BREIZH INFO : Notre-Dame-des-Landes : l’ouvrier breton coûte trop cher ! par Bernard MORVAN

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30/03/2016 – 06h00 France (Breizh-info.com) –En ce moment, les partisans de la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes utilisent beaucoup l’argument de l’emploi. Une citation parmi d’autres : au stade de la construction : « on prévoit 5,4 millions d’heures de travail pour la plateforme de tour de contrôle et la desserte routière » affirmait Christophe Clergeau (PS), à l’époque vice-président du conseil régional des Pays de la Loire.
« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
Atlanco Rimec ou une autre …

Les entreprises de BTP du secteur et les ouvriers Bretons n’auront que leurs yeux pour pleurer . Les cocus, comptez-vous !

Bernard Morvan

Notre-Dame-des-Landes : l’ouvrier breton coûte trop cher !

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30/03/2016 – 06h00 France (Breizh-info.com) –En ce moment, les partisans de la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes utilisent beaucoup l’argument de l’emploi. Une citation parmi d’autres : au stade de la construction : « on prévoit 5,4 millions d’heures de travail pour la plateforme de tour de contrôle et la desserte routière » affirmait Christophe Clergeau (PS), à l’époque vice-président du conseil régional des Pays de la Loire.
« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
Atlanco Rimec ou une autre …

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30/03/2016 – 06h00 France (Breizh-info.com) –En ce moment, les partisans de la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes utilisent beaucoup l’argument de l’emploi. Une citation parmi d’autres : au stade de la construction : « on prévoit 5,4 millions d’heures de travail pour la plateforme de tour de contrôle et la desserte routière » affirmait Christophe Clergeau (PS), à l’époque vice-président du conseil régional des Pays de la Loire.
« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
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« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

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Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
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« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
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« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

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« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
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« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

Sur son site Internet, Atlanco Rimec proposait « une main-d’oeuvre professionnelle », « dévouée » et « économique » dans « un champ d’action paneuropéen ». Si la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devait démarrer, c’est évidemment avec de pareilles méthodes que Vinci fonctionnera.
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30/03/2016 – 06h00 France (Breizh-info.com) –En ce moment, les partisans de la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes utilisent beaucoup l’argument de l’emploi. Une citation parmi d’autres : au stade de la construction : « on prévoit 5,4 millions d’heures de travail pour la plateforme de tour de contrôle et la desserte routière » affirmait Christophe Clergeau (PS), à l’époque vice-président du conseil régional des Pays de la Loire.
« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

Avec de pareils discours, on enfume tous ceux qui veulent bien l’être. En particulier les petits patrons du BTP . Ce « beau » chantier fait rêver alors que les temps sont durs pour eux et qu’un ballon d’oxygène serait le bienvenue.

Quelques-uns ont peut être regardé le dernier magazine « Cash investigation » d’Elise Lucet (22 mars France 2). Ils auront compris que les grands chantiers (EPR de Flamanville, méthanier de Dunkerque …à ne sont pas faits pour eux. Les grosses boîtes comme Bouygues préfèrent utiliser des sociétés d’intérim spécialisées dans le « Polonais », le « Roumain » ou le « Portugais ». L’une d’elles, Atlanco Rimec, basée à Dublin, est dirigée par un Irlandais, Michael O’Shea (fortune évaluée à 61 millions d’euros), surnommée « le négrier du nucléaire ».

Le procédé est simple et efficace : l’ouvrier roumain signe un contrat avec une filiale d’Atlantico Rimec installée à Chypre et vient ensuite travailler en France. Le travailleur en question n’a jamais mis les pieds à Chypre ou en Irlande et est payé 5 euros de l’heure. Donc très compétitif.

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« Cela représente 3500 emplois directs et indirects cumulés (pour un chantier devant durer trois ou quatre ans), avec 800 à 1000 emplois au plus fort ». « C’est un marché et une manne importante pour les entreprises » se réjouissait de son côté Jean-Pierre Chateau, secrétaire régional de la fédération du bâtiment (Ouest France, 19 juin 2013).

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