentes déclarations d’amour à Istres ne sont encore perçues que comme des mots, pour ne pas dire comme de la communication.
Alors, Monsieur le Président, réservez et retenez votre parole pour qu’elle redevienne La parole, la parole donnée, la parole qu’on tient : celle en laquelle nous pourrons croire à nouveau. Laissez les symboles et les discours et passez aux actes concrets pour vos militaires. Vous êtes leur chef constitutionnel, soyez-le dans leur vie réelle, écoutez-les, respectez-les.
Général de brigade aérienne (2S) Diamantidis
Ont également signé cette lettre :
- Général de division aérienne (2S) Tsédri
- Général de division aérienne (2S) Champagne
- Général de brigade Gendarmerie (2S) De Cet
- Général de brigade Terre (2S) Reydellet
- Colonel Terre (ER) Wood
- Colonel Terre (ER) Lerolle
- Colonel Terre (ER) Noirot
- Colonel Terre (ER) Aubignat
- Colonel Air (ER) Piettre
- Colonel Air (ER) Populaire
- Médecin en chef (H) Reynaud
- Lieutenant-Colonel Air (ER) Delalande
- Chef de bataillon Terre (ER) Gouwy
- Capitaine Terre (ER) Diamantidis

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Villeurbanne : armé d’un couteau d’un Coran, il se jette sur les policiers en criant “Allah Akbar”
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Un homme vêtu d’une djellabah et d’une lame de 40 centimètres s’était retranché à son domicile. Les forces de l’ordre, appelées par un voisin, ont d’abord tenté de le raisonner, lui demandant de sortir dans le calme avec les mains apparentes.
L’individu s’est alors jeté sur les policiers, muni d’un Coran et de son couteau, au cri de « Allah Akbar ». Aucun fonctionnaire n’a été blessé durant l’opération.

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Trump nomme un catholique ambassadeur extraordinaire des États-Unis chargé de la liberté religieuse
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Lu sur Americatho :
« Le gouverneur républicain du Kansas Samuel “Sam” Brownback, élu en 2011 et qui ne devrait pas solliciter un nouveau mandat, vient d’être désigné par le Président Trump pour devenir ambassadeur extraordinaire des États-Unis chargé de la liberté religieuse internationale. Il devrait ainsi succéder, dans cette fonction, au rabbin David Saperstein nommé par Barack Obama, et dont la mission s’est achevée le 20 janvier de cette année. Cette nomination présidentielle est, comme toute nomination d’ambassadeur, soumise à la ratification du Sénat. Ancien député du Kansas puis sénateur de ce même État au Congrès, Sam Brownback s’est converti au catholicisme en 2002. »

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Le parti Les Républicains a-t-il tiré les leçons de ce qui s’est passé ?
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Guillaume Bernard n’en a pas vraiment l’impression :

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