Le Salon Beige: 18 nouveaux articles:L’Education nationale au service du lobby LGBT-et varia

Le Salon Beige: 18 nouveaux articles

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C’est arrivé un 18 mai…

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« A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines. » Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous :

  • le 18 mai : saints du jour français ou en France.
    • Bx Guillaume de Toulouse, prêtre o.e.s.a. († 1369)

A Toulouse, en 1369, le bienheureux Guillaume, prêtre de l’Ordre des Ermites de Saint-Augustin.

 

 

 

 

  • St Hadulphe, évêque d’Arras et de Cambrai († 728)

À Arras, en 728, saint Hadulphe, évêque d’Arras et de Cambrai, auparavant abbé de Saint-Vaast.

  • le 18 mai 526 : le pape saint Jean Ier meurt en prison à Ravenne.

Saint Jean Ier, né en Toscane vers 470, est pape du 15 août 523 à sa mort, le 18 mai 526. Il est considéré comme un martyr et est fêté le 18 mai. L’empereur ostrogoth arien Théodoric le Grand l’envoie, contre son gré, à Byzance pour qu’il tente de faire adoucir un édit de l’empereur Justinien contre l’arianisme. C’est le premier pape reçu à Constantinople. L’accueil est chaleureux, mais son ambassade est un échec. À son retour à Rome, Jean est arrêté par Théodoric qui le laisse mourir de faim en prison à Ravenne où il meurt.

  • le 18 mai 1012 : Benoît VIII est élu pape.
  • le 18 mai 1291 : le maître du Temple, Guillaume de Beaujeu, meurt en plein combat en défendant les remparts d’Acre contre les assauts de Marek-el-Ashraf.

21ème maître de l’Ordre du Temple, alors que le sultan d’Égypte Khalil al-Ashraf met le siège devant Saint Jean d’Acre, Guillaume de Beaujeu tombe sous les remparts de la ville, blessé par une flèche. L’histoire raconte que se retirant vers les lignes arrières, il est apostrophé par un templier à qui il aurait répondu : « je ne m’enfuis pas, je suis mort ».

  • le 18 mai 1302 : les « Matines de Bruges ».

En janvier 1300, l’armée française entre en Flandre. Le comte de Flandre, Guy de Dampierre, et ses fils sont arrêtés et incarcérés en France pendant que Philippe le Bel confie l’administration du comté au très maladroit et malchanceux Jacques de Châtillon. Les artisans de Bruges se rebellent contre les échevins de la ville qui leur imposent des impôts exorbitants. Dans la nuit du 17 au 18 mai 1302, une centaine de soldats français sont égorgés dans leur sommeil par les brugeois.

Philippe le Bel ne peut pardonner ces Matines de Bruges. La plupart des villes de Flandre rejoignent, au cours du printemps 1302, le camp de la rébellion et obligent les troupes françaises à se replier. Dans le donjon de Courtrai, une modeste garnison s’est retranchée en espérant l’arrivée de renforts. Début juillet, une imposante armée flamande, augmentée de mercenaires aguerris, se rassemble dans la plaine voisine. Entre-temps, Philippe le Bel a convoqué son ost et en a confié le commandement au neveu de Saint Louis, Robert d’Artois… voir les chroniques du 11 juillet et du 18 août.

  • le 18 mai 1643 : premier lit de justice de Louis XIV, Anne d’Autriche devient régente de France.

Sitôt la mort de Louis XIII, le 14 mai 1643, la reine Anne d’Autriche quitte Saint Germain en Laye pour Paris. L’important, pour elle, est de remettre le royaume intact à son fils aîné, le jeune Louis XIV à sa majorité. Encore doit-elle récupérer pleinement la régence.

Anne d’Autriche, ayant négocié avec le duc Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII, et le prince Henri II de Condé, se rend au Parlement, le 18 mai, où par lit de justice, le jeune Louis XIV fait casser le testament du feu Roi. Le testament de Louis XIII, qui instituait un « conseil souverain de régence » avait pourtant enregistré unanimement quatre semaines plus tôt. Il est officiellement cassé et il est décidé de confier :

« l’administration libre, absolue et entière des affaires du royaume à la régente pendant la minorité du Roi », avec « pouvoir à la dite dame de faire choix de personnes de probité et expérience, en tel nombre qu’elle jugera à propos pour délibérer aux conseils […], sans que néanmoins elle soit obligée de suivre la pluralité des voix ».

  • 18 mai 1751 : l’encyclique Providas romanorum de Benoit XIV, qui confirme celle de Clément XII condamnant la Franc maçonnerie.

« Nous voulons qu’elle ait force et efficacité toujours. » Outre le secret, est condamné le relativisme qui met l’erreur et la Vérité sur le même plan.

L’excommunication est renforcée. Le pape considère en effet que les loges maçonniques mettent en péril le catholicisme, en rejetant la Vérité, en cultivant le secret et en répandant dans la société toutes les erreurs philosophiques, morales et politiques de l’histoire de l’humanité.

  • le 18 mai 1756 : George II de Grande-Bretagne déclare officiellement la guerre à la France.

L’année 1755 est marquée par de nombreuses agressions anglaises. L’Angleterre prend ainsi l’initiative des hostilités, en capturant deux vaisseaux français et des dizaines de bateaux de pêche et de commerce, au large de Terre-Neuve. Le 8 juillet a lieu la «rafle » de quelque trois cents navires français dans l’Atlantique Nord, qui provoque la rupture des relations diplomatiques. Dans l’été encore, le général Braddock, envoyé contre Fort Duquesne, l’actuelle ville de Pittsburg, en Pennsylvanie, est battu par les Français. De juillet à décembre, les Anglais expulsent d’Acadie tous les habitants d’origine française. Cette déportation de près de 10 000 personnes entre dans l’Histoire sous le nom de « Grand Dérangement ». Le 21 décembre, seulement, Louis XV adresse un ultimatum au roi d’Angleterre George II ; il est rejeté le 13 janvier 1756. Trois jours plus tard, Frédéric II de Prusse conclut avec l’Angleterre le traité de neutralité de Westminster. La France se tourne alors vers l’Autriche, ce qui aboutit au traité de Versailles du 1er mai 1756. C’est un renversement complet des alliances. En mai, Montcalm arrive au Canada, il s’empare d’Oswego, dans la vallée de l’Ohio.

En avril, les Français débarquent à Minorque Le 6 mai a lieu la victoire navale de Richelieu et de La Galissonnière sur l’amiral Byng à Minorque et la prise du Port Mahon. Le 18 mai l’Angleterre déclare la guerre à la France, qui lui déclare la guerre à son tour, le 9 juin.

  • le 18 mai 1794 : les colonnes infernales sont au Loroux.

La colonne Dusirat met la main sur deux milles barriques, elle tue et brûle tout ce qui lui tombe sous la main.

  • le 18 mai 1794 encore : bataille de Tourcoing.

Les Français écrasent les Anglais.

  • le 18 mai 1799 : décès de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, écrivain français à l’âge de 67 ans

Il est l’auteur du « Le Barbier de Séville » et « Le Mariage de Figaro« . À son époque, il s’est fait une réputation d’aventurier sans scrupules.

Il a été agent secret du Roi de France pour s’emparer de documents secrets à Londres. Il s’est fait l’avocat d’une intervention française dans la guerre d’indépendance des États-Unis d’Amérique. Le 10 juin 1776, le secrétaire d’État aux affaires étrangères lui confie une somme importante pour soutenir secrètement les Américains. Il meurt à Paris d’apoplexie: un accident vasculaire cérébral.

  • le 18 mai 1804 : constitution de l’An XII établissant le premier Empire.

Napoléon Ier reçoit à St-Cloud le Sénat qui vient en corps lui notifier son vote pour l’Empire. Il nomme aussitôt ses frères Joseph « Grand Electeur » et Louis « Connétable », Cambacérès « Archichancelier », Lebrun « Architrésorier » et Ségur « Grand Maitre des Cérémonies ». L’application est immédiate, à la demande de Cambacérès, sans attendre les résultats du vote populaire prévu sur le gouvernement héréditaire. Le Premier Empire s’achève en avril 1814, abdication de Napoléon et départ pour l’île d’Elbe.

  • le 18 mai 1824 : La Thétis de Bougainville arrive à l’île Bourbon où elle retrouve l’Espérance venant de Rio.

La mission de ce voyage est d’établir des relations diplomatiques avec l’Indochine et de faire des observations géographiques.

  • le 18 mai 1880 : décès de Louis-Édouard Pie, cardinal français, évêque de Poitiers.

Louis-Edouard Pie meurt le 18 mai 1880 à Angoulême, où il venait prêcher. Ordonné prêtre en 1839, évêque de Poitiers en 1849, puis cardinal de Sainte-Marie-des-Victoires, un an avant sa mort, en 1879. Il refuse l’archevêché de Lyon, considérant que ce n’était pas pour lui. Louis-Edouard Pie est l’un des principaux chefs ultramontains du XIXe siècle, défendant la primauté spirituelle et juridictionnelle du pape sur le pouvoir politique, en opposition au gallicanisme.

Le 3 janvier 1859, Garibaldi, au service de Victor-Emmanuel, entre en lutte contre l’Autriche et le Vatican. Monseigneur demande 1859 un nouvel entretien avec l’empereur, pénétré qu’il est, selon ses propres mots, du péril de l’Église et de la société. L’audience est accordée pour le 15 mars. Elle dure une heure pendant laquelle l’évêque annone prophétiquement au chef de l’État la fin de son règne : « Si ce n’est pas l’heure pour Jésus-Christ de régner, l’heure n’est pas non plus venue pour les gouvernements de durer ! »

Rome en remerciement pour son grand travail en France et au cours du concile Vatican I l’élève le 29 janvier 1879 à la dignité de Cardinal, C’est en effet à lui, entre autres, que l’on doit la proclamation de l’Infaillibilité pontificale.

  • le 18 mai 1900 : Paul Villard démontre l’existence des rayons gamma.

C’est à la Société française de physique que Villard démontre que le radium émet des rayons « non déviables » mais très pénétrants, les rayons gamma. Mais sa découverte n’est pas reconnue.

  • le 18 mai 1920 : naissance de Karol Wojtyła, le pape Jean-Paul II.

Voir la chronique du 2 avril.

Karol Józef Wojtyla, est un prêtre polonais élu pape le 16 octobre 1978, à l’âge de 58 ans. Il prend le nom de Jean-Paul II. Son pontificat dure plus de 26 ans et est marqué par la mise en place des journées mondiales de la jeunesse qui réunissent des millions de jeunes. Il est le premier pape slave de l’histoire et le premier non italien depuis Adrien VI en 1522. Son pontificat est un des plus longs de l’histoire de la papauté. Seuls Saint Pierre et Pie IX régnèrent plus longtemps. Il est canonisé par le pape François 1er le 27 avril 2014.

Saint Jean-Paul II

  • le 18 mai 1968 : De Gaulle déclare à ses ministres en arrivant à Orly :

« La récréation est terminée ».

  • le 18 mai 1986 : le PAN (porte avions nucléaire) Richelieu est rebaptisé Charles-De-Gaulle.
  • le 18 mai 2001: le directeur de la Congrégation pour la doctrine, Ratzinger, envoie aux évêques la lettre « De delictis gravioribus »

Elle précise la nature des délits soumis à sa compétence : il stipule que les cas d’abus sur des mineurs sont soumis au secret pontifical.

  • le 18 mai 2010 : le film « Des hommes et des dieux » de Beauvois est présenté au Festival de Cannes 2010 et reçoit le Grand prix du jury le 24 mai.

Le film raconte l’assassinat des 7 moines de Tibérine en Algérie. La justice française enquête sur ce crime malgré les obstacles institutionnels du gouvernement local.

Cardinal Castrillon Hoyos RIP

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Le Cardinal Dario Castrillon Hoyos est décédé cette nuit, âgé de 89 ans.

Il a été préfet de la Congrégation pour le Clergé (1996-2006) puis Président de la Commission Ecclesia Dei (2000-2009). Le cardinal a joué un rôle important dans la promulgation du Motu proprio Summorum Pontificum (2007), dans la création de l’Administration apostolique personnelle de Saint Jean Marie Vianney de Campos (2002) et de celle de l’Institut du Bon Pasteur (2006). Il a également représenté le Saint-Siège à la fin du pontificat du Pape Jean-Paul II et le début de celui de Benoît XVI dans les discussions avec la Fraternité Saint-Pie X, aboutissant notamment à la levée des excommunications qui pesaient sur les quatre évêques sacrés par Mgr Marcel Lefebvre.

En 2001, il avait célébré la messe de clôture du pèlerinage Notre-Dame de Chrétienté. Dans son homélie il avait rappelé :

Cardinal3« La fête du Christ-Roi est une célébration de la royauté sociale du Christ (Pie XI, enc. Quas primas), et pas seulement d’un je ne sais quel Christ cosmique trop lointain pour avoir des conséquences pratiques. Cela n’a rien à voir avec le retour de la théocratie ou d’un prétendu  » ordre moral « , les chers ennemis pour lesquels nous prions beaucoup peuvent dormir tranquille de ce côté-là. Mais il est clair que si nous aimons le Christ, nous ne pouvons que vouloir vivre en cohérence avec sa présence, y compris dans nos responsabilités sociales. Gaudium et spes (n. 43) disait que  » le divorce entre la foi dont ils se réclament et le comportement quotidien d’un grand nombre est à compter parmi les plus graves erreurs de notre temps  »

Quelle tristesse que de voir des hommes politiques persuadés que leur foi chrétienne est une question privée sans incidence sur les choix qu’ils ont à faire. Comme si l’on pouvait faire le moindre choix sans avoir de principes ! Comme si le Christ n’illuminait pas toutes les réalités humaines

Ceci dit, peu nous importe si nos sociétés ont apostasié : nous n’allons pas le ressasser ni leur en vouloir, cela fait au moins un siècle, et il est clair que les générations actuelles ne sont pas responsables des fautes de leurs pères. Ce qui nous importe, c’est, comme le disait le bienheureux Jean XXIII,  » d’injecter la puissance de l’Eglise dans ce qu’on peut appeler les veines d’un peuple « , de sorte que l’Eglise ne soit pas une institution quelconque, imposée de l’extérieur (Encyclique Mater et Magistra ; CE décret Ad gentes n. 3), mais l’âme de la société, qui vivifie tout ce qu’elle y trouve de bon.

Ce qui nous importe, c’est de faire  » venir à la lumière tous ceux qui pratiquent la vérité  » (cf Jn 3, 21), et ils sont si nombreux autour de nous : tant de personnes qui ne connaissent pas le Christ, qui sont ignorantes de son message social, des conséquences pratiques de l’Evangile, et qui sont pourtant de bonne volonté, qui aspirent de tout leur cœur à un salut qui touche jusqu’aux institutions. Comment les rejoindre ? en témoignant à la fois des implications pratiques du christianisme, de sa capacité de créer et de régénérer la culture – il est savoureux, il est délectable, il est généreux, il procure la vraie joie, il est inventif – et dans le même temps, en témoignant de la vie éternelle, de la transcendance de Dieu. […] »

« La France en guerre laisse l’ennemi en paix »

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Le titre du bloc-note de Rioufol décrit parfaitement bien l’inaction de nos politiques.

19 mai : Rosaire pour la vie à Lyon

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Hervé Juvin : France, le moment politique

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Le vice-président de Geopragma, Hervé Juvin, présente son dernier ouvrage :”France, le moment politique : Manifeste écologique et social”. Le politologue et expert international présente les solutions qu’il préconise pour sortir la France de sa léthargie. Économie, écologie, société, communautarisme ou encore problèmes démographiques, Hervé Juvin aborde tous les sujets sans tabou.

Le Paraguay et son président respectent la personne humaine

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Lu ici :

« Le nouveau président élu du Paraguay, Mario Abdo Benitez, a honoré l’une de ses promesses de campagne en signant un engagement politique en faveur de la protection de la vie, le 4 avril 2018.

Dans cette profession de foi, le nouveau chef de l’exécutif s’oblige à « respecter, protéger, défendre et promouvoir » la vie du moment de la conception à la mort naturelle, ainsi que la famille « composée d’un père, d’une mère et d’enfants », comme étant le socle naturel de la société.

Mario Abdo Benitez s’engage également à protéger les droits fondamentaux des familles, notamment celui d’offrir une éducation morale et religieuse aux enfants, conformément à la foi et aux valeurs des parents. Et cela à un moment où d’autres pays d’Amérique latine imposent la théorie du genre dans l’éducation des enfants.

La Constitution du Paraguay – un pays catholique à 90% – reconnaît explicitement le droit à la vie depuis la conception, et le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme. »

Sur certains aspects du système économique et financier actuel

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Extrait de la note de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi parue ce jour :

« […] 7. Certaines considérations élémentaires sont aujourd’hui évidentes aux yeux de tous ceux qui, au-delà de toute théorie ou école de pensée, veulent prendre acte, de manière loyale, de la situation historique dans laquelle nous vivons. Ce document n’entend pas intervenir dans de légitimes discussions d’écoles, mais plutôt contribuer au dialogue, conscient que, de toute façon, il n’existe pas de recettes économiques valables en tout lieu et en tout temps.

8. Toute réalité ou activité humaine, vécue sur l’horizon d’une juste éthique, c’est-à-dire dans le respect de la dignité humaine et orientée vers le bien commun, est une chose positive. Cela vaut pour toutes les institutions que suscite la société humaine, même en ce qui concerne les marchés, à tous les niveaux, y compris financiers.

À ce propos, il faut souligner que même les systèmes créés par les marchés, avant de reposer sur des dynamiques anonymes, élaborées grâce à des technologies de plus en plus sophistiquées, sont basées sur des relations qui ne pourraient être instaurées sans la participation de la liberté des individus. Il est donc clair que, « pour fonctionner correctement, l’économie », tout comme les autres sphères de l’activité humaine, « a besoin de l’éthique ; non pas d’une éthique quelconque, mais d’une éthique amie de la personne ».

9. Il apparaît donc clairement que, sans une juste vision de l’homme, on ne peut fonder ni une éthique ni une pratique à la hauteur de sa dignité et du vrai bien commun. En fait, dire que l’action humaine est neutre ou dégagée de toute conception fondamentale – même dans la sphère économique – c’est toujours impliquer une compréhension de l’homme et du monde, qui révèle ou non sa positivité à travers les effets et le développement produits.

Dans cette ligne, notre époque a montré l’essoufflement d’une vision individualiste de l’homme pris surtout comme un consommateur, dont le profit consisterait avant tout à optimiser ses gains pécuniaires. En réalité, la personne humaine est dotée singulièrement d’un caractère relationnel et d’une rationalité continuellement à la recherche d’un gain et d’un bien-être entiers et non réductibles à une logique de consommation ou aux aspects économiques de la vie.

Ce caractère relationnel fondamental de l’homme est essentiellement marqué par une rationalité qui résiste à toute réduction chosifiant ses besoins fondamentaux. À ce sujet, il n’est plus possible de passer sous silence qu’il existe de nos jours une tendance à déshumaniser tous les échanges de « biens », en les réduisant à de simples échanges de « choses ».

En réalité, il est évident que l’enjeu de la transmission des biens entre des personnes n’est pas seulement d’ordre matériel, car les biens matériels sont souvent le véhicule de biens immatériels, dont la présence ou l’absence effective détermine de manière décisive la qualité même des rapports économiques (par exemple, la confiance, l’équité, la coopération…). C’est précisément à ce niveau que la logique du don sans contrepartie peut se comprendre non comme une alternative, mais comme une réalité inséparable et complémentaire de celle de l’échange de biens équivalents. […] »

Difficile gratuité : Rousseau n’a pas fini de faire mourir nos relations

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Réflexion de la CFTC Métallurgie des Yvelines :

« Un collègue d’Ariane Group (Les Mureaux) nous a remonté un fait significatif de son entourage professionnel traduisant l’isolement des personnes, et plus précisément un facteur d’auto-isolement de certains travailleurs : « je n’ose pas demander parce que je ne veux rien devoir à personne ». Délégués du personnel, délégués de proximité, élus CFTC : soyez attentifs ! Il existe de multiples sources de l’auto-isolement : la pudeur ou la honte, la toute-puissance (« j’y arriverai tout seul »), le manque de temps ou de disponibilité intellectuelle, etc. Dans ce cas précis, il s’agit de la question de la gêne face à la gratuité.

Celui qui ne veut rien devoir à personne se situe, ne lui en déplaise, dans une logique du donnant-donnant, d’une sorte de contrat social de type commercial – Rousseau n’a pas fini de faire mourir nos relations : « je ne consomme que si je paie immédiatement ». D’une certaine façon, c’est assez juste car une telle attitude montre que la personne qui se met dans cette logique a des scrupules qui la mettent à l’abri d’une dérive trop souvent rencontrée partout : celle des consommateurs-prédateurs du système, dérive que ce blog a souvent dénoncée.

En revanche, c’est sur un excès inverse que cet article veut porter l’attention.

D’où vient-il? Probablement d’une « culture » hybride de valeurs chrétiennes (tu ne voleras pas) mâtinée d’économisme où tout se paie, tout se monnaie, tout est objet de marché. Une culture où il n’y a pas de place ni pour la gratuité, ni pour le temps long de l’éventuel retour d’ascenseur de forme indéterminée. Dans cette culture du lien, on est dans une relation où l’aidant « a déjà sa récompense », une relation qui ne laisse pas la place à la gratuité.

L’antidote est facile, mais il faut y penser : « en me demandant de l’aide, tu me donnes l’occasion de rendre service et tu me donnes le sens qui me manque à cette journée : je suis déjà, d’une certaine façon, rétribué« .

Remontons un instant aux ordonnances Macron et à ses avatars : 1/ le plafonnement des indemnités prud’homales a permis de quantifier et de budgétiser le licenciement abusif et son préjudice, de le provisionner dans une case Excel ou SAP des comptables. 2/ Le Plan Personnel de Formation est désormais en euros et non plus en temps, ce qui est significatif de l’idéologie de tout pouvoir mettre dans des cases budgétaires. 3/ On parle de ces gens qui filment les interventions des médecins pour avoir des preuves devant la justice, « au cas où » : l’humain mis en boite se révolte, parce que c’est absurde.

Le point commun est que tout devient juridique, déterministe, conventionnel, et que progressivement, dans nos consciences, tout est objet de droit et de marché. « j’ai payé donc j’ai droit ». De ce fait, la personne qui ne veut pas entrer dans cette logique parce qu’elle en sent bien l’inhumanité,  s’isole elle-même, elle s’auto-censure dans ses appels à l’aide, par peur de devoir quelque-chose qu’elle ne sait pas identifier ni budgéter. Ce serait presque plus simple si, d’entrée, la prestation d’un délégué du personnel était forfaitairement facturée et plafonnée : et hop, on reviendrait à la case Rousseau. C’est dire à quel point le libéralisme marchand a envahi tous nos modes de vie.

Parce que la gratuité a été évacuée de nos consciences, chers délégué CFTC, parlez-en souvent : elle est la porte de notre capacité à accueillir l’imprévu (« la grâce », mot de la même famille), ce qui est très syndical, à bien y réfléchir, puisque c’est cette incertitude qui provoque la non-embauche ou le licenciement. Prenez l’exemple de la vie de famille, toute faite de gratuité et, a contrario, quand on commence à compter les points, le divorce n’est pas loin.

Faites de la CFTC la porte parole d’une culture du désintéressement, de la famille, et, si un peu de latin ne vous fait pas peur, rappelez vous cette vieille maxime des juristes romains : summa jus, summa injuria : le plus de droit, le plus d’injustice. Avec, au bout, toute la question du pardon, du droit à l’erreur, de la bienveillance, de la noble autorité qui relève, etc…nos fondamentaux, quoi. »

Quelle solution au conflit israélo-palestinien ?

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Réflexion de l’abbé Pagès :

Flag_of_Federal_Republic_of_Israel-Palestine« Répondre à cette question suppose de connaître la personnalité des deux belligérants. Ainsi, la raison d’être de l’État juif est inséparable de l’existence du peuple juif, qui ne peut lui-même se comprendre sans évoquer l’existence de Dieu (Gn 12.1-2 ; 17.1-2). Dieu, en effet, a voulu créer une société exempte de culte rendu au Démon où Son Messie pourrait S’incarner et saintement S’y développer.

Si donc l’existence du peuple juif est fonction de la venue du Messie, le Sauveur du monde (Jn 4.22 ; Ga 3.16+), alors le rejet de Jésus, le Christ, le Messie, préfiguré par celui des Prophètes, ne peut qu’avoir des conséquences dramatiques tant pour Israël que pour le monde entier. Jésus n’a-t-Il pas annoncé la destruction du Temple de Jérusalem et la dispersion des Juifs en châtiment de leur incrédulité, de leur refus de L’accueillir, Lui, le Fils de Dieu (Lc 13.34 ; 19.41-44 ; 21.20-24 ; Jn 5.23,42-47 ; 8.24,42-47), et cela « jusqu’à ce que soit accompli le temps des païens » (Lc 21.24 ; 1 Th 2.14+) ? Le « temps des païens » a donc vu sa fin avec la création de l’État d’Israël en 1948. La connaissance du Christ ayant désormais atteint les extrémités du monde (signe d’ailleurs de sa fin imminente, Mt 24.14), il n’est plus désormais possible d’être païen : on ne peut plus être que chrétien ou antichrétien. « Qui n’est pas avec Moi est contre Moi. » dit Jésus (Mt 12.30). Le retour des Juifs en Israël signifie que Dieu a pardonné leur blasphème contre Son Fils (Mt 12.32). Mais il n’en reste pas moins que si Israël ne tire pas les leçons de son histoire et s’entête à refuser le témoignage que l’Esprit-Saint rend aujourd’hui à Jésus-Christ, notamment par tous les bienfaits apportés par l’Église au monde entier, alors son péché ne pourra plus être pardonné (Mt 12.32), et ses châtiments passés auront été l’annonce et la pâle figure de ceux qu’il méritera…

De son côté, le peuple palestinien, quoiqu’originairement et encore en faible part, chrétien, est devenu l’emblème de la cause musulmane. Or comme le judaïsme rabbinique d’où il est issu, l’islam justifie sa raison d’être par le refus d’accueillir la foi chrétienne (1 Jn 2.22-23 ; 4.2-3 ; Ap 13.1+ ; Coran 9.28-30). Israël peut donc voir dans ce rejeton révolté contre son père (1 Ch 29.10 ; Is 63.16, 64.8) le témoin de ce qu’il est, le miroir de sa propre révolte contre Dieu, et l’islam reconnaître en Israël sa propre nature d’Antichrist… et s’attendre au même châtiment qu’Israël. Pour châtier ces Antichrist (Ps 2 & 83), Dieu a-t-Il besoin d’autre chose que de l’orgueil et de la haine inexpugnables qui tout à la fois rapprochent et opposent Juifs et Musulmans (Jc 3.14-16 ; 4.1+ ; Coran 2.193 ; 2.65 ; 5.60 ; 7.166) ?

[« Allah a maudit les Juifs à cause de leur mécréance. » (Coran 4.46) ; « Les Juifs auront l’ignominie ici-bas et dans la vie future un très grand châtiment. » (Coran 5.41) ; « Qu’Allah combatte les Juifs ! » (Coran 9.30) ; Chartedu Hamas en son article 7 : « Vous combattrez les Juifs et aurez sur eux le dessus, de sorte que même les pierres diront : Voici un Juif caché derrière moi, viens le tuer !” (Al-Bukhari,n°3593) // « Tuer un goy [un non-Juif] est comme tuer un animal sauvage » (Sanhédrin 59 a) ; « Même le meilleur des goyim doit être tué » (Abodah Zara 26 b) ; « Les Juifs sont des êtres humains, les Non-Juifs sont des animaux. » (Kerithuth 6b)]

Si les musulmans réalisaient qu’Allah ne donne la Palestine qu’aux Juifs (Coran 5.21), et même l’Égypte (Coran 28.4-6 ; 26.52-59), parce qu’Allah aime les Juifs « plus que tous les peuples de la terre » (Coran 2.47,121,122 ; 7.140), et sachant que « les coutumes d’Allah ne changent pas » (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23), continueraient-ils à croire au Coran, ou bien comprendraient-ils que l’islam n’est que du Judaïsme rabbinique, bien adapté aux bédouins primitifs, violents et sensuels, sous-produit talmudique inoculé aux Arabes pour faire d’eux d’autres Antichrists ?

Il n’y a donc pas d’autre solution au conflit israélo-palestinien que la conversion des Juifs et des Musulmans au Christ, Lui « qui, des deux peuples, n’en a fait qu’un, détruisant la barrière qui les séparait, en supprimant en Sa chair la haine ». Il est la Paix (Ep 2.14). Il enseigne la Miséricorde sans la pratique de laquelle personne ne pourra demander à la recevoir de Dieu (Lc 6.36-38)… Si donc maintenant Juifs et Musulmans refusent de se mettre à l’école de Jésus, doux et humble de cœur (Mt 11.29), enseignant à voir en tout homme un frère (Lc 10.25-37), ils n’auront jamais de paix, ni dans ce monde, ni dans l’autre. Alors, le Christ écrasera les uns et fracassera les autres (Lc 20.18), parce qu’Il est le Rocher d’Israël (Dt 32.4,18 ; 2 Sm 23.3 ; Ps 62.7, 89.26 ; Mt 21.42 ; Ac 4.11 ;Rm 9.32-33 ; 1 P 2.4-8), « un rocher qui fait tomber » (Rm 9.33), « un signe de contradiction devant qui toute conscience est mise à nu » (Lc 2.35). Au Jour du Jugement dernier, personne ne pourra avancer de raison pour se justifier d’avoir refusé de devenir chrétien (Mc 16.16).

Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ…

Une réflexion chrétienne au sujet du sionisme.

L’Education nationale au service du lobby LGBT

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A l’occasion de la journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie, le ministre Blanquer a envoyé un long courrier homosexualiste aux personnels de l’Education nationale :

Untitled« […] La liberté, c’est d’être soi-même en confiance. L’égalité, c’est le rejet de toutes les formes de discrimination. La fraternité, c’est le respect de l’autre. C’est en enseignant ces valeurs que l’Ecole fait reculer l’obscurantisme, l’intolérance et la haine.

Cette journée est l’occasion de rappeler que l’Éducation nationale a pour mission d’offrir un cadre protecteur et propice à la réussite de tous les élèves. Elle a également celle de faire partager à chacun le respect d’autrui comme l’égale dignité des êtres humains, et pour cela de prévenir toute forme de discrimination ou de violence, notamment celles fondées sur l’orientation sexuelle ou l’identité sexuelle.

Le ministère souhaite, à cette occasion, donner une forte impulsion à la lutte contre la haine anti-LGBT, afin notamment que soient apportés toute l’aide et le soutien nécessaires aux élèves et aux personnels qui sont victimes de paroles et d’actes homophobes et transphobes.

Dans cette perspective, je vous demande de mobiliser vos équipes pédagogiques et éducatives. Les enseignements, en particulier l’enseignement moral et civique, permettent une sensibilisation effective des élèves à ce sujet. Vous pouvez également solliciter le concours des associations agréées pour intervenir dans le cadre des actions éducatives, au sein de vos classes.

Un ensemble de ressources est disponible sur les pages Eduscol « Prévenir l’homophobie » et « Agir à l’école contre l’homophobie », notamment la campagne nationale de prévention intitulée « L’homophobie n’a pas sa place à l’École ».Je vous rappelle l’existence d’un service d’écoute et d’aide à distance […].

Au cours de la prochaine année scolaire, cette politique de lutte contre la haine anti-LGBT sera renforcée. Dans le cadre du Plan national de formation, un séminaire dédié à la prévention du sexisme et de la haine anti-LGBT est d’ores et déjà prévu. Au cours du premier trimestre de l’année scolaire, une nouvelle campagne nationale d’information contre la haine anti-LGBT sera diffusée dans les collèges et lycées. »

Et dire que certains apprécient ce ministre…

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Censure des affiches pro-vie à Rome

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Censure à Rome

L’Ofpra avait refusé le statut de réfugié politique à la famille Azimov

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Lu dans Minute :

Unknown-27« Khamzat Azimov aurait pu ne jamais devenir un tueur. En tout cas, un tueur en France. Pour cela, il aurait suffi qu’il ne soit pas naturalisé à l’âge de treize ans, qu’auparavant sa famille n’obtienne pas le statut de réfugié politique. Par les temps qui courent, c’est beaucoup demander, certes, mais la chose était possible. En effet, dans un premier temps l’Ofpra avait refusé le statut de réfugié politique à la famille Azimov. Mais, prise en main par des associations et pourvue gratuitement d’un interprète, maman Azimov avait réussi à faire casser cette décision par la Cour nationale du droit d’asile, une instance créée en 2007 par Nicolas Sarkozy sur les décombres de la Commission des recours des réfugiés et dotée de moyens importants pour « juger plus et plus vite ». Le dossier de la famille Azimov n’est pas public. Il ne devait pas être très bon puisque le père n’avait pas obtenu le statut. Ce qui ne l’empêchait pas de vivre jusqu’à samedi dernier dans le même hôtel parisien que sa femme et ses deux enfants. Aux frais de qui ? »

Le congé parental n’est pas du ressort de l’Union européenne

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Chronique de La Manif Pour Tous :

Unknown-28« Le congé parental est un puissant outil que la société met en œuvre pour soutenir les parents qui ont des enfants en bas âge. Alors que le bilan de la réforme votée par les socialistes en 2014 est catastrophique, une directive européenne est actuellement débattue au parlement européen qui pourrait aggraver encore la situation.

En France, la loi du 4 août 2014 pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes a réformé le congé parental afin de forcer à un partage plus équitable entre la mère et le père. Deux ans après son entrée en vigueur, le bilan de la nouvelle prestation (la PreParE) est catastrophique : on constate une baisse massive – moins 16% – du recours au congé parental. En effet, le nombre de pères prenant un congé parental n’ayant pas augmenté – il est au contraire en baisse depuis 2014 –, ce congé est plus court puisque le dispositif de Najat Vallaud-Belkacem sanctionne l’absence de répartition entre les deux parents d’une année en moins sur les trois.

L’objectif d’égalité est donc un échec, sans parler de la liberté réduite des couples dans leur choix de vie. Et ce n’est pas fini : l’Union nationale des associations familiales (UNAF) estime que cette tendance va persister. A se demander si le premier objectif n’était pas l’économie de 800 millions d’euros annuel pour l’Etat, sur le dos des familles, une caractéristique du quinquennat Hollande.

Du côté de l’Europe, un projet de directive européenne est actuellement débattu au sein de la Commission européenne. Le texte prévoit un congé parental avec un haut niveau de rémunération, mais de seulement quatre mois pour chacun des parents, non transférables entre eux. Parce que les eurodéputés socialistes français estiment que ce projet favoriserait l’égalité hommes-femmes, ils le soutiennent.

Mais si Emmanuel Macron approuve « les principes de la directive », il a déclaré que « c’est une belle idée qui peut coûter très cher et finir par être insoutenable ». Sans se prononcer sur le fond, il donne donc la priorité à l’économie. La politique familiale est pourtant un outil fondamental de relance de la démographie dont le retour sur investissement est très positif économiquement, à moyen et long terme. Cela ne semble pas être le cas du Président de la République.

Ce projet pose néanmoins un autre problème, et de taille, qui est celui du principe de subsidiarité pour tout ce qui touche à la famille : nous rejoignons ici Muriel Pénicaud, Ministre du travail, qui a rappelé que « ce n’est pas à Bruxelles que l’on doit décider dans le détail comment [le congé parental] doit fonctionner pays par pays ». Un rappel que Macron n’aura pas forcément apprécié, même si, en l’occurrence, il n’était pas favorable au projet en question. »

« Homophobie » : l’arme de sidération pour faire taire les opposants à l’agenda LGBT

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Selon l’association militant LGBT « SOS Homophobie », le nombre d’actes homophobes a augmenté en France en 2017 avec 1650 témoignages contre 1575 témoignages en 2016, rapport repris sans recul par les médias. Or, quand ce lobby parle d’homophobie, on imagine des violences physiques insupportables. Sauf que ce n’est pas le cas.

Ainsi, dans le rapport, page 104-105, le discours de l’Eglise catholique est considéré comme homophobe, tout comme celui des associations qui réclament le respect des droits de l’enfant comme Alliance Vita et les AFC, nommément citées :

Capture d’écran 2018-05-17 à 07.03.28 Capture d’écran 2018-05-17 à 07.03.37 Capture d’écran 2018-05-17 à 07.04.17
Enfin, la secte LGBT refuse que ses membres puissent la quitter et fait donc tout pour empêcher une personne ayant des tendances homosexuelles de se corriger :

Capture d’écran 2018-05-17 à 07.05.36Evidemment, La Manif Pour Tous est homophobe :

Capture d’écran 2018-05-17 à 07.10.12 Capture d’écran 2018-05-17 à 07.11.09Et au cas où vous n’auriez pas compris, la fin du rapport se termine par une publicité militante en faveur de la PMA :

Capture d’écran 2018-05-17 à 07.12.37Si c’est cela l’homophobie, alors oui nous sommes homophobes et nous sommes fiers de militer pour le respect des droits de l’enfant et de la famille naturelle.

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Silence on tue : prière de se faire égorger en silence

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Lu dans Minute à propos du dernier attentat à Paris :

Stories.virtuemart.product.2872_page_01nsp_106« […] Alors maintenant, que va-t-il se passer ? Rien. Absolument rien. L’attentat de Trèbes, c’était il y a deux mois à peine. Ce jour-là, le naturalisé était marocain. Que s’est-il passé depuis ? Rien ! Ah si… L’attentat du quartier de l’Opéra. Il ne va rien se passer parce que les Français ont pris le pli et que ça leur va bien. On meurt plus sur les routes que sur les trottoirs. Faudra faire gaffe pour les départs en vacances !« Chéri, t’as vérifié la pression des pneus ? »

En 2017, les Français ont majoritairement voté pour un homme qui avait publiquement affirmé qu’il « n’allait pas inventer un programme antiterroriste en une nuit ». Apparemment, en un an non plus.

Il ne va rien se passer parce que nos gouvernants ont peur. Et pas que des Tchétchènes. Samedi dernier également, le commissariat de Champigny-sur-Marne, à une demi-heure en mobylette volée de l’Elysée, a été assailli. Pas harcelé deux minutes par une poignée de guignols qui auraient aussitôt détalé, non : assiégé, encerclé, attaqué par une cinquantaine d’hommes cagoulés, munis de cocktails Molotov et de mortiers !

Nos gouvernants, Macron aujourd’hui,Hollande hier, Sarko avant-hier, n’ont de pouvoir que sur ceux qui veulent bien encore obéir, à commencer par la quasi-totalité des Français. Face aux autres, ils ont abdiqué. Police et gendarmerie sont abandonnées en première ligne, tandis que l’IGPN, la « police des polices », veille.

Quant aux Français lambda, prière de se faire voler, violer ou égorger en silence. Et surtout, surtout, de mourir sans haine. Jusqu’à quand ? »

De Chartres à Paris, pour l’honneur de Jésus-Christ

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Ce week-end, comme de tradition, outre le pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté de Paris à Chartres, se déroulera le pèlerinage de Tradition de Chartres à Paris (place Vauban) avec la Fraternité Saint-Pie X, sur le thème « Pour l’honneur de Jésus-Christ ». Explication de ce thème :

Affiche_Pele2018-212x300« Saint Paul, s’adressant aux Grecs dans l’Aréopage, dit à propos de Jésus-Christ : “Quoi qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car c’est en lui que nous vivons, que nous nous mouvons, que nous sommes” (Act. 17, 27-28). Vivant pour le Christ, nous sommes décidés à agir en lui pour qu’Il règne. Mgr Marcel Lefebvre, archevêque missionnaire, expliquait qu’« il n’y a qu’un nom sur la terre pour transformer les âmes, la civilisation, et même les corps, la société et l’économie. C’est le nom de Jésus-Christ. Il n’y a pas à chercher ailleurs. On veut transformer la société ; on veut la rendre vivable, on veut la rendre sainte ; on veut la rendre même économiquement saine, politiquement saine : le moyen, c’est Notre-Seigneur Jésus-Christ. Je suis reparti de l’Afrique avec cette conviction qu’il n’y avait qu’un moyen de sauver les âmes et en même temps de leur donner une civilisation chrétienne ici-bas, de les faire participer un peu ici-bas au bonheur du Ciel par le bonheur que donne la grâce : c’est le règne de Notre-Seigneur Jésus-Christ. » Mgr Lefebvre, 15 février 1987 à Zaitzkofen (Allemagne).

Pendant trois jours, de Chartres à Paris, place Vauban, des milliers de pèlerins marcheront et prieront pour contribuer au rétablissement du règne de Notre-Seigneur Jésus-Christ sur les cœurs, sur les âmes, sur les familles, sur les nations.

C’est pourquoi le lundi de Pentecôte, à l’arrivée dans Paris, une grande procession se dirigera depuis le Carrefour des Cascades du Bois de Boulogne jusqu’à la place Vauban où sera célébrée la messe de clôture du pèlerinage. A la suite de plus d’une centaine de prêtres, religieux et séminaristes, plusieurs milliers de pèlerins venus de toutes les régions de France, de toute l’Europe, mais aussi des Etats-Unis, du Mexique, des Philippines, du Japon, de Madagascar…formeront cette imposante procession qui traversera l’ouest parisien du Bois de Boulogne (14h), en passant par La Muette (14h30), le Trocadéro (14h50), le Pont d’Iéna (15h10) et l’avenue de La Bourdonnais (15h40), jusqu’à la Place Vauban (16h). »

Programme :

  • Samedi 19 mai  (40 km) 7 h 45 : Messe derrière la cathédrale de Chartres, dans les jardins de l’évêché, célébrée par l’abbé Laurent Ramé
  • Dimanche 20 mai  (39 km) 18 h 00 : Messe pontificale célébrée par Mgr Bernard Fellay, au Bivouac Saint-Vincent-de-Paul sur la commune de Villepreux, ferme du Val Joyeux
  • Lundi 21 mai  (28 km)
    • 12 h 00 : Déjeuner au Bois de Boulogne, Porte de l’Hippodrome
    • 14 h 00 : Entrée du pèlerinage dans Paris, Porte de la Muette, en procession depuis le Carrefour des Cascades (Bois de Boulogne)
    • 16 h 30 : Messe solennelle sur la place Vauban, derrière l’Hôtel des Invalides, face à la cathédrale Saint-Louis des Invalides, célébrée par l’abbé Michel de Sivry

Le cœur de Padre Pio en France

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Samedi 19 mai en la cathédrale Notre-Dame de Paris 

  • 9h30 Début de l’Ostension
  • 10h00 Père Frédéric RODER – Rosaire médité avec des textes du Padre Pio
  • 12h00 Messe de la St Pio (en français) présidée par Mgr Chauvet Recteur-Archiprêtre de la cathédrale 13h00 Méditation par Mgr Chauvet Recteur-Archiprêtre de la cathédrale 14h30 Méditation du Diacre Francesco Armenti sur la messe du Padre Pio
  • 15h00 Méditation sur l’Apocalypse par le Père Henry de Villefranche
  • 17h30 Fin de l’Ostension

Samedi 19 mai au soir en l’église Saint-Eugène Sainte-Cécile 

  • 20h Veillée de prières pour les malades et Ostension de la relique
  • 22h Fin de la veillée de prière
  • 22h Messe de la vigile de Pentecôte dans le rite extraordinaire (en latin) L’église restera ouverte toute la nuit pour une vénération silencieuse

Dimanche 20 mai fête de Pentecôte en l’église Saint-Eugène & Ste Cécile 

  • 9h45 Messe de Pentecôte (en français)
  • 11h Messe de Pentecôte dans le rite extraordinaire (en latin)
  • 14h Ostension de la relique
  • 17h45 Fin de l’Ostension et Vêpres

Lundi 21 mai à Notre-Dame de Chartres 

  • Entre 10h00 et 12h Ostension de la relique
  • Entre 12h et 17h30, la cathédrale accueille l’arrivée du pèlerinage de Chartres, l’accès sera réservé aux pèlerins qui auront marché depuis Paris.
  • 18h reprise de l’Ostension jusqu’à la fermeture de la cathédrale

Que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi

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